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Une cinquantaine d'avocats pour défendre le fils de Abderraouf Ayadi

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Le procès du fils de Abderraouf Ayadi a démarré vendredi 26 septembre 2014 au tribunal de première instance de Tunis. Ce procès a été programmé en un temps record puisque le suspect a été mis en garde à vue lundi dernier. Il est accusé d’avoir célébré la mort des soldats tunisiens, assassinés dans l’attentat de Henchir Tella et a comparu ce matin en état d’arrestation.
Pas moins d’une cinquantaine d’avocats se sont présentés pour le défendre. Parmi ces avocats, citons Mohamed Abbou, Noômane Fekih, Seïfeddine Makhlouf, Abdennacer Laâouini, Abdelfattah Mourou et ses deux enfants Dhia et Amen Allah, Leïla Ben Debba, Chérif Jebali, Samir Ben Amor, Monia Bouali et Fatma Hamdi.
Abderraouf Ayadi a choisi de ne pas figurer dans la liste des avocats de son fils préférant être présent dans la salle en tenue civile.
Le représentant du ministère public a demandé au tribunal le report de l’audience et l’examen des objets confisqués par les forces de l’ordre, à savoir un iPhone, deux CD et quatre livres. On a également trouvé le drapeau noir des salafistes parmi les objets. Le suspect demeure en état d’arrestation pendant ce temps-là.
Les avocats ayant jusque là plaidé, dans un tohu bohu indescriptible, ont demandé tous la libération immédiate de leur client et ont refusé tout report.
Les plaidoiries devraient se poursuivre tout au long de l’après-midi. Nous y reviendrons.
Me Ayadi est avocat militant depuis des décennies et il se présente actuellement à la présidentielle au nom de son parti Wafa.
Pas moins d’une cinquantaine d’avocats se sont présentés pour le défendre. Parmi ces avocats, citons Mohamed Abbou, Noômane Fekih, Seïfeddine Makhlouf, Abdennacer Laâouini, Abdelfattah Mourou et ses deux enfants Dhia et Amen Allah, Leïla Ben Debba, Chérif Jebali, Samir Ben Amor, Monia Bouali et Fatma Hamdi.
Abderraouf Ayadi a choisi de ne pas figurer dans la liste des avocats de son fils préférant être présent dans la salle en tenue civile.
Le représentant du ministère public a demandé au tribunal le report de l’audience et l’examen des objets confisqués par les forces de l’ordre, à savoir un iPhone, deux CD et quatre livres. On a également trouvé le drapeau noir des salafistes parmi les objets. Le suspect demeure en état d’arrestation pendant ce temps-là.
Les avocats ayant jusque là plaidé, dans un tohu bohu indescriptible, ont demandé tous la libération immédiate de leur client et ont refusé tout report.
Les plaidoiries devraient se poursuivre tout au long de l’après-midi. Nous y reviendrons.
Me Ayadi est avocat militant depuis des décennies et il se présente actuellement à la présidentielle au nom de son parti Wafa.
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