
« Le pays est au bord d’une catastrophe économique ». C’est ce qu’a souligné l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) dans un communiqué publié jeudi 28 avril 2022 à l’occasion de la célébration de la fête internationale des travailleurs (célébrée le 1er mai) affirmant que les gouvernements qui se sont succédé n’ont trouvé d’autres solutions à la crise que davantage de dettes et la levée des subventions pour combler le déficit budgétaire de l’Etat.
La Centrale syndicale a noté l’absence d’une politique de réformes à destination des entreprises, des structures économiques et secteurs stratégiques.
L’organisation a ajouté qu’elle appuyait fortement les efforts visant à redynamiser l’économie mais n’hésiterait pas à défendre les droits socio-économiques des travailleurs estimant que ceux-ci sont les plus impactés par l’instabilité politique, l’improvisation et la dégradation du pouvoir d’achat.
Elle a ajouté qu’il était temps de s’engager dans une vraie lutte contre la corruption, la contrebande, le monopole et l’évasion fiscale qui menacent la paix sociale.
Rappelant qu’elle a finalisé avec l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica) une série de négociations pour l’augmentation des salaires des travailleurs du secteur privé, l’UGTT a indiqué qu’elle attendait encore la publication de ces accords dans le Journal officiel de la République tunisienne (Jort).
La Centrale syndicale a poursuivi, dans ce même contexte, qu’elle insistait sur l’application des conventions sectorielles conclues avec le gouvernement soulignant l’importance d’accélérer la hausse du Smig et la nécessité d’engager des négociations sur de nouvelles augmentations salariales au profit des fonctionnaires publics afin de pallier la détérioration du pouvoir d’achat.
N.J.

Elle a le culot maintenant de mettre le blame sur les autres. C'est vraiment osé!!!
Assumez L'UGTT vos conneries, la perte de toutes les entreprises qui étaient partie ailleurs loin des massacres syndicales qui les empêchaient de travailler.
Sans ça vous y êtes pour rien
Maintenant il nous reste que la poltique de casser les os..
L´abolution immédiate de l´UGTT est une priorité absolue pour la survie de la Tunisie.
Que doit-il encore se passer pour que toutes les personnes influentes du pays s'unissent contre cette mafia et manifestent pour son interdiction .. ?
Un pays du tiers monde comme le nôtre ne peut survivre avec cette UGTT !
Même la France ou l´Allémagne ne peut tolerer ces "syndicalistes" tunsiens..
Comme on die en Allémand: Ein Ende mit Schrecken ist besser als ein Schrecken ohne Ende!
--> Une fin avec des horreurs vaut mieux qu'une horreur sans fin !
Voilà qui va bien contribuer à restaurer les équilibres du pays!

