Qu'ils s'estiment déjà heureux d'avoir l'apparence de bipèdes.
Salutations
Comme plusieurs dirigeants du parti Irada, l’ancien ministre et actuel avocat parisien Salim Ben Hamidane est monté aux premiers rangs pour défendre les suspects de l’affaire de Regueb. Une grosse affaire où se mélangent suspicions de terrorisme, suspicions de pédophilie, esclavage, endoctrinement, et ce selon les propos mêmes du ministère de l’Intérieur et du ministère de la Femme et de la famille et les premiers éléments fournis par le parquet.
Ne se rendant même pas compte qu’il tombe dans ses propres contradictions dans un seul texte, Salim Ben Hamidane a publié ce matin un nouveau post Facebook (le 3ème en quelques heures) dans lequel il dit la chose et son contraire. S’agissant des suspects dans cette grave affaire, Salim Ben Hamidane estime qu’il est grave de porter ce type d’accusations et de diaboliser les suspects, ce qui est contradictoire avec la présomption d’innocence. Il estime que cette affaire a été montée de toutes pièces par le journaliste Hamza Belloumi dans un objectif de diversion politique pour que le public ne s’occupe plus des affaires de corruption. Dans ce même post Facebook où il parle de présomption d’innocence, Salim Ben Hamidane accuse (sans preuves) le même Hamza Belloumi et une mystérieuse chambre d’opérations d’avoir truqué une vidéo contre son président Marzouki. L’affaire est pourtant devant la justice qui ne s’est toujours pas prononcée dessus. Dans ce même post, il met une image de Marouen Mabrouk et l’ancien ministre Mabrouk Kourchid en évoquant la corruption, alors qu’il n’y a aucun tribunal qui les a condamnés. Mieux encore, Marouen Mabrouk a même été disculpé dans plusieurs affaires.
Pourquoi la présomption d’innocence serait-elle valable quand il s’agit de terroristes, mais pas valable quand il s’agit d’un journaliste-vedette (à l’idéologie opposée à celle de Ben Hamidane) ou encore à un ancien parent de l’ancien régime ? Ainsi va la logique de Salim Ben Hamidane et de plusieurs autres dirigeants de Irada. Il n’y a point de terrorisme que dans nos têtes, la corruption est partout sauf dans nos têtes !
R.B.H
Comme plusieurs dirigeants du parti Irada, l’ancien ministre et actuel avocat parisien Salim Ben Hamidane est monté aux premiers rangs pour défendre les suspects de l’affaire de Regueb. Une grosse affaire où se mélangent suspicions de terrorisme, suspicions de pédophilie, esclavage, endoctrinement, et ce selon les propos mêmes du ministère de l’Intérieur et du ministère de la Femme et de la famille et les premiers éléments fournis par le parquet.
Ne se rendant même pas compte qu’il tombe dans ses propres contradictions dans un seul texte, Salim Ben Hamidane a publié ce matin un nouveau post Facebook (le 3ème en quelques heures) dans lequel il dit la chose et son contraire. S’agissant des suspects dans cette grave affaire, Salim Ben Hamidane estime qu’il est grave de porter ce type d’accusations et de diaboliser les suspects, ce qui est contradictoire avec la présomption d’innocence. Il estime que cette affaire a été montée de toutes pièces par le journaliste Hamza Belloumi dans un objectif de diversion politique pour que le public ne s’occupe plus des affaires de corruption. Dans ce même post Facebook où il parle de présomption d’innocence, Salim Ben Hamidane accuse (sans preuves) le même Hamza Belloumi et une mystérieuse chambre d’opérations d’avoir truqué une vidéo contre son président Marzouki. L’affaire est pourtant devant la justice qui ne s’est toujours pas prononcée dessus. Dans ce même post, il met une image de Marouen Mabrouk et l’ancien ministre Mabrouk Kourchid en évoquant la corruption, alors qu’il n’y a aucun tribunal qui les a condamnés. Mieux encore, Marouen Mabrouk a même été disculpé dans plusieurs affaires.
Pourquoi la présomption d’innocence serait-elle valable quand il s’agit de terroristes, mais pas valable quand il s’agit d’un journaliste-vedette (à l’idéologie opposée à celle de Ben Hamidane) ou encore à un ancien parent de l’ancien régime ? Ainsi va la logique de Salim Ben Hamidane et de plusieurs autres dirigeants de Irada. Il n’y a point de terrorisme que dans nos têtes, la corruption est partout sauf dans nos têtes !
R.B.H