
Le secrétaire général du mouvement Echaâb, Zouhair Maghzaoui, a annoncé sa candidature à la présidentielle prévue le 6 octobre 2024. Il a affirmé qu’il n’était pas un sombre inconnu et a expliqué qu’il avait milité contre la dictature.
S’exprimant le 23 juillet 2024 durant une conférence de presse, Zouhair Maghzaoui a indiqué qu’il était le candidat de tous ceux avec qui il avait milité et de ceux avec qui il a essayé de protéger la révolution tunisienne. Il a, aussi, considéré que les attentes de la jeunesse tunisienne n’ont pas été réalisées après la révolution et que la justice sociale n’a pas été réalisée. Il a évoqué une incapacité à provoquer le changement « Dernièrement, le pays vit une guerre contre les moulins à vent », a-t-il dit
Zouhair Maghzaoui a indiqué qu’il comptait faire face à l’économie de rente, afin d'améliorer la situation des Tunisiens et des retraités. Il a affirmé qu’il comptait se présenter pour améliorer l’accès à la santé et à l’éducation. Il a évoqué l’importance de revoir les relations diplomatiques de la Tunisie, notamment au niveau du continent africain et avec la Chine. Le secrétaire général du mouvement Echaâb a affirmé que son parti présentera bientôt son programme électoral. Il a assuré que son parti était capable de provoquer le changement et de préserver les intérêts de la Tunisie contrairement aux agissements actuels du gouvernement.
Zouhair Maghzaoui a affirmé que le mouvement Echaâb veillait à préserver et à garantir les libertés et la démocratie. Il a affirmé avoir déposé une proposition portant sur le retrait du décret 54. Il a assuré qu’il n’y aura pas de retour vers la censure, l’autocratie et les pratiques d’avant la révolution. Le dirigeant du mouvement Echaâb a, aussi, réitéré son appel à la criminalisation de la normalisation avec l’entité sioniste.
S’adressant à l’instance supérieure indépendante pour les élections, à l’administration tunisienne et aux médias publics, Zouhair Maghzaoui a appelé à respecter les candidats et à appliquer les principes d’égalité des chances et de neutralité. Il a indiqué que les dirigeants et décideurs au sein de l’administration, notamment les délégués et les gouverneurs ne devaient pas prendre de positions et soutenir un candidat au détriment des autres.
S.G
Quelle comparaison peut -on avoir entre nos dictatures "soft" et la dictatute baâthiste surtout avec les enfants de saddam à la limite du canibalisme ou les alaouites avec une destinée politique jouée à coups de fatwas et le pouvoir devient hérétique. Le comble , Les panarabes Syriens et Irakiens se donnent à coeur joie de s'entretuer
Monsieur Maghzaoui veut être le condidat de ceux avec qui il a milité Non merci pas moi.Il y'a l'embarras des choix même si j'ai un penchant pour Monsieur SAIED deuxième et dernier mondat avec Monsieur RAHOUI Mongi vice Président et prochain candidat ( 2029-2034 )