Tu n'as pas appris à planter tes semelles au sol?
Que puis-je faire pour t'aider?
La présidente de la Commission des libertés individuelles et de l’égalité (Colibe), Bochra Belhaj Hmida a adressé « un dernier message » aux personnes « sans scrupules, dénuées de tout sens humain qui ont exploité le viol de la famille de Goubellat pour des règlements de comptes politiques et personnels ».
« C’est un dernier message, non par crainte, mais parce que vous êtes incapables d’argumenter et de mener un débat calme qui permet aux Tunisiens de cerner le contenu du rapport et les avantages qu’il présente. Vous avez menti, truqué des vidéos sous prétexte de défendre l’islam, et maintenant vous tentez de récupérer le drame de cette famille pour des fins personnelles et politiques », indique Bochra Belhaj Hmida dans un statut Facebook publié ce soir.
Elle a, également, tenu à rappeler que la loi de la lutte contre la violence faite aux femmes doit être bien appliquée et expliquée, dans la mesure où elle contient plusieurs dispositions permettant de défendre les femmes et de les assister.
« Je tiens à préciser, toutefois, aux adeptes du mensonge et des contre-vérités que l’amende que j’ai défendue au parlement concerne le harcèlement dans la voie publique, et n’a rien à voir avec les crimes de viol. Vos campagnes et votre harcèlement ne feront que renforcer notre engagement et notre détermination à œuvrer pour plus liberté et plus d’égalité entre citoyens et citoyennes sans la moindre discrimination ».
S.H
La présidente de la Commission des libertés individuelles et de l’égalité (Colibe), Bochra Belhaj Hmida a adressé « un dernier message » aux personnes « sans scrupules, dénuées de tout sens humain qui ont exploité le viol de la famille de Goubellat pour des règlements de comptes politiques et personnels ».
« C’est un dernier message, non par crainte, mais parce que vous êtes incapables d’argumenter et de mener un débat calme qui permet aux Tunisiens de cerner le contenu du rapport et les avantages qu’il présente. Vous avez menti, truqué des vidéos sous prétexte de défendre l’islam, et maintenant vous tentez de récupérer le drame de cette famille pour des fins personnelles et politiques », indique Bochra Belhaj Hmida dans un statut Facebook publié ce soir.
Elle a, également, tenu à rappeler que la loi de la lutte contre la violence faite aux femmes doit être bien appliquée et expliquée, dans la mesure où elle contient plusieurs dispositions permettant de défendre les femmes et de les assister.
« Je tiens à préciser, toutefois, aux adeptes du mensonge et des contre-vérités que l’amende que j’ai défendue au parlement concerne le harcèlement dans la voie publique, et n’a rien à voir avec les crimes de viol. Vos campagnes et votre harcèlement ne feront que renforcer notre engagement et notre détermination à œuvrer pour plus liberté et plus d’égalité entre citoyens et citoyennes sans la moindre discrimination ».
S.H