Le premier jour du mois de ramadan ne déroge pas à la sacro-sainte règle de « Hchichet romdhan ». Qu’est ce que cela veut dire ? Cela veut dire que les jeûneurs ont les nerfs à vif et qu’il est préférable que personne ne les irrite davantage, autrement…
Autrement ? La photo résume, comme il se doit, à quoi pourrait ressembler l’autrement quand on fâche un jeûneur, tel ce taximan privé de ses cigarettes, de son petit-déjeuner et travaillant sous la chaleur. Une bagarre torse nu dans la rue et circulation arrêtée.
En théorie, le ramadan est le mois du pardon, de la générosité et de la fraternité. En pratique, pour beaucoup de Tunisiens, le mois de ramadan est celui des haleines fétides, des regards haineux contre les non-jeûneurs, de la paresse et des colères.
R.B.H.
Crédit photo : Ali Chouerreb
Un gueux actifs qui travaille et fais du sport qui jeune avec joie et avec plaisir, en tout cas cette année mashAllah les muslims ils forcent le respect en france d'apres une estimation une pratique repandue a 80% de la population musulmane.
Avez-vous fumé une substance illicite pendant le mois saint ?
Avez-vous pris des substance ou produit hallucinogènes ?
Ou alors vous avez fait un rêve ?
C'était en Tunisie ?
Quel est ce quartier paradisiaque, je vais vite déménager ?
Cordialement
Encore une preuve que Bourguiba était un grand visionnaire!
Bien cordialement.
Il nous apporte une photo sans identité, ni date, ni lieu, ni auteurs, ni témoins, ni procès verbal, et vomit toute sa haine contre l'ensemble du peuple tunisien.
C'est bien de savoir que cette bagarre trouve lieu à cause du jeûne de Ramadhan, suivant l'auteur de l'article qui leur aurait même senti l'odeur de leur haleine ramadanesque, parce que d'habitude, il n'y a jamais de bagarres en Tunisie. C'est aussi formidable que cette photo trouve l'intérêt de BN, parce que j'étais partout dans les marchés, dans les souks, dans les supermarchés et sur les routes. Ce qui m'a vraiment réjoui, c'est la gentillesse remarquable de tous les Tunisiens. Sur les routes, ils te laissent passer et te pardonnent tes gaffes avec le salut et le sourire. Dans les bousculades au marché, au souk hebdomadaire et au supermarché, tu n'entends que (s'il vous plait, pardon, je vous en prie, Dieu te protège et Dieu te vienne en aide", "Tfadhèl", "Samahni" "Ismillah âalik" et "Rabbi méâak". Je n'ai jamais vu de bagarres ou d'hostilités anormales. Les chamailles verbales ici ou là appartiennent à la vie partout où on va dans ce monde, mais à transformer les Tunisiens comme des sauvages par une photo comique, ça ne lèse qu'à l'auteur de l'article lui-même, qui s'illustre par l'absence de professionnalisme et de sérieux.
Des sujets de la sorte des «contes d'Abdelaziz El-Aroui» comptent par myriades. Mais personne ne les achètent, ni qu'il leur donne la moindre importance.
Si j'étais le chef de BN, j'aurais blâmé à maintes reprises ce Raouf. Ben. Hédi, jusqu'au coup de pied sur son postérieur, afin de ne plus le revoir détruire par sa frivolité, le sérieux acquis par le journal de Business News.
Vous ne connaissez ni le contexte ni la raison de cette altercation.
Oui il est vrai que c'est inapproprié Ramadan ou pas , mais l'homme est par essence non parfait.
On dit seulement "Allah Yahdi"