
Dans un communiqué rendu public suite à l’attentat terroriste du vendredi 26 juin contre un hôtel à Sousse et qui a causé la mort de 39 victimes innocentes et quarante blessés, la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie a condamné fermement cette attaque « lâche et barbare ».
Après avoir présenté ses condoléances aux familles des victimes et à l’ensemble du peuple tunisien, souhaitant un prompt rétablissement aux blessés, la FTH a appelé tous les Tunisiens à s’unir dans cette épreuve et à redoubler de vigilance et d’efforts pour soutenir la lutte contre le terrorisme, afin de garantir la paix et la stabilité dans le pays.
« Ces attaques visent à déstabiliser notre société en entretenant la terreur, la peur et la haine. Les terroristes veulent nous diviser: notre réponse devra être l'unité. Nous avons besoin d'une réelle mobilisation générale, d’une effective union nationale ainsi que de vraies alliances stratégiques avec les pays frères et amis pour éradiquer ce fléau », a assuré la fédération, selon le texte du communiqué.
S.H
Pour que nous cultivions le TERRO-RISME!
Pour ceux qui se demandent sur la responsabilité civile, elle réside dans l'article premier du code de procédure pénale!
Mais bon l'Avocat Général du gouvernorat de Sousse jouit de quelques avantages en cette période vacances juridiques...
Un pays de clowns!
Les hôteliers sont aujourd'hui en déconfiture du fait d'une cascade de décisions malencontreuses prises par les gouvernements de Ghaouchi , BCE, puis celui de la troika menant à la destruction de l'État et ses structures sécuritaires, militaires et judiciaires.
Tous ceux qui avaient pris part au démantèlement des structures de l'État notamment Mohamed Ghanouchi, Farhat Rajhi et Siham Ben Sedrine devraient être condamnés à dédommager les touristes tombés dans les attentats du Bardo et celui de Sousse.
Aussi y a-t-il lieu d'étendre les mesures de confiscation à tous ceux qui avaient pris part, de manière directe ou indirecte, à la destruction des structures de l'État depuis le 14/01/2011, une date qui constituera un tournant fatidique dans l'histoire du pays.
Un secteur générateur de millions de dinars, en devises, nécessaires à l'équilibre de la balance de paiement entièrement bousillé.
Des hôteliers qui n'arrivent plus à payer leurs factures d'électricité et de gaz et encore moins leurs fournisseurs, contraints, pour ceux qui en ont les moyens à vendre leurs biens pour affronter la déconfiture de ce secteur bâti de la sueur des enfants de ce pays.
Tout cela, et aucune mesure concrète n'est annoncée en faveur des hôteliers qui se trouvent, aujourd'hui, livrés à eux-mêmes et bientôt condamnés à brader leurs hôtels à des rapaces en embuscade.
Tout cela et la fédération et son président font de la politique, agissent à coup de communiqués et jouent des coudes pour se faire tomber les uns les autres au lieu d'engager la responsabilité de l'État à l'origine de la ruine des éléments d'un fonds de commerce appelé « Tourisme » du fait de la défaillance de ses services publics dans le maintien de la sécurité et la préservation de l'environnement dont la collecte de déchets.
Les hôteliers feraient mieux d'actionner l'État devant le tribunal administratif à fin qu'il assume ses responsabilités au lieu d'agir à coups de communiqués dénués de tout sens face à la ruine de tout un secteur.
La responsabilité du service public a été consacrée par le Conseil d'État français depuis le fameux arrêt "Blanco" rendu par le tribunal des conflits sous le n° 012 en date du 08/02/1873.
Cet arrêt constituera le premier jalon d'une longue jurisprudence tenant l'État responsable de la défaillance du service public.
Ces défaillances avaient commencé avec La promulgation, sous Mohamed Ghanouchi, de la loi d'amnistie générale, suivie de la décision, de Farhat Rajhi, de démettre les hauts cadres sécuritaires, judiciaires, de la douane et des prisons et la démantèlement de la direction de la sûreté de l'État qui avait constitué un véritable rempart contre le terrorisme, la contrebande et la criminalité organisée.
Les auteurs de ces décisions, ayant conduit à la ruine du Tourisme tunisien, devraient être condamnés tout autant que l'État à dédommager les hôteliers pour tous les dommages, par eux, subis et le manque à gagner accusé par leurs unités hôtelières.
Un secteur générateur de millions de dinars, en devises, nécessaires à l'équilibre de la balance de paiement entièrement bousillé.
Des hôteliers qui n'arrivent plus à payer leurs factures d'électricité et de gaz et encore moins leurs fournisseurs, contraints, pour ceux qui en ont les moyens à vendre leurs biens pour affronter la déconfiture de ce secteur bâti du sang des enfants de ce pays.
Tout cela, et aucune mesure concrète n'est annoncée en faveur des hôteliers qui se trouvent, aujourd'hui, livrés à eux-mêmes et bientôt condamnés à brader leurs hôtels à des rapaces en embuscade.
Tout cela et la fédération et son président font de la politique, agissent à coup de communiqués et jouent des coudes pour se faire tomber les uns les autres au lieu d'engager la responsabilité de l'État à l'origine de la ruine des éléments d'un fonds de commerce appelé « Tourisme » du fait de la défaillance de ses services publics dans le maintien de la sécurité et la préservation de l'environnement dont la collecte de déchets.
Les hôteliers feraient mieux d'actionner l'État devant le tribunal administratif à fin qu'il assume ses responsabilités au lieu d'agir à coups de communiqués dénués de tout sens face à la ruine de tout un secteur.
Nos hôteliers veulent toujours épargner là où il ne faut pas.