Le secrétaire général du mouvement “Tunisie en avant” Abid Briki a affirmé, ce samedi 13 octobre 2018, que «la période est délicate et que le pays va vers une mauvaise période surtout avec les derniers documents publiés sur les meurtres politiques et qui vont permettre d’avancer en termes de lutte contre le terrorisme, mettant à nu plusieurs révélations».
Pour lui, «le conflit entre Carthage et la Kasbah est très grave, et on n’a pas vécu une crise de ce genre avant, ni en 1987 ni pendant les assassinats politiques». M. Briki estime que «la Tunisie vit une crise de confiance entre tout le monde : le citoyen n’a pas confiance en ses gouvernants, l’UGTT n’a pas confiance dans le gouvernement et vice versa, etc.»
«Nous sommes arrivés à un point où les institutions du pouvoir législatif issues du même parti politique n’ont plus confiance entre elles», a-t-il martelé.
Et d’ajouter : «On n’a pas entendu de conflit sur la hausse de prix du poulet, ni quant à la capacité du Tunisien de s’offrir du poulet ou sur les engagement du président de la République qui pleurait pendant les élections de 2014 avec une femme qui n’a pas mangé de la viande de mouton pendant 3 mois, aujourd’hui elle est sûrement incapable de s’offrir des œufs»
I.N
Commentaires (12)
Commenterl'homme de la "makina"
Conflit bénéfique
GRANDE GUEULE ...POUR RIEN...
La cause
Bien fait pour vos gueules
Quel Scoop
Qu'a t'il fait quand il était ministre malgré son passé syndical, a t'il pu raisonner ses collègues syndicalistes de mettre en sourdine leurs revendications incessantes et scandaleuses le temps que le pays se redresse, non il n'a rien fait
Donc, il ferait mieux de se taire au lieu de mettre de l'huile sur le feu pour exister ou du moins pour avoir l'illusion d'être important dans les médias
AVEUGLE
Réveillez-vous. Vous êtes d'un autre temps, aveugle et sourd.
La plus grave crise est :
1/ Le manque de travail du Tunisien,
2/ La corruption,
3/ Le circuit parallèle,
4/ Et les énergumènes de votre type.