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Yassine Brahim accuse les gouvernements successifs d'avoir vidé les caisses de l'Etat
08/10/2016 | 11:49
1 min
Yassine Brahim accuse les gouvernements successifs d'avoir vidé les caisses de l'Etat

Le président d’AfekTounes, Yassine Brahim a, dans un statut Facebook publié ce samedi 8 octobre 2016, accusé les gouvernements successifs d’avoir épuisé les caisses de l’Etat et d’avoir aggravé l’endettement du pays. Il a ajouté que « pour acheter la patience et la paix sociale »ces gouvernements ont accepté, pèle mêle,  les requêtes de la centrale syndicale depuis la révolution du 14 janvier 2011.

 

Signifiant que l’Etat est au bord de la faillite, le président d’Afek Tounes a déclaré que l’Etat tunisien ne « peut même pas honorer ses derniers engagements ». Enfin, s’adressant à l’UGTT, il a évoqué la nécessité « de reporter à des jours meilleurs » l’augmentation de la masse salariale et s’est étonné que la centrale syndicale, qui détient pourtant un pouvoir décisionnel au sein du gouvernement, refuse cette option.

 

K.H



08/10/2016 | 11:49
1 min
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Commentaires (49)

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alya
| 10-10-2016 21:11
Ah oui!? c'est vrai tu n'as jamais été dans les gouvernements passés? et les dossiers de ton ministères ? franchement, tu aurais pu au moins ne pas être critique!

Monday
| 10-10-2016 09:01
Incroyable mai vrai, comment il retourne sa veste?!

"Mouch hatha éli kèn yochkèr wiymajjéd" du temps qu'il était Ministre?!!

Cela s'appelle MAUVAISE FOI et manque d'étique, cela ne s'appelle pas de la politique!

Givago
| 10-10-2016 07:09
C'est un constat flagrant pour tous les citoyens,ils attendent simplement le dernier coup de grasse.mais resteront sur leur fin parcequ'il ne connaîtront jamais les noms de ceux qui ont mis le pays a sec et sac et où sont passer les budgets de ces 5 dernières années.

Titien
| 09-10-2016 21:59
je viens de lire Dr Jamel Tazarki, voilà des interventions constructives qui doivent donner des idées aux décideurs politiques. Encore BRAVO pour cette série d'interventions DR Tazarki.

Léon
| 09-10-2016 15:52
Je suis d''accord sur le fond. Mais la différence est ce que j'essaie en vain de t'expliquer. Si les gens qui sont sortis dans la rue l'avaient bien fait pour leur conditions de vie (qui d'ailleurs étaient bien meilleures que celle de aujourd'hui), il n'en est pour autant pas moins vrais qu'ils n'avaient pas le droit de ne pas regarder dans le rétroviseur les menaces contre souveraineté de notre pays, d'autant plus que celles-ci étaient évidentes. Et de se poser la question: Pourquoi plaisons-nous tellement à Al Jazeera, à France 24, au congress américain.......
Je dis qu'ils avaient fermé les yeux exprès, passant leur intérêts devant celui de leur pays. Sans compter ceux qui, parmi eux, n'étaient pas dans le besoin et avaient tout fait aussi pour ne pas entendre la menace réelle.
Je n'ai jamais dit que la revendication populaire n'était pas légitime. Même Ben Ali a dit qu'elle était légitime et l'a écoutée. Je ne vais pas être plus royaliste que le roi.
ce que je dis c'est que les tunisiens, souvent pour assouvir des rancoeurs personnelles et non nobles, ont préféré fermer les yeux sur le viol de leur mère....patrie. et que cela a un prix: Celui qu'ils vivent aujourd'hui. D'autre part, je pense que cela pouvait être pire mais que le tunisien s'est montré un minimum urbain et civique. Je pense en particulier à Ennahdha (il faut saluer toute bravoure) sans pour autant appuyer un parti qui fait son commerce avec la religion car ils ne sont pas plus musulmans que moi, et certainement pas plus tunisiens que moi.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant Souverainiste.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Couilles et Culs
| 09-10-2016 15:19
tu dois accepter que tu n'es plus ministre
tu manques de fair-play !!!

Forza
| 09-10-2016 14:30
Les crédits ont été signés pour se payer des augmentations de salaires pour les fonctionnaires de l'état et pour recapitaliser les banques publiques qui ont fiancé les grands requins dans le tourisme et le contribuable paye la note. Ceux qui sont sortis dans les rues et ceux qui ont payé le prix du sang ne sont pas des fonctionnaires et n'ont profité de rien. Cette pauvre révolution, aabitoulha kirchha bilgourt. Elle est faite maintenant responsable pour tous les maux de la société qui existent depuis des décades et la Tunisie a une longue histoire avec le FMI et non pas seulement depuis 2011.

Lecteur_BN
| 09-10-2016 12:12
Ministre tunisien du Transport et de l'Équipement
27 janvier ' 17 juin 2011

http://www.air-journal.fr/2011-02-07-tunisair-reintegre-ses-filiales-524908.html

"La compagnie aérienne Tunisair a décidé de réintégrer l'ensemble de ses filiales, dont Sevenair et Tunisair Handling, une décision prise par le gouvernement de transition afin de faire cesser la grève des manutentionnaires dans les aéroports du pays."

Il a cédé en février 2011 et maintenant il crache dans la soupe!

Léon
| 09-10-2016 08:43
Monsieur,
Vous avez fait partie de deux gouvernements. JW et moi-même avons effectué plusieurs appels de détresse au ramassis de politiciens de la dernière heure, manipulés par les forces étrangères que sont TOUS les politiciens post-révolutionnaires.
J'avais vu, aussi clair que dans l'eau de roche, que le flux incessant d'argent emprunté avec la bénédiction des lobbies mondiaux n'avait pour but que de faire croire au peuple que son entreprise révolutionnaire était le bon choix, et je l'ai rappelé dans plusieurs "j'accuse" dont sont témoins les articles de BN.
Je l'avais rappelé à tous les gouvernements post-révolution (depuis 2012) en les appelant à dire les vérités au peuple au lieu de lui faire croire que tout roule, et pour le responsabiliser. Je leur avais dit que je les TENAIS POUR RESPONSABLES (taire au peuple les vérités pour le calmer) de ce fait grave car il s'agit d'un fait touchant à la souveraineté du pays. Dans votre cas, c'est d'autant plus déplorable que vous êtes l'enfant d'un vaillant militaire.

Sur ce, je ne vous en tiens pas rigueur pour deux raisons:
- La première est que le peuple lui-même ne voulait entendre au autre son de cloche que celui qui lui racontait cette blague monumentale: "Vous êtes un grand peuple". Vous pouvez d'ailleurs vous appuyer sur le fait que Léon n'a cessé de rappeler ce danger, au moins aux intellectuels et aux gouvernements successifs, qui lisent bien sûr TOUS business news.
Vous pouvez d'ailleurs vous appuyer sur d'autres intellectuels comme Forza qui bénissaient l'entreprise révolutionnaire contre vents et marrés, sachant pertinemment le volume non-souverain de nos emprunts.
Vous pouvez aussi vous baser sur un certain Abel Chater qui, dans un tout autre style, bénissait la même chose, sous la bannière de mauvais sentiments, communs à 90% de la populace.
Bref, vous pouvez toujours dire que vous n'êtes pas mieux que le commun du peuple et qu'il fallait écouter Léon, JW et Salahtataouine pour leur maturité et leur vrai amour pour leur Patrie.
- la seconde raison est que vous avez été le premier à réagir et à le dire. Bien sûr, cinq années plus tard que Léon qui en était arrivé à appeler le peuple de ne pas voter en pays occupé, récoltant les insultes des gueux. Gueux qui sont encore à la recherche de solutions pour le pays, après l'avoir détruit et ratatiné.
Inconnu par le peuple pour n'avoir pas pratiqué de politique (pas besoin de cela quand le pays roulait si bien avant la révolution), je reste à la disposition de l'ÉTAT (et rien d'autre: ni partis, ni personnes physiques) pour remettre d'éventuelles solutions. Je ne veux surtout pas apparaître ni me montrer au peuple de la trahison collective de peur de les insulter dans une diatribe sans précédent dans l'histoire des discours.
Ces solutions existent et arrêtez de lire les "y a qu'à" et les analyses inutiles de gens qui veulent copier d'autres systèmes. Nous ne sommes ni suédois ni japonais. Nous avons nos spécificités et ils faut les respecter. Mais malheureusement les politiciens actuels ne les connaissent même pas. Pour les autres, ils n'ont pas le recul nécessaire pour voir un système dont on fait partie intégrante. Si vous voulez vous en convaincre lisez Kurt Gödel (c'est valable pour toute l'humanité).
C'était l'intelligence de la politique de Bourguiba et de Ben Ali.
Il faut passer à la vitesse supérieure dans ces spécificités. Et pour que le peuple suive, il va falloir lui dire certaines vérités cachées comme l'a fait Yassine cinq années plus tard que votre serviteur. Les politiques de la révolutions doivent se tirer de la scène comme l'a fait Chebbi et ne plus la ramener. L'état du pays ne peut le permettre.
Yassine a réagit un peu tard, mais comme le dit la maxime: Mieux vaut tard que jamais. Et en parlant de ma personne je dirai: vieux motard que jamais. On ne sait jamais. La foi peut aider.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant Souverainiste.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

zohra
| 09-10-2016 07:26
Ils passent tous aux gouvernement, une fois sur place ne font rien plutôt ils participent à vider la caisse de l'état, et quand ils n'y sont plus pour continuer à vider, ils deviennent des envieux et ils accusent les uns et autres par jalousie. Il fallait le dénoncer avant maintenant vous êtes considéré comme complice Monsieur.