
Le journaliste et directeur du média d'investigation "Al Katiba" a annoncé, dans une publication Facebook du 24 juillet 2024, avoir été condamné à un an de prison par contumace et placé sur la liste des personnes recherchées. Il a indiqué que l'affaire avait été montée de toutes pièces et qu'il n'a pas été convoqué ou informé de la chose par les autorités officielles.
Réagissant à la nouvelle, le Syndicat national des journaliste tunisien (SNJT) a exprimé, dans un communiqué du 24 juillet 2024, sa solidarité envers le journaliste et a dénoncé l'attitude de la justice tunisienne qui, selon l'organisation, prononce des jugements par contumace à l'encontre de journalistes et de médias dont l'adresse est connue par tous. Le syndicat a évoqué une banalisation de la prononciation de jugement incluant une privation de liberté et conduisant à des atteintes à la liberté de la presse et des journalistes.
Le SNJT a qualifié la justice tunisienne de défaillante en raison des multiples jugements prononcés et ciblant des journalistes impliquant des atteintes au droit de se défendre. Le syndicat a appelé l'État tunisien à assumer ses responsabilités et à trouver une solution aux atteintes procédurales portant sur la présence des accusées durant les procès.
Par ailleurs, le SNJT a expliqué que l'affaire remontait à 2017. Une plainte avait été déposée par le chargé du contentieux de l'État auprès du ministère de l'Intérieur. Un jugement en première instance a été rendu en janvier 2023 incluant une peine de prison d'un an pour diverses accusations, dont celle d'offense au président de la République. La même source a assuré que le journaliste et directeur du média Al Katiba n'a pas été officiellement convoqué à comparaître devant la cour. Le SNJT a expliqué que l'avocat de la défense a fait opposition et a demandé le retrait du nom de son client de la liste des personnes recherchées. Une audience a été fixée à la date du 22 août 2024.
S.G

Partant de ce principe je suis sans paroles pour savoir Quoi lire et à qui donner le crédit du Journaliste
Et comment la justice ne convoque pas les 'invités' de ZITOUNA TV , chaine interdite, surtout ceux qui sont interviewés à leur domicile en Tunisie ou interviennent par téléphone de la Tunisie, pour collaboration avec une chaine HORS LA LOI.
il faut mettre de l'ORDRE dans le paysage médiatique et dans cette SNJT .
Il ne faut pas penser que l'ISIE est fatiguée des plaintes qu'elle ait déposées en 2022 ET 2023!!!! ou que la JUSTICE est en CONGé.
Tout au long de la décennie noire, il y a eu un déficit de patriotisme, comme ça n'a jamais existé avec la plus intense surproduction de rats de tous les temps.
Il sera très difficile, si ce n'est impossible à ce que Kaissoune, notre intègre et patriote président, nous débarrasse de tous ces charognards embusqués et sur-affamés depuis le 25 juillet béni.
Kaissoune est seul contre tous.
Inchallah Rabbi ya3tih él kouwa pour nous débarrasser de cette sale race de traitres, de toutes ces hyènes et de tous ces chacals sans foi ni loi.
Une chose est certaine : Famma Rabbi, soubhanou wè ta3ala !!!