Il n'y a plus d'espoir, la Tunisie est foutue.
Le ministre de la Santé, Imed Hammami, est intervenu ce matin du mercredi 11 juillet 2018, au micro de Wassim Ben Larbi sur les ondes d’Express FM, pour revenir sur la polémique concernant le professeur Mohammed Bejaoui, chef du service pédiatrie, hématologie, immunologie et de transplantation de cellules souches au Centre national de la greffe de moelle osseuse, affirmant qu’il occupe toujours ses fonctions de chef de service.
« Professeur Bejaoui occupe toujours son poste de chef de service de l’unité X. Cela dit, je ne dirais pas qu’il n’y a pas eu de conflit. En effet, le problème principal revient à l’attachement des patients au professeur Bejaoui. Ainsi, on retrouve dans l’unité des patients, qui ne sont plus considérés comme étant des enfants, refusant le suivi d’autres médecins. On lui a demandé de les coacher et de leur faire comprendre qu’il y a d’autres professeurs qui peuvent leur assurer le suivi, sauf que lui il a revendiqué le recrutement de nouveaux médecins pour renforcer le staff de son service. Sauf que sa demande ne peut être satisfaite puisque l’Etat n’a pas les moyens pour effectuer de nouveaux recrutements.
Donc, on a demandé au professeur Bejaoui de faire un choix : soit il poursuit ses fonctions avec les moyens mis à sa disposition, soit il sera remplacé par le professeur Fathi Mallouli. Après l’intervention de plusieurs parties, le problème a été dépassé. Je tiens à préciser que la valeur académique et scientifique de professeur Bejaoui n’est pas à remettre en cause. Le litige est purement administratif. Il concerne la bonne gestion du service et le coaching des patients ».
S.H
Commentaires (22)
CommenterProfesseur Béjaoui
Il n'y a plus d'espoir, la Tunisie est foutue.
la chose qui me fait le plus plaisir
Depuis qu'il est venu cet inculte nahdhaoui il ny a ue des problèmes.
Incompétence des responsables
Connard
Problème administratif ou politico-social?...
C'est aberrant !
Honte à vous les tunisiens ayant voter pour ces..( appelez les comme ça vous chante)
Drôle de façon de traiter les problèmes "administratifs" !
La Tunisie est dans l'impasse.
Malheureusement des situations pareilles deviennent le lot de tous les jours et avec l'arrivée en masse des nahdhaouis dans nos communes ces derniers temps, il faut se préparer au pire.