Il n'en demeure pas moins que BN traite par dessus la jambe, cette "affaire de plagiat" ou d'usurpation de pseudo. . .
Maxula.
La présidente du bloc du PDL au parlement, Abir Moussi, était l’invitée ce mercredi 11 décembre 2019, d’Elyes Gharbi sur Mosaïque FM.
Abir Moussi est revenue sur l’adoption hier du projet de loi de Finances 2020 et le refus de son bloc de voter ce projet, affirmant qu’il s’agit d’une grande mascarade et que, tant sur la forme que sur le fond, ce vote n’avait rien de sérieux.
« Comment voulez-vous que nous votons un projet de loi qui comporte 39 articles plus 70 autres complémentaires sortis de nulle part et truffés d’aberrations ? Même le ministre était gêné de constater l’étendue de l’ignorance des députés ! Comment voulez-vous que nous votons pour un projet de loi de Finances qui n’a ni queue ni tête, qui est totalement morcelé et qui mènera à coup sur le pays vers la ruine ? Comment voulez-vous que nous votons alors que nos experts ont tenté sans même le pouvoir apporter des améliorations sur ce projet de loi, tellement il est décousu ? Comment voulez-vous que nous votons pour des lois que nous n’avons même pas eu le temps de consulter ? Comment voulez-vous que nous votons pour des budgets ministériels alors qu’aucun ministre n’était là pour nous expliquer son programme ? Après on vient dire que le PDL s’oppose par simple idéologie, c’est faux ! Ce qui se passe est sidérant et nous serons là pour le dire, pour qu’on ne prenne plus les gens pour des idiots » a déclaré Abir Moussi.
Mme Moussi a également répondu à la députée Attayar, Samia Abbou, qui l’a accusée d’être une mercenaire, insinuant que le PDL sert les intérêts de parties étrangères et œuvre à renverser le système. « On peut tout dire des destouriens, mais vraiment tout, mais douter de leur patriotisme ça, non ! Notre ADN, ce que nous sommes, est défini par la souveraineté de notre Etat, nous sommes une organisation nationale par excellence et puis, dire que je suis une mercenaire… moi j’étais dans un parti, un système tunisien, national et souverain. On peut en dire ce qu’on veut, il était bon ou mauvais mais il était bien tunisien. Qui s’est allié avec des parties étrangères pour renverser ce système dans ce qu’on appelle le printemps arabe dont les secrets n’échappent plus à personne ? Ce n’est pas moi, ça s’est sûr ! » a-t-elle ajouté.
M.B.Z
La présidente du bloc du PDL au parlement, Abir Moussi, était l’invitée ce mercredi 11 décembre 2019, d’Elyes Gharbi sur Mosaïque FM.
Abir Moussi est revenue sur l’adoption hier du projet de loi de Finances 2020 et le refus de son bloc de voter ce projet, affirmant qu’il s’agit d’une grande mascarade et que, tant sur la forme que sur le fond, ce vote n’avait rien de sérieux.
« Comment voulez-vous que nous votons un projet de loi qui comporte 39 articles plus 70 autres complémentaires sortis de nulle part et truffés d’aberrations ? Même le ministre était gêné de constater l’étendue de l’ignorance des députés ! Comment voulez-vous que nous votons pour un projet de loi de Finances qui n’a ni queue ni tête, qui est totalement morcelé et qui mènera à coup sur le pays vers la ruine ? Comment voulez-vous que nous votons alors que nos experts ont tenté sans même le pouvoir apporter des améliorations sur ce projet de loi, tellement il est décousu ? Comment voulez-vous que nous votons pour des lois que nous n’avons même pas eu le temps de consulter ? Comment voulez-vous que nous votons pour des budgets ministériels alors qu’aucun ministre n’était là pour nous expliquer son programme ? Après on vient dire que le PDL s’oppose par simple idéologie, c’est faux ! Ce qui se passe est sidérant et nous serons là pour le dire, pour qu’on ne prenne plus les gens pour des idiots » a déclaré Abir Moussi.
Mme Moussi a également répondu à la députée Attayar, Samia Abbou, qui l’a accusée d’être une mercenaire, insinuant que le PDL sert les intérêts de parties étrangères et œuvre à renverser le système. « On peut tout dire des destouriens, mais vraiment tout, mais douter de leur patriotisme ça, non ! Notre ADN, ce que nous sommes, est défini par la souveraineté de notre Etat, nous sommes une organisation nationale par excellence et puis, dire que je suis une mercenaire… moi j’étais dans un parti, un système tunisien, national et souverain. On peut en dire ce qu’on veut, il était bon ou mauvais mais il était bien tunisien. Qui s’est allié avec des parties étrangères pour renverser ce système dans ce qu’on appelle le printemps arabe dont les secrets n’échappent plus à personne ? Ce n’est pas moi, ça s’est sûr ! » a-t-elle ajouté.
M.B.Z