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Altercation verbale entre Noureddine Bhiri et Sami Daboussi en direct
13/04/2017 | 15:36
1 min
Altercation verbale entre Noureddine Bhiri et Sami Daboussi en direct

 

Sami Daboussi, fils de Jilani Daboussi est revenu sur les circonstances du décès de son père, aujourd’hui, jeudi 13 avril 2017 sur Mosaïque FM, accusant, entre autres, les ministres de l’époque, Noureddine Bhiri et Abdellatif Mekki, d’être derrière sa mort, à travers une opération de torture orchestrée.

 

M. Daboussi a affirmé qu’il a saisi la Justice française, tenant compte du fait que son père possédait la nationalité française, ajoutant qu’une date de procès a été fixée et que le parquet français en a notifié le comité de défense des accusés. Ainsi, un mandat d’amener international sera émis à l’encontre de toute personne, dont l’implication sera avérée, selon lui.

 

L’ancien ministre de la Justice, et chef du bloc parlementaire d’Ennahdha, Noureddine Bhiri est intervenu par téléphone pour répondre aux accusations formulées par Sami Daboussi, en le contre-attaquant, « Vous nuisez à la mémoire de votre père et vous étalez son linge sale. Je vous défie de pouvoir dire le motif de son arrestation », lui a-t-il lancé. Noureddine Bhiri n’a même pas voulu appeler le fils de Jilani Daboussi par son nom, « Je n’ai pas l’honneur de vous appeler par votre nom, parce que je n’ai aucune estime pour quelqu’un qui utilise la mémoire de son père et nuit à son Histoire. Nous la préservons mieux que vous ! ».

 

Rappelons que Jilani Daboussi est décédé à l’âge de 67 ans après une longue maladie. Il était détenu depuis le mois d’octobre 2011 jusqu’au 7 mai 2014, mais il n’a pas été condamné, bien que la détention préventive ne doive pas dépasser les 14 mois légalement. Il a été libéré quelques heures seulement avant sa mort.

 

S.H

 

13/04/2017 | 15:36
1 min
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Commentaires (19)

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AVERROES
| 14-04-2017 17:53
L'intervention musclée et arrogante de Mr BHOURI me donne l'impression qu'il a beaucoup à se reprocher. cette attitude est généralement attribué à un psychomoteur perturbé par des troubles psychiques et neurologiques. l'ancien ministre sait qu'il a failli dans sa mission de ministre si non il n'aurait jamais réagi de la sorte. Ce qui intéresse l'opinion publique comme la justice FRANCAISE c'est ce qui s'est passé réellement durant l'incarcération du docteur JILANI DABOUSSI. Vu son dossier, ce dernier a été arbitrairement arrêter et incarcéré sans aucun motif réel notifié à son égard. Mr DABOUSSI était gravement malade il en souffrait les martyrs, il a sollicité les autoritaires judicaires , il a demandé au ministre de la santé en personne une assistance médicale, il a fait appel à Carthage et au droit de l homme sur toutes ces demandes Mr DABOUSSI n'a reçu aucune réponse. Un prévenu ou un gardé à vue ne doit en aucun cas dépasser les 14 MOIS en situation préventive, or Mr DABOUSSI en a purgé 27 (presque le double de la loi autorisée) sans jugement et dans l'indifférence totale. La justice Tunisienne est infiltrée par l'islam politique et rien ne nous laisse croire aujourd'hui que cette justice serait rendue tant que cet islam est au pouvoir. Ces deux députés, anciens ministres intéressent effectivement une étude judiciaire française en cours sur cette mort plus que suspecte survenue quelques heures après la libération du prévenu.

1/raisonnable
| 14-04-2017 15:14
Les charognards d'Ennahda sont à l'a fût de moindre geste que leur est désignée et s'avère délibérément préparée par les mêmes assassins que le monde a connu

URMAX
| 14-04-2017 12:51
...
ndlr : Les gros calibres !
à mettre dans un zoo !
...
URMAX

Ben
| 14-04-2017 11:54
Les premières années de la révolte des "gueux" ont accouché de l'injustice et de l'iniquité avec une justice non indépendante sous les ordres de partis politiques, de chefs de corporations, de syndicats professionnels, de certains journaux et organes de presse et autres exerçant toutes les pressions du monde, sur les juges, aux fins de donner un semblant de légalité, par des décisions de justice, à un état de fait auquel ils ont contribué , à savoir la fameuse révolution de « Jasmin ».
Cette révolte sentira bien vite le pourri avec son lot de dossiers montés de toutes pièces, le faux et usage de faux qui les avait accompagné et avec son lot de gens respectables qui sont morts en prison ou des suites de leur emprisonnement ou des poursuites qui les avaient éclaboussé comme ce fut les cas du Docteur DABBOUSSI, d'Abdelaziz BEN DHIA , d'Aziz MILAD, de Khaled Houimel, ancien procureur général de Nabeul, et bien d'autres.
Ce monsieur BHIRI, qui ose encore sortir dans la rue, est la cause principale de la misère de centaines de familles dont celle de hauts fonctionnaires de l'État qui avaient voué leurs vies pour leur pays.

Ladnef
| 14-04-2017 11:41
-Le président Ben Ali, qualifié de dictateur, a pris le pouvoir, le 07/11/1987, sans verser le sang des Tunisiens, et sans même tirer un seul coup de feu.
-Aussitôt installé au pouvoir, le président Ben Ali, n'a pas traduit ses adversaires politiques, ô combien nombreux, en justice, n'a pas demandé à ce qu'ils rendent, indument, des comptes, pour des infractions qu'ils n'ont pas commises , ne les a pas emprisonnés et n'a pas été la cause de leurs morts, comme ce fût le cas du Docteur BOUDABBOUS, de Abdelaziz Ben DHIA et de bien d'autres.
-Le président Ben Ali a commencé son règne, si vous semblez l'oublier, par la grâce qu'il avait accordé aux islamistes, sauvés de la potence, si ce n'était le 07/11/1987 qu'ils décrient aujourd'hui.
Alors Monsieur BHIRI ayez la décence de vous taire et ne joue pas au malin en insinuant des choses touchant à la mémoire du défunt que vous prétendez protéger mieux que son propre fils.

MT
| 14-04-2017 08:34
Et chez Ben Sedrine ce dossier est absent évidemment puisque Ennahda qui décide et trie celui qui l'arrange!

raa
| 14-04-2017 01:31
c'est le tour des anciens torturés et réprimés de prendre revanche pour torturer et réprimer

St Just
| 13-04-2017 20:34
L'EMPRISONNEMENT et la mort de ce monsieur réflètent l'esprit mafieux et revanchard d'Ennahda... c'était inhumain, lamentable et honteux de laisser un homme malade crever en prison de cette manière. C'était honteux de la part de Marzouki de ne pas intervenir.

OPS-CONTROL
| 13-04-2017 19:57
c pas les Tunisiens qu-ils decident c Mme Allbright, de aipec brooking
la Tunisie est occupe'

Citoyen_H
| 13-04-2017 18:49

ou tous les charognards ayant quitté prématurément leur habitat naturel, la prison, paieront le prix fort de leurs ébats hystériques dans la charogne.
Il n y a pire haineux et rancuniers que les chameliers escrocs traitres imposteurs maitres chanteurs.
La haine et la jalousie constituent l'essentiel de leur fichu ADN.
Yaamil lallah.

Sami, ne les lâche pas d'un millimètre.
Il faut absolument que ces enfoirés, pleurnicheuses de la république, trinquent le fruit de leurs méfaits et de leurs forfaitures.
Que Dieu t'accompagne dans ton combat contre les ploucs "crasseux".