President du conseil de sécurité nationale.
Grand manitou de la politique étrangère.
Tunisie, terre de fous à lier suicidaires. Autant se jeter du 150ème étage directement.
Le candidat d’Ennahdha à la présidentielle, Abdelfattah Mourou a précisé, lors de son passage à Midi Show sur Mosaïque FM, ce jeudi 29 août 2019, que le choix du parti islamiste en rapport avec sa candidature était « réfléchi et quasi-unanime » et que cette candidature lui permettait de « passer de la parole politique à l’action politique ».
Invité de Elyes Gharbi, M. Mourou a relevé que la Tunisie est passée par 3 phases à savoir l’instauration de la République et des institutions de l’Etat, l’établissement des libertés et leur respect et la phase du développement et de la résolution des problèmes des citoyens. Une étape qui exige du prochain président de la République d’être capable de la mener à bien.
Abdelfattah Mourou a, également, assuré que la loi est la seule garantie pour la protection de la République et ce face aux inquiétudes que le parti islamiste pourrait s’accaparer du pouvoir.
Une allégation que M. Mourou a nié en disant que si Ennahdha voulait contrôler le pouvoir, il aurait pu amender la loi électorale en sa faveur.
En ce qui concerne le terrorisme, le président du Parlement intérimaire a affirmé que le terrorisme existe en Tunisie depuis 2006 et qu’Ennahdha n’était pas responsable de la libération des individus impliqués dans ces attentats.
"Toutefois et concrètement, il n’existe aucun danger terroriste à présent et au niveau sécuritaire, tout est sous contrôle".
Il a ainsi relevé que les hauts responsables au sein du ministère de l’Intérieur, exerçant avant l’avènement d’Ennahdha, ont commis l’erreur de supprimer le service des renseignements ce qui a contribué à l’instabilité du pays.
Abdelfattah Mourou a, par ailleurs, indiqué qu’il s’opposait au retrait de la nationalité tunisienne des terroristes revenant des zones de conflits et qu’il voulait que ces éléments soient traduits en justice en Tunisie.
Pour ce qui est de l’égalité dans l’héritage, M. Mourou a précisé qu’il n’a pas à s’ingérer dans les décisions prises par le Parlement évitant de donner sa propre lecture de l’égalité successorale.
« La présidence de la République est une responsabilité individuelle et non pas partisane. Si je suis élu, j’œuvrerai à boiser toutes les régions frontalières pour lutter contre la contrebande et le terrorisme. Je mettrai aussi en place une quatrième armée qui est l’armée cybernétique pour protéger nos données et notre sécurité. Le cabinet de la présidence de la République doit respecter le principe de l’équité entre les deux sexes en rapport avec ses employés. J’exercerai une pression sur les présidents des partis politiques dans le nouveau Parlement en vue d’instaurer la Cour constitutionnelle et je m’engagerai à préserver l’indépendance du pouvoir judiciaire et le garder à l’écart des tiraillements politiques. Pour ce qui est de la diplomatie économique, le chef de l’Etat est un ambassadeur qui sait que nous devons être ouverts sur de nouveaux marchés comme l’Afrique et notre environnement maghrébin », souligne Abdelfattah Mourou.
B.L
Le candidat d’Ennahdha à la présidentielle, Abdelfattah Mourou a précisé, lors de son passage à Midi Show sur Mosaïque FM, ce jeudi 29 août 2019, que le choix du parti islamiste en rapport avec sa candidature était « réfléchi et quasi-unanime » et que cette candidature lui permettait de « passer de la parole politique à l’action politique ».
Invité de Elyes Gharbi, M. Mourou a relevé que la Tunisie est passée par 3 phases à savoir l’instauration de la République et des institutions de l’Etat, l’établissement des libertés et leur respect et la phase du développement et de la résolution des problèmes des citoyens. Une étape qui exige du prochain président de la République d’être capable de la mener à bien.
Abdelfattah Mourou a, également, assuré que la loi est la seule garantie pour la protection de la République et ce face aux inquiétudes que le parti islamiste pourrait s’accaparer du pouvoir.
Une allégation que M. Mourou a nié en disant que si Ennahdha voulait contrôler le pouvoir, il aurait pu amender la loi électorale en sa faveur.
En ce qui concerne le terrorisme, le président du Parlement intérimaire a affirmé que le terrorisme existe en Tunisie depuis 2006 et qu’Ennahdha n’était pas responsable de la libération des individus impliqués dans ces attentats.
"Toutefois et concrètement, il n’existe aucun danger terroriste à présent et au niveau sécuritaire, tout est sous contrôle".
Il a ainsi relevé que les hauts responsables au sein du ministère de l’Intérieur, exerçant avant l’avènement d’Ennahdha, ont commis l’erreur de supprimer le service des renseignements ce qui a contribué à l’instabilité du pays.
Abdelfattah Mourou a, par ailleurs, indiqué qu’il s’opposait au retrait de la nationalité tunisienne des terroristes revenant des zones de conflits et qu’il voulait que ces éléments soient traduits en justice en Tunisie.
Pour ce qui est de l’égalité dans l’héritage, M. Mourou a précisé qu’il n’a pas à s’ingérer dans les décisions prises par le Parlement évitant de donner sa propre lecture de l’égalité successorale.
« La présidence de la République est une responsabilité individuelle et non pas partisane. Si je suis élu, j’œuvrerai à boiser toutes les régions frontalières pour lutter contre la contrebande et le terrorisme. Je mettrai aussi en place une quatrième armée qui est l’armée cybernétique pour protéger nos données et notre sécurité. Le cabinet de la présidence de la République doit respecter le principe de l’équité entre les deux sexes en rapport avec ses employés. J’exercerai une pression sur les présidents des partis politiques dans le nouveau Parlement en vue d’instaurer la Cour constitutionnelle et je m’engagerai à préserver l’indépendance du pouvoir judiciaire et le garder à l’écart des tiraillements politiques. Pour ce qui est de la diplomatie économique, le chef de l’Etat est un ambassadeur qui sait que nous devons être ouverts sur de nouveaux marchés comme l’Afrique et notre environnement maghrébin », souligne Abdelfattah Mourou.
B.L