À l’aube de ce lundi 9 juin 2025, une impressionnante caravane humanitaire a quitté Tunis en direction de la bande de Gaza, marquant un moment fort de solidarité nationale. Baptisée Caravane de la Résilience [Soumoud], cette initiative, lancée par la Coordination d’action conjointe pour la Palestine, vise à briser symboliquement le blocus imposé sur Gaza et à exprimer un soutien populaire sans équivoque à la cause palestinienne.
Le point de départ, fixé devant le ministère du Tourisme sur l’avenue Mohamed-V, a rassemblé dès 6 heures du matin près de 1.500 participants venus de toutes les régions du pays. Avocats, syndicalistes, médecins, militants associatifs et citoyens anonymes se sont unis pour former ce convoi exceptionnel, porteur de vivres, de médicaments, de matériel médical et de messages de paix.
« Il ne s’agit pas seulement d’un acte humanitaire, mais d’un acte de résistance morale », a déclaré le bâtonnier de l’Ordre des avocats, coordinateur de l’initiative.
Une traversée symbolique du pays
Avant de quitter le territoire tunisien par le poste-frontière de Ras Jedir, la caravane a été chaleureusement accueillie partout où elle est passée. Une foule nombreuse s’est réunie pour saluer les participants, confirmant une unité nationale autour de la cause palestinienne.
La caravane poursuivra sa route à travers la Libye et l’Égypte, avec pour destination finale la bande de Gaza, où la population vit depuis des mois dans des conditions dramatiques, entre bombardements, blocus total et pénuries massives.
Un cri contre l’oubli
Alors que les violences se poursuivent en Palestine et que les crimes commis par l’occupant israélien sont dénoncés par de nombreuses organisations internationales, cette action vise aussi à maintenir la lumière sur une tragédie humaine trop souvent reléguée à l’arrière-plan de l’actualité mondiale.
La Caravane de la Résilience, au-delà de l’aide matérielle, porte un message politique : celui d’un peuple tunisien solidaire, indigné, et déterminé à faire entendre sa voix face à l’injustice.
M.B.Z
Si jamais elle se concrétise, les autorités de l'est de la Libye et d'?gypte l'arrêteront.
Le Hamas sanguinaire et le criminel Netanyahou sont derrière ce génocide.
Assez de bruit. Réveillez-vous et soyez forts, vous serez respectés et personne n'osera vous toucher.
Les Yéménites sont un contre-exemple à votre argumentaire valable pour les poltrons.
La Tunisie est du bon côté de l'Histoire, c'est le plus important.
shame on you
Détrompez-vous ce n'est pas le lieu pour des colonies de vacances, pendant que l'ennemi lui continue à bâtir ses colonies et à bombarder des civils boucliers humains du Hamas, vous, vous resteriez à des dizaines de kilomètres loin de la frontière et de Gazza jusqu'à ce que l'égypte et son général décideront de vous renvoyer chez vous !
Vous ne connaissez absolument rien de cette partie du monde et de ce conflit. Ils vous ecraseront comme des mouches. Restez là où vous êtes et développez d'abord votre pays. Rendez le propre, sûr et prospère. Après on discutera, si vous faites vraiment le poids.
Des types comme vous, j'en ai vu beaucoup, en Cisjordanie même, et de toutes les nationalités. Des baratineurs et des hableurs pour la plupart. Car à l'écoute du premier tir, ils te poussent vers l'ennemi et se sauvent, encore plus vite que la maudite brise qui les a fait venir. Le perdant ? Le peuple palestinien qu'on continue à tromper et qu'on lui a promis la lune. Il en subira seul les conséquences désastreuses des criminels israéliens, fougueux et rancuniers.
Comme bon nombre de tunisiens, mes ancêtres se sont battus contre le colonialisme en Tunisie ET en Algérie. Ils nous ont légué un héritage moral qui n'est pas à la portée de tout le monde.
Les soumis de ton espèce étaient nombreux sous le colonialisme, et quel triste existence ont-ils mené. Et l'Histoire est une machine imparable.
Mais bon, quand on est borné et simple d'esprit, il n'y a pas vraiment de remède.
Commencez, si toi et tes semblales vous tenez autant que ça à vous révolter contre l'injustice, commencez alors par manifester contre les détentions arbitraires de journalistes comme Sonia Dahmani ou Mourad Zeghidi et autres citoyens défenseurs des droits humains. Car là on ne vous entend pas. Là où vous avez la chance de changer des choses. Vous préférez faire un voyage de divertissement. Voici ma foi le comble de la lâcheté !
Quant à leur complice de clavier dans ton genre, profitez bien. Un jour, vos commentaires seront classés comme contestation de crimes contre l'humanité et les gens vous cacheront dessus dans la rue.
