| 18-07-2019 09:00
Occupé sur le front terroriste aux différents points chauds de nos frontières, l'état a le plus grand mal à assurer la protection de ses citoyens qui subissent la délinquance quotidienne des agresseurs, des voleurs et autres nuisibles.
Le corollaire évident est le fait que les citoyens se mettent à assurer eux-mêmes leur sécurité et celle des leurs.
Qui est mieux placé qu'un homme de loi pour connaître les délits et les histoires des personnes qui ont été brutalisées, tuées, mutilées, lors d'un vol?
Certes, ces choses existaient bien avant la révolution, mais pas avec cette fréquence et cette ampleur. La différence est, qu'aujourd'hui, un vol de maison est rentré dans la normalité et qu'une maison "non visitée" durant deux années consécutives est une maison qui baigne dans de la chance.
L'escalade civile commence toujours de la sorte et c'est pour cela que lors des révolutions, dans les pays africains, les pilleurs et voleurs sont exécutés sur le champ (souvent de manière horrible).
Les armes se substituent à l'état, dans un pays où, durant les premiers jours qui ont suivi la révolution, le policier et le ministère de l'intérieur étaient montrés du doigt, et eux-mêmes agressés. Retour du boomerang: le peuple qui a décidé de mettre à plat l'autorité de l'état, n'a que ce qu'il mérite, à savoir un état qui n'est plus en mesure de le protéger.
D'autre part, l'armée ne peut être au four et au moulin. Ou bien elle protège les frontières et les intrusions de groupes terroristes, ou bien elle protège les biens des citoyens, ce qui n'est vraiment secondaire face à l'urgence terroriste.
Là aussi, le tunisien n'a que ce qu'il mérite. Heureux comme un imbécile de sa sacro-sainte révolution, il avait jadis osé affirmer (y compris BCE et Marzougui) qu'il n'y avait pas de menace terroriste en Tunisie. Ce fut d'ailleurs l'une des plus grosses pierres jetée à Ben Ali: Son manque d'égard envers les gentils activistes qui, d'après ceux qui ont fait votre révolution, ne représentaient aucune menace. Ces gentils islamistes dits "modérés" sont aujourd'hui classés "groupes terroristes" par ceux-là mêmes qui les avaient recrutés en Syrie et qui trouvaient qu'Al Nosra faisait du bon boulot.
Les islamistes ont eu le tort de manifester le la 3izza envers ces gens, se confondant en accolades mémorables, dignes d'un poème de Abou Nawas ventant les relations entre hommes.
Une telle 3izza ne pouvait échapper à la juste prédiction du Prophète: "Man i3tazza bighayri illlahi Dhalla Biyédi Man i3tazza Bihi". C'est dingue à quel point c'est juste!
"Biyédi Man i3tazza Bihi" a précisé notre bienaimé Prophète. C'est extraordinaire!
Ben Ali protégeait TOUT son peuple, y compris les islamistes en les empêchant de passer à l'acte. Il appliquait tout simplement la Loi. Cette chose si étrangère aux tunisiens qui ne l'envisagent encore que comme une limite à leurs libertés (destructrices).
Alors tunisiens, armez-vous! Mais de patience s'il vous plait, et pas d'armes à feu. Car l'escalade est vite arrivée.
LEON, Votre Conscience d'état,
Résistant, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Le corollaire évident est le fait que les citoyens se mettent à assurer eux-mêmes leur sécurité et celle des leurs.
Qui est mieux placé qu'un homme de loi pour connaître les délits et les histoires des personnes qui ont été brutalisées, tuées, mutilées, lors d'un vol?
Certes, ces choses existaient bien avant la révolution, mais pas avec cette fréquence et cette ampleur. La différence est, qu'aujourd'hui, un vol de maison est rentré dans la normalité et qu'une maison "non visitée" durant deux années consécutives est une maison qui baigne dans de la chance.
L'escalade civile commence toujours de la sorte et c'est pour cela que lors des révolutions, dans les pays africains, les pilleurs et voleurs sont exécutés sur le champ (souvent de manière horrible).
Les armes se substituent à l'état, dans un pays où, durant les premiers jours qui ont suivi la révolution, le policier et le ministère de l'intérieur étaient montrés du doigt, et eux-mêmes agressés. Retour du boomerang: le peuple qui a décidé de mettre à plat l'autorité de l'état, n'a que ce qu'il mérite, à savoir un état qui n'est plus en mesure de le protéger.
D'autre part, l'armée ne peut être au four et au moulin. Ou bien elle protège les frontières et les intrusions de groupes terroristes, ou bien elle protège les biens des citoyens, ce qui n'est vraiment secondaire face à l'urgence terroriste.
Là aussi, le tunisien n'a que ce qu'il mérite. Heureux comme un imbécile de sa sacro-sainte révolution, il avait jadis osé affirmer (y compris BCE et Marzougui) qu'il n'y avait pas de menace terroriste en Tunisie. Ce fut d'ailleurs l'une des plus grosses pierres jetée à Ben Ali: Son manque d'égard envers les gentils activistes qui, d'après ceux qui ont fait votre révolution, ne représentaient aucune menace. Ces gentils islamistes dits "modérés" sont aujourd'hui classés "groupes terroristes" par ceux-là mêmes qui les avaient recrutés en Syrie et qui trouvaient qu'Al Nosra faisait du bon boulot.
Les islamistes ont eu le tort de manifester le la 3izza envers ces gens, se confondant en accolades mémorables, dignes d'un poème de Abou Nawas ventant les relations entre hommes.
Une telle 3izza ne pouvait échapper à la juste prédiction du Prophète: "Man i3tazza bighayri illlahi Dhalla Biyédi Man i3tazza Bihi". C'est dingue à quel point c'est juste!
"Biyédi Man i3tazza Bihi" a précisé notre bienaimé Prophète. C'est extraordinaire!
Ben Ali protégeait TOUT son peuple, y compris les islamistes en les empêchant de passer à l'acte. Il appliquait tout simplement la Loi. Cette chose si étrangère aux tunisiens qui ne l'envisagent encore que comme une limite à leurs libertés (destructrices).
Alors tunisiens, armez-vous! Mais de patience s'il vous plait, et pas d'armes à feu. Car l'escalade est vite arrivée.
LEON, Votre Conscience d'état,
Résistant, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.