L’Union des magistrats administratifs (UMA) a réagi dans son communiqué publié, le 16 août 2021, aux fausses déclarations et diffamations qui ont touché certains juges administratifs, notamment sur les réseaux sociaux, en affirmant leur soutien absolu à la politique de l'État visant à lutter contre la corruption et son adhésion au principe de responsabilité.
Le bureau exécutif a condamné fermement les insultes et l’atteinte à la vie privée dont leurs collègues étaient victimes, en soulignant que le tribunal administratif restera toujours protecteur des droits et libertés et loin de toutes querelles politiques.
Il a aussi estimé que la lutte contre la corruption n’autorise pas les campagnes de calomnie en précisant qu'aucun juge administratif n’était impliqué dans des délits ou dossiers de corruption dans le cadre de l’exercice de ses fonctions.
L’Union des magistrats administratifs a aussi confirmé que le statut et le pouvoir de la magistrature gouverne le traitement des magistrats et l’immunité des juges demeure une ligne rouge indépendamment du cadre exceptionnel actuel.
A travers ce communiqué, le bureau exécutif a appelé le ministère public à intervenir immédiatement et intenter l’action publique contre tous ceux qui ont injustement porté atteinte à la réputation des juges, en particulier sur les médias sociaux.
J.B
RENDRE DES COMPTES est une culture, elle doit être IMPOS'?E a tous les citoyens.
Il est temps de démêler tout ça.
Une ligne rouge ne doit, en principe, pas être dépassée, c'est une frontière symbolique que l'on fixe là où on veut.
Alors, si l'immunité des juges est une ligne rouge à ne pas dépasser, la lever ne pose aucun problème légal, puisqu'on ne dépasse pas "la ligne rouge" on ne fait que l'atteindre.
Je vous le dis en tant que citoyen qui se respecte et qui a horreur de ce comportement des juges hors-la-loi, je vous dis que nous avons une colère immense contre le corps des juges, demandez à un citoyen s'il y a justice et il vous dira que la justice est égarée dans les tribunaux!
Les juges on ne les respecte que quand il respecte leur profession et leur profession consiste à faire de manière que la balance , le lion et l'épée aient leur matérialisation dans l'observation de la marche correcte de la loi, dans sous le toit de la Cour de la République.
Ce que les participants du débat public réel et virtuel expriment sur les réseaux est leur point de vue, leur idée; vous ne pourrez plus les bâillonner même en leur dressant des cours d'Inquisition! Voilà, j'ai exprimé mon point de vue qui est au même temps ma plus libre indignation! N'est pas encore né qui pourra de nouveau nous museler...
il faut appeler les choses en leur nom
Et cesser de brandir ce tamis obscene en guise de parasol
Une partie importante de nos corps de souverainete
Magistrats
Securitaires
Fonctionnaires du Ministere de l'Equipement Commerce Finances Interieur ............
Une majorite de ces fonctionnaires est corrompue voire totalement pourrie
IL FAUT l'ECRIRE NOIR SUR BLANC
Si la verite se faisait jour concernant les malversations de nombre de magistrats ou de securitaires
la Tunisie serait citee comme un cas d'ecole en matiere de delinquescence de sa fonction publique
La justice militaire devrait commencer à se préparer pour remplacer d'urgence et temporairement, l'ensemble de l'essaim de magistrats corrompus noyautant la justice civile.
bhiri est khriji ont complètement détruit l'éthique des juges et procureurs, qui pourtant, devrait être des plus exemplaires !!!
Tout coupable doit payer cash, ses actes, ses méfaits et ses traitrises, quelque soit son rang, son métier ou sa hiérarchie.
On comprend mieux maintenant le comportement outrageant d'une certaine catégorie de gardiens d'étables et d'écuries ayant transformé la basse-cour nationale en un ring de M.M.A.
On sentait bien qu'ils bénéficiaient d'une protection absolue, d'une part de la part du gâteux terroriste qui présidait la cour des miracles du Bardo, de sa vendue, minable et misérable secrétaire et par ricochet , de la justice.
Allez, envoyez nous toute cette racaille au trou, en multipliant leur peine par deux, du fait qu'ils sont censés condamner des justiciables pour les actes dont ils se sont rendus eux-mêmes coupables !!!!!!!!!!!!!!!!
- Personne ne peut mettre en péril la justice sociale,
- Tous les tunisiens sont égaux devant la justice, et ce, indépendamment de leur couleur, de leur confession religieuse, de leur appartenance politique et de leur statut social.
Cela dit, l'immunité parlementaire et l'immunité des juges, ne doivent pas faire de leurs bénéficiaires des intouchables.
Manifestement, les juges n'ont pas encore retenu la leçon de l'immunité parlementaire.
Un criminel, un traître de la Nation, un corrompu, pour ne citer que ces trois cas, doivent perdre immédiatement leur immunité, pour que la justice puisse statuer sur leur cas.
Lorsque les juges se serrent les coudes pour refuser la suspension de l'immunité de l'un de leur collègue, c'est le président de la République qui doit s'en charger, sinon, les tunisiens descendront dans la rue pour déshabiller le juge en question et récupérer son immunité. C'est clair, c'est net, c'est précis.
Les abus de la justice : stop, enough, ras-le-bol, basta, Kafa.
Faites attention, le Liban est tombé à cause de malversations de ce genre...