Intervenant en direct de la tribune du CPR à l’avenue Habib Bourguiba, Tarek Kahlaoui a adressé un message direct à un « journaleux » qui serait sur le plateau de Nessma TV. Tarek Kahlaoui reproche à cette personne, qu’il n’a pas nommée, d’avoir qualifié le meeting du CPR de « pitrerie ».
Selon Tarek Kahlaoui, cette personne ferait partie d’une liste de journalistes appelés « les chevaliers de la plume » dressée en 1994. Cette liste comprendrait des personnes qui étaient aux ordres de Ben Ali précédemment et de Béji Caïd Essebsi actuellement. Kahlaoui parlant sans présenter de preuves et encore moins de témoins.
Sofiène Ben Hamida, présent sur le plateau de Nessma, a dit qu’il ne connaissait pas personnellement Tarek Kahlaoui et que ce « pseudo-révolutionnaire » a fait ses études aux Etats-Unis pendant la dictature. Etudes qu’il aurait financées avec l’argent des Irakiens, selon le journaliste, sans donner plus de précisions.
Précisons qu'au cours de cette même manifestation, Tarek Kahlaoui a traité l'opposition tunisienne de « bande de gamins ». Nous y reviendrons.
Intervenant en direct de la tribune du CPR à l’avenue Habib Bourguiba, Tarek Kahlaoui a adressé un message direct à un « journaleux » qui serait sur le plateau de Nessma TV. Tarek Kahlaoui reproche à cette personne, qu’il n’a pas nommée, d’avoir qualifié le meeting du CPR de « pitrerie ».
Selon Tarek Kahlaoui, cette personne ferait partie d’une liste de journalistes appelés « les chevaliers de la plume » dressée en 1994. Cette liste comprendrait des personnes qui étaient aux ordres de Ben Ali précédemment et de Béji Caïd Essebsi actuellement. Kahlaoui parlant sans présenter de preuves et encore moins de témoins.
Sofiène Ben Hamida, présent sur le plateau de Nessma, a dit qu’il ne connaissait pas personnellement Tarek Kahlaoui et que ce « pseudo-révolutionnaire » a fait ses études aux Etats-Unis pendant la dictature. Etudes qu’il aurait financées avec l’argent des Irakiens, selon le journaliste, sans donner plus de précisions.
Précisons qu'au cours de cette même manifestation, Tarek Kahlaoui a traité l'opposition tunisienne de « bande de gamins ». Nous y reviendrons.
