alexametrics
mercredi 07 mai 2025
Heure de Tunis : 01:31
Dernières news
1ère grande interview de BCE sur une chaîne tunisienne : Tour d'horizon des problématiques tunisiennes
09/05/2015 | 00:42
4 min
1ère grande interview de BCE sur une chaîne tunisienne : Tour d'horizon des problématiques tunisiennes

 


Plus de quatre mois après son investiture au Palais de Carthage en tant que président de la République, Béji Caïd Essebsi a accordé ce soir du vendredi 8 mai 2015 sa première grande interview à un média tunisien, en l’occurrence la chaîne de télévision Al Hiwar ettounsi, et ce dans le cadre d’une émission spéciale du « Huitième Jour »animée par Hamza Belloumi, Sofiène Ben Hamida et Mohamed Boughalleb.

 

Prié de donner son avis sur les propos d’Adnane Manser quant à «la vacance du poste de la présidence de la République », il a commencé par dire que « ce monsieur pêche en eau trouble » avant d’affirmer « Et puis, je ne lui répondrai pas ».

 

Réitérant qu’il est le président de tous les Tunisiens et qu’il s’occupe des dossiers de la politique étrangère et de la sécurité nationale, BCE a eu à traiter de la crise sévissant dans le secteur des phosphates.

« C’est une question de sûreté nationale, j’ai déjà examiné la situation avec le chef du gouvernement, et la situation sera réglée dans une dizaine de jours au maximum », a-t-il indiqué en substance avant de préciser qu’il s’intéresse aux différents dossiers de son ressort, d’une manière progressive dans le sens où il a été élu pour cinq ans, et qu’il a le temps pour concrétiser ses promesses, sans que cela ne s’éternise.

 

Questionné sur ses émoluments, Béji Caïd Essebsi a déclaré que contrairement à ce que prétendent certains, il ne touche pas un salaire mirobolant. « Je viens de percevoir mon premier salaire qui est de 20760 dinars tout en assurant qu’il était en faveur de la réduction des salaires des hauts responsables y compris le sien.

 

S’attaquant, ensuite, à la politique étrangère proprement dite, M. Caïd Essebsi a commencé par la Libye. « La situation dans ce pays voisin est très compliquée. Et en tant que premier pays intéressé par ce qui s’y passe, nous sommes tenus de ne pas nous mettre sur le dos aucune des deux parties au pouvoir », a-t-il affirmé. « Concernant l’affaire de Sofiène Chourabi et de Nadhir Ketari, on ne peut pas faire plus que ce qui a été fait jusqu’à présent », a-t-il martelé.

 

Pour la Syrie, il a assuré que l’erreur a été déjà commise avec le renvoi d’un ambassadeur qui n’était pas présent chez nous. Or, il n’est pas dans l’intérêt de la Tunisie de le recevoir de nouveau dans l’état actuel des choses.

 

Evoquant les relations avec les Etats-Unis d’Amérique où il doit se rendre prochainement, BCE a tenu à affirmer qu’il s’agit d’un pays ami de la Tunisie et qu’Obama s’est intéressé à la situation dans notre pays depuis 2011, un intérêt qu’il a réaffirmé une nouvelle fois, ces derniers temps.

 

Passant à l’évaluation de l’action gouvernementale, le président de la République a estimé que le gouvernement a accompli son devoir et il est apte à résister longtemps, mais tout remaniement ministériel reste du ressort du chef du gouvernement.

 

A propos de ses relations avec Nidaa Tounès, Béji Caïd Essebsi a indiqué qu’il n’appartient plus à ce mouvement dont les dirigeants ont des difficultés à s’adapter à la nouvelle situation. Dans le même ordre d’idées, il a évoqué les bruits concernant le potentiel poste de Mohsen Marzouk à Nidaa Tounès. « Si M. Marzouk veut devenir le secrétaire général de Nidaa, il devra quitter le Palais présidentiel », a-t-il tranché.

 

A la dernière partie de l’interview, le président de la République a eu à répondre à plusieurs questions assez pointues.

A propos des accusations quant à d’éventuelles ingérences dans le travail des médias, notamment ceux publics, BCE a démenti formellement ces allégations. « Donnez-moi des cas et des noms précis et je remettrai les pendules à l’heure immédiatement, car il est facile de parler en l’air », a-t-il indiqué.

 

Pour une éventuelle venue d’Al Qardhaoui en Tunisie, le président de la République a été formel : « Non, je dirai non à sa visite dans notre pays, car il sera nuisible à la Tunisie ».

 

Quant à l’affaire de l’hôtesse de l’air empêchée d’exercer son métier à cause de son port du voile, BCE a affirmé qu’il ne faut pas opter pour les attitudes extrêmes, ni dans un sens ni dans l’autre. Si la nature de son travail lui permet de s’acquitter de sa mission malgré le voile, pourquoi pas… ».

 

Et pour terminer, il a réitéré d’une manière claire et ferme qu’il respecte et respectera la liberté de la presse sans laquelle il ne peut y avoir de démocratie. Tous les journalistes peuvent parler et écrire librement. Ils ont la liberté, de proposer, d’analyser, de commenter, de critiquer et même de nuire ».

09/05/2015 | 00:42
4 min
Suivez-nous
Commentaires (22) Commenter
enfin
bela e monela
| 09-05-2015 23:50
La visite de karadawi elle sera pa suleument nuisible mais dangeureuse aussi ce il tiens ru discour violent et dangereux e vu l etat d esprit d une bonne prtie d nos jeunes il fau pa le laisser se rendre chez nous c un danger public
Merci @JOHN WAYNE| 09-05-2015 20:40
Lecteur JW
| 09-05-2015 21:22
Pour ce papier ....rien à rajouter ..ou sauf peut etre , je peux rajouter que les israeliens savent pratiquer à merveille " egorger" ..bien avant daesch ..
Ils venaient au liban , faire des descentes commandos ..egorger des fedayins et repartir sans "reveiller" l entourage ...



J ai une question ..est il vrai que le Zaim Bourguiba avait la photo de Hafez Elassad dans son bureau ??, ( j ai entendu qu il disait qu il avait gardé sa photo car pour lui Assad . est "un vrai president ..arabe .. et qu il a du respect pour lui car il le "jugeait" integre et digne de ce poste " )
ISRAEL, EPICENTRE DE LA RACAILLE HUMAINE (1)
JOHN WAYNE
| 09-05-2015 20:40
Pourquoi les Israéliens échappent à tous les tribunaux qui traditionnellement trainent par les cheveux a leurs barres des accusés des leaders Africains sachant que ces pauvres hommes devenus ennemis de la CIA ou du FMI, n'ont pas commis le millième des crimes commis par l'état Hébreux ?
La réponse ne se trouve pas seulement dans la Bible qui exhorte les Européens et surtout les néo-conservateurs Américains à protéger Israël au nom de Dieu le tout puissant, ni parce qu'Israël joue la carte de la vraie démocratie en élisant et réélisant tortionnaires et néo-Hitler.
Mais parce qu'Israël est une véritable pieuvre qui utilise la stratégie animale du mimétisme.
Les Israéliens ont en majorité des têtes d'Européens puisqu'ils sont souvent originaires de l'Europe de L'Est.
Leurs facies et physionomies font que l'Europe et l'Amérique s'identifient en ce peuple qui possède un plumage ne s'accordant pas avec un passé lourd en génocides à répétition.
J'ai dans ma vie compris très vite que ce peuple serait derrière les plus grands massacres que l'humanité ait jamais commis car les Israéliens ont comme traditions d'être cruels et d'apprécier la déchéance et la souffrance des Arabes.
Une souffrance dont ils se délectent.
En flic de Ben Ali appréciant une Tunisie entrée dans une ère glorieuse de stabilité et de prospérité, je fus particulièrement frappé par la cruauté avec laquelle des agents du Mossad assassinèrent Abou Jihad à Sidi Bou Saïd. L'homme en question reçut un ou plusieurs chargeurs d'Uzi dans le corps sous les yeux de sa femme et de sa fille alors âgée de 11 ans.
Mais pire que ça : les assassins du Mossad disposaient de l'assistance d'une femme qui parlait avec un accent Israélien selon les témoignages de la fille et de la femme du martyr. Cette femme israélienne s'appliquait à filmer la scène de l'assassinat comme s'il s'agissait d'un évènement culturel et cela sans démontrer aucun sentiment. Le même agent du Mossad ira même et tout en filmant l'agonie du bras droit d'Arafat tombé à terre et se tortillant dans son sang, consoler d'un ton ferme et même maternel la femme et la fille du martyr. Il y avait selon notre enquête de l'époque un professionnalisme glacial de la part de ces agents du Mossad qui plus tard devaient fuir par la plage de Raoud et rejoindre un sous-marin.
Et si je devais en ancien diplomate et flic de Ben Ali décrire la personnalité des Israéliens qui jusqu'à ce jour trucident de l'Arabe sans ciller, je dirais que les Israéliens ont cette façon singulière de commettre des génocides avec une grande classe. Ils ne crient pas ni se contorsionnent comme Adolph Hitler sur son podium des réunions du Troisième Reich lors desquelles une marée humaine vêtue de rouge criait le bras levé vers le firmament « Heil ».
Ils ne procèdent pas à de véritables crises d'hystérie théâtrales et grandioses en public comme le faisait si habilement Mussolini.
Les Israéliens ont créé le « génocide classe » c'est-à-dire un génocide accompagné d'une propagande justificatrice qui allie classe, charme, culture, théories de self-défense, et contexte historique qui fait de ce peuple une victime poussée à exterminer pour survivre dans un monde cruel submergé de bougnouls laids et hirsutes.
Observez Netanyahu dont le quotient intellectuel serait proche de celui d'Einstein selon certains experts. L'homme en question adopte perpétuellement un aspect sombre et pessimiste dans ses discours. A le croire, l'Iran devrait envoyer ses ogives nucléaires dans les minutes qui suivent sur Haïfa et les Palestiniens menacent l'existence d'Israël même s'ils n'ont pas de quoi manger. Alors autant s'étendre et créer des colonies.
« Colonies » étant le mot clef car tous les peuples monstrueux, cruels, et inhumains adoptent la théorie du Leibensraum que le Führer rédigea dans sa cellule après son putsch manqué.



ISRAEL, EPICENTRE DE LA RACAILLE HUMAINE (2)
JOHN WAYNE
| 09-05-2015 20:40
Israël est un pays exterminateur qui applique un système de « Public Relation » intelligent, efficace, et ayant survécu à l'épreuve du temps.
D'où vient ce talent à trucider des peuples dans la classe tout en jouant perpétuellement la carte du peuple persécuté ?
Pour le comprendre, il vous suffit de retourner à la vie élégante et riche en massacres de civils du fondateur de l'Irgoun Ze'ev Jabotinsky.
Né en Russie, Jabotinsky était aussi bon orateur que Lénine et écrivait même des poèmes. Ayant profité du système d'éducation Russe, l'homme en question était brillant, cultivé, et rusé comme un renard.
Sa physionomie était celle de Lénine mais en plus imposant car elle comportait un élément aristocrate et non prolétaire.
Et si Jabotinsky prônait en public la création d'un état Hébreux dans lequel les Arabes auraient des droits, a huit clos l'homme en question disait souvent que le plus grand danger a la création de l'état d'Israël se trouvait dans les populations Arabes qui vivent en Palestine.
Jabotinsky mettra ses théories des peuples inférieurs à exécution par des massacres des populations civiles Arabes y compris le célèbre massacre du village de Deir Yassine lors duquel des centaines de femmes et d'enfants seront massacrés par un ratissage méthodique et des bombardements aux obus de mortier.
Parce qu'ils ont vécus impuissants la tragédie de l'Holocauste et parce que souvent ils représentent l'élite émigrée de pays culturellement puissants comme la Russie ou l'Algérie, les Israéliens ont créé des générations de monstres dans une société dont la culture fondamentale est de tuer des êtres sales, méchants, et inferieurs nommés le Arabes afin de survivre et de s'étendre.
Une Israélienne jeune et habillée comme un Babouchka déclarait a un journaliste européen lors de bombardements des territoires occupés, que la terre israélienne appartenait aux Juifs car elle est sacrée mais surtout parce qu'elle a été conquise par des victoires militaires. Ce qui veut dire que la loi du plus fort associée a l'ancien Testament justifient les massacres et l'expansion des Israéliens sur les territoires occupés.
Des territoires occupés ou le mauvais a chassé le bon. Car Israël a pris soin au préalable de rétamer l'élite laïque et Nationaliste qui entourait Yasser Arafat pour la remplacer par celle du Hamas qui donne à l'état hébreux des prétextes à l'infini pour des guerres et des expansions territoriales.
Car l'islam pour les Arabes est comme le whisky pour les peaux rouges. Il transforme un ennemi à conquérir en des populations amorphes et vivant de superstition et de fanatisme et dont les stratégies guerrières sont primitives, impulsives, et elles-mêmes cruelles.
Les meilleurs alliés d'Israël depuis un demi-siècle sont les frères musulmans.
Je suis un nationaliste endurci et incorruptible et vous êtes un peuple méprisable et à l'aube de votre existence.
Contrairement à vous et à vos Présidents minables et soumis aux sionistes, la venue d'un émissaire Américain sioniste ne m'impressionne pas. Au contraire, elle m'indispose.
L'on n'apprend pas à un orphelin de Bourguiba et a un flic de Ben Ali le civisme ni la culture.
Tous les Présidents américains de Wilson à Jimmy Carter n'ont rien à m'apprendre.
Bien avant de lire récemment que des soldats Israéliens ont tiré aveuglement sur des civils et des ambulances lors du dernier conflit, je fus un jour choqué par les déclarations d'un Israélien d'origine Tunisienne qui écrivit qu'après avoir libéré la ville de Jérusalem avec Tsahal, il se rendit avec nostalgie a sa ville natale de Nabeul.
La Tunisie n'est pas une poubelle pour tortionnaires ni pour criminels de guerre même si aujourd'hui ses jeunes dégoutants reviennent du Jihad en toute impunité car le gouvernement Tunisien est à la solde du Qatar et d'Israël.
Pour moi toute personne ayant adopté la Nationalité Israélienne ne mérite pas celle Tunisienne et doit être interdite de séjour en Tunisie.
Israël est un pays peuplé de monstres que les Arabes ne vaincront que par l'isolement et par une guerre froide infinie.
Les Arabes ne doivent jamais faire la paix avec Israël mais isoler et ignorer ce pays dégoutant.
Ils doivent se préparer à des agressions de ce pays inhumain en créant des régimes militaires laïques et nationalistes.
Car après tout l'avenir du monde Arabe réside en des réincarnations de leaders dignes et intègres tels que Nasser, Bourguiba, Ben Ali, et Hafez Al Assad.

Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
@Mr. Béji Caïd Essebsi, le Père du Peuple tunisien!
Dr. Jamel Tazarki
| 09-05-2015 20:05
Je vous adore et je vous estime encore plus pour votre initiative qu'il n'y a pas d'avenir pour la Tunisie sans la réconciliation nationale.

Oui, la réconciliation entre-autre avec nos hommes d'affaires est indispensable pour notre pays, mais j'aimerais vous rappeler aussi, Très Cher Mr. Béji Caïd Essebsi, que Certains de nos hommes d'affaires qui vivent actuellement en Tunisie ont eu durant la dictature des crédits hors des conditions du marché de quelques centaines de Millions et même de quelques Milliards de dinars (partiellement en devises étrangères) et on sait que ces derniers sont maintenant des Milliardaires (en grande partie en devises étrangères). Ainsi, Il serait correct d'exiger de ces gens, au nom de la réconciliation nationale, de rembourser leurs crédits bancaires qui ne sont rien d'autre que des créances douteuses.

Une des dernières créances bancaires douteuses date de la fin de 2010 et elle est d'une valeur de 640 Millions de Dinars!

Je vous prie d'accepter, Très Cher Mr. Béji Caïd Essebsi, pour vous-même, votre famille et vos proches mes meilleurs voeux de robuste santé, de paix, de prospérité et de succès en votre fonction de Président de la République Tunisienne.


Dr. Jamel Tazarki

http://www.go4tunisia.de/PDF/Pronostics_excerpt.pdf

http://www.go4tunisia.de/PDF/intelligence_artificielle.pdf

C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens
Mais pourquoi BCE divague encore en 1976?
DHEJ
| 09-05-2015 16:38
Pourquoi BCE a peur de nommer un conseiller pour le COMMERCE EXTÉRIEUR du moment qu'ESSID n'y pense pas.


Le voile n'a jamais été une obligation islamique
Tunisla
| 09-05-2015 15:47
C'est une coutume du moyen orient (d'ailleurs même les chrétiennes et les juives le portaient).

Ce n'est pas maghrébin.
Ce n'est pas Tunisien.

Et ce ne le sera jamais.

Si cette dame veut vivre sous les coutumes culturelles de l'Arabie saoudite, qu'elle y aille! Et surtout qu'elle ne revienne jamais faire ch*** les tunisiens. Les vrais.
bravo pour QARDHAOUI.un bemol pour le foulard
pseudo
| 09-05-2015 14:49
Tunisair doit gener cette histoire de foulard;elle a un reglement interne ;le pilote aeu du courage;les petites concessions font les grandes comme les petites rivieres les grands fleuves
pour la Libye ;il a raison nous devons rester neutre ;tout en esperant une entente rapide pour le bien des libyens;et leur eviter les interventions étrangeres
Qui les americains sont nos alliés
Enfin le haieux predicateur ne viendrapas en Tunisie
President de tous les tunisiens;il a raison de ne plus etre le patron de Nida;Nida a besoin d 'un rassembleur qui doit calmer et gerer les differents courants'
Bravo BCE
ya bladi
| 09-05-2015 14:44
Mais ma grande déception est le rendu journalistique"très médiocre",mis à part SBH,un peu plus courtois que les 2 autres qui se croient discuter dans un café.Messieurs,vous etes en présence d'un président de la république qui vous a sauvé d'un cauchemar.
A chacun sa chanson
The Mirror
| 09-05-2015 14:39
' Ben Ali avait sa chaîne TV7,
' Caied Essebsi a sa chaîne Nessma TV,

' Le RCD avait le parti communiste POCT de Hama Hamami comme lèche-bottes,
' Nida Tounes a le parti islamiste Ennahdha de Rached Ghanouchi comme lèche-bottes,

' Les tunisiens étaient dans la misère matérielle, culturelle et intellectuelle sous Ben Ali,
' Les tunisiens sont dans la misère matérielle, culturelle et intellectuelle sous Caied Essebsi.

A chacun sa chanson
A chacun sa façon
En solo, en chorale
Juste ou faux, bien ou mal
Il faut chanter
Là -là -là ...
C'est Joe Dassin, pour les amateurs de musique.