
Lors de sa comparution devant le juge, en ce mercredi 22 avril 2015, Samir El Wafi a donné sa version des faits. Selon le présentateur, maintenu en détention depuis le 15 avril, c’est la femme de l’homme d’affaires Hamadi Touil qui lui aurait proposé 500 mille de dinars pour intervenir auprès de la Troïka en faveur de son mari.
Samir El Wafi affirme n’avoir accepté que la somme de 300 mille de dinars, et ce dans l’unique but d’obtenir une interview exclusive, réitérant son innocence dans l’affaire de racket et d’escroquerie. Il a également déclaré, que le leader du CPR et ex-ministre des Domaines de l’Etat, dans le gouvernement de la Troïka, Salim Ben Hamidéne n’a aucun rapport avec cette affaire.
Les avocats de M. El Wafi ont demandé à ce que leur client soit libéré, arguant qu’il s’agit d’un délit de presse. Cependant, le ministère public s’y oppose fermement.
M.G.
Combien il a encaissé des autres figures lors de tous ses interviews.
Décidément on commence à voir des journalistes arrivistes qui font des rabais (300 au lieu de 500)
"Samir El Wafi affirme n'AVOIR ACCEPTE que la somme de 300 mille dinars, et ce dans l'unique but d'OBTENIR une interview exclusive", dites-vous?
Dans le milieu de la presse, qui est admis à percevoir de l'argent: celui qui ACCORDE une interview ou le journaliste qui l'OBTIENT ?
a le bras long pour intervenir auprès de la troika , donc auprès de l'ancien président( le tartour) et pour accéder a tartour, il faut que le CPR lui prépare le terrain , a ma vision il y a une cloche suspendu ,
Beaucoup se posent la question: pourquoi une telle justice sélective et un tel acharnement contre un journaliste intègre!