Le ministère public près du Tribunal de première instance de Kasserine a décidé, ce mardi 25 décembre 2018, l’arrestation d’un individu soupçonné d’avoir mis le feu au corps de Abderrazak Zorgui, correspondant de Telvza TV à Kasserine qui a succombé la veille à ses brûlures, et ceci après que les équipes sécuritaires spécialisées ont eu connaissance de preuves techniques ainsi que du contenu des vidéos des caméras de surveillance se trouvant dans les alentours.
Une enquête a été ouverte et les premiers éléments suggèrent la piste du meurtre outre le crime de participation et de non-assistance à personne en danger, les personnes présentes n’ayant pas essayé de le dissuader de s’immoler.
L’affaire a été confiée à un juge d’instruction près du Tribunal de première instance de Kasserine, qui interrogera tous ceux qui sont apparus dans la vidéo où on voyait les flammes dévorer ses vêtements par derrière. L’enquête inclura la personne qui a filmé la vidéo et qui était au courant des intentions de la victime et donc y a contribué sans prévenir les autorités compétentes.
I.N
Affaire de Zorgui : Une personne arrêtée, la piste du meurtre n’est pas écartée !
Le ministère public près du Tribunal de première instance de Kasserine a décidé, ce mardi 25 décembre 2018, l’arrestation d’un individu soupçonné d’avoir mis le feu au corps de Abderrazak Zorgui, correspondant de Telvza TV à Kasserine qui a succombé la veille à ses brûlures, et ceci après que les équipes sécuritaires spécialisées ont eu connaissance de preuves techniques ainsi que du contenu des vidéos des caméras de surveillance se trouvant dans les alentours.
Une enquête a été ouverte et les premiers éléments suggèrent la piste du meurtre outre le crime de participation et de non-assistance à personne en danger, les personnes présentes n’ayant pas essayé de le dissuader de s’immoler.
L’affaire a été confiée à un juge d’instruction près du Tribunal de première instance de Kasserine, qui interrogera tous ceux qui sont apparus dans la vidéo où on voyait les flammes dévorer ses vêtements par derrière. L’enquête inclura la personne qui a filmé la vidéo et qui était au courant des intentions de la victime et donc y a contribué sans prévenir les autorités compétentes.
Dans la vidéo diffusée sur Facebook, on voit un complice lui mettre le feu dans le dos, donc on peut conclure que c'est une opération préparée à l'avance avec le consentement de la victime mais cela n'empêche pas que les complices soient coupables car ils ne l'ont pas dissuadé d'accomplir son geste fatal.(non assistance à personne en danger).
