
Le ministre de l’Intérieur, Mohamed Najem Gharsalli a affirmé, mercredi 27 mai 2015, que de nombreux plans de coordination entre les institutions sécuritaire et militaire ont été mis au point, au niveau du terrain et du renseignement, et ce pour combattre le terrorisme.
Dans une déclaration accordée à la TAP, en marge de la conférence des directeurs des districts de la sécurité et de la Garde nationale à la caserne de l’Aouina, Mohamed Najem Gharsalli a appelé au renforcement de la collaboration entre les deux institutions afin de faire face à d’éventuelles attaques terroristes.
Le ministre a précisé que la rencontre s’inscrit dans le cadre des préparatifs en prévision des examens nationaux, du Ramadan, des vacances d’été et de la saison touristique. Il a précisé qu’il s’agit d’un message adressé aux responsables sécuritaires dans toutes les régions, dans le but de conforter le travail de terrain et les activités de renseignement.
Par ailleurs, M. Gharsalli a noté que les menaces visant la Tunisie au niveau des frontières sont la conséquence de la dégradation de la situation sécuritaires en Libye, soulignant que la découverte, durant la dernière période, de stocks d’armes, fait craindre que des actes terroristes soient perpétrés sur le sol tunisien.
I.L.
Le Ministère de l'Intérieur Tunisien doit devenir un espace aussi sacré que le Palais de Carthage.
Ce ministère vital doit subir des purges.
Tout élément et influence islamiste doit y être extirpée et éliminée.
Les hauts cadres de notre glorieux régime doivent réintégrer leurs postes.
Le service d'intelligence militaire doit avoir comme quartier général le Ministère de l'Intérieur ou une coordination totale avec les autres hauts cadres y sera appliquée.
Le Ministère de l'intérieur doit être composé de militaires et d'officiers de la Garde Nationale ainsi que de hauts cadres de la sécurité de l'état, et doit devenir une institution puissante et au financement prioritaire.
Cette institution doit fermer ses portes à toute coopération étrangère comme celles que proposent les Etats Unis et le Qatar.
La sécurité de l'état Tunisien doit devenir une affaire strictement Tunisienne.
Toute atteinte à cette institution par diffamation ou menaces, ou atteinte à son intégrité, doit être punie par les châtiments les plus sévères y compris la peine de mort.
La Tunisie a l'opportunité de se ressaisir.
Si elle ne le fait pas en l'espace d'une année, notre Nation va vers des attentats répétés, multiples, et son effondrement dans le chaos.
Je demande à l'état Tunisien de suivre mes recommandations publiées sur Business News et Tunisie-Secret.
L'état Tunisien est la notion la plus sacrée qui existe pour moi et pour les vrais Tunisiens dignes.
L'Islam et autres mascarades sionistes et coloniales comme le droit de l'hommisme, doivent être chassés des esprits au dépend du nationalisme et de la solidarité.
La Tunisie doit faire comprendre aux beurres qui viennent semer le désordre et leur islamisme dégoutant, qu'ils ne sont pas Tunisiens et qu'ils doivent regagner leurs banlieues a jamais.
Elle doit signifier aux islamistes que leur vraie terre d'accueil est le Qatar et l'Arabie Saoudite.
Elle doit informer les droits de l'hommistes que leur vraie patrie est Israël.
Que la Tunisie redevienne Tunisienne et qu'elle se purge de ses traitres dégoutants.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Sans l'armée tunisienne et ses Valeureux Etats-Majors, à leur tête le père de la transition démocratique en Tunisie, le très Valeureux Général à la retraite, le «Sahli» que j'aime beaucoup, le héros Rachid Ammar, nous serions maintenant là où on était depuis 1881.
Un ministre de l'Intérieur qui veut mettre la main dans la main avec l'armée tunisienne. Comment cela est-il faisable du moment que chacun des deux forces armées ait sa discipline, sa formation et ses règles intérieures comme extérieures et pourquoi cherche-t-il l'amitié de l'armée, sinon pour serrer l'étau autour du peuple, par des armes supposées acquises pour garder les frontières du pays, non pas pour frapper le peuple et l'obliger à consommer une dictature censée appartenir au passé.
Il faut que les représentants de l'ARP appellent le ministre de l'Intérieur Mohamed-Nejm Gharsalli à s'expliciter à ce sujet. Un sujet qui pourrait avoir beaucoup de mauvaises intentions dans ses plis. A moins que notre Valeureuse armée n'ait manqué à son devoir lorsque les policiers l'appellent à l'aide dans un cas criminel, non pas dans un cas politique.
Une enquête parlementaire est expressément requise.