
L’ancien député et activiste Majdi Karbai a partagé, jeudi 3 avril 2025, sur son profil Facebook la tragique nouvelle de la tentative de suicide d’un migrant tunisien en Italie. Ce dernier, qui se trouvait au centre de détention de Gradisca d'Isonzo à Gorizia, a tenté de mettre fin à ses jours en raison de la décision d'expulsion vers la Tunisie.
Majdi Karbai a également publié une vidéo de la scène, montrant la situation dramatique dans laquelle se trouvaient les migrants au centre. Ce geste désespéré met en lumière les conditions inhumaines vécues par certains migrants tunisiens dans les centres de rétention à travers l’Europe.
Rappelons que ce n'est pas un cas isolé. Un autre migrant tunisien s'était également suicidé, le 19 mars 2025, dans un centre de rétention, un fait qui témoigne de l'ampleur de la détresse dans ces lieux de privation de liberté. Majdi Karbai exprime son vœu que la Tunisie, en tant qu’État, prenne davantage en compte la situation de ses ressortissants à l’étranger et œuvre pour l’amélioration de leurs conditions, avant qu’il ne soit trop tard.
Les informations concernant les expulsions de Tunisiens d'Europe et le traitement inhumain qu’ils subissent ont suscité une vive polémique dans l’opinion publique. La Ligue tunisienne de défense des droits de l'Homme (LTDH) a dénoncé de nombreuses violations des droits fondamentaux des migrants, soulignant l'inaction des autorités tunisiennes face à cette situation alarmante. De son côté, le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) a exigé des réponses concernant les accords secrets et les expulsions forcées de migrants tunisiens, appelant à un engagement plus ferme des autorités pour garantir la dignité et la sécurité de leurs ressortissants à l'étranger.
S.H
Ces derniers, aussi opportunistes que leurs commanditaires, se firent aussitôt déglinguer, par nos services de sécurité qui veillent à la stabilité et à la bonne gouvernance d'un pays meurtri, par les agissements d'inquantifiables hordes de charognards, de rkh'ass, de vendus et de traitres, enfantés dès le coup d'Etat de 2011, consommé.
N'ayant plus rien à se mettre sous la dent, ils sont tel un groupe de suricates en mode vigie.
Dès qu'un tunisien glisse sur une peau de banane, à Madrid, ou se fait prendre en flagrant délit de braquage à Paris, par exemple, les voilà tous accourant à une vitesse comparable à celle d'une gazelle pourchassée par un guépard, criant au scandale.
Dommage que le ridicule n'ait jamais tué, sinon en ce moment même, notre NATION serait devenue un havre de paix ou il fait bon vivre !!!!!