
Le député à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), Tarak Mahdi, est intervenu lundi 3 mars 2025, sur les ondes de Jawhara FM, au sujet des confrontations et de la violence entre des Tunisiens et des Subsahariens, récemment relayées sur les réseaux sociaux.
« Les incidents de ce type ne sont plus dissimulés, et la violence augmente de plus en plus. On remarque que les grands rassemblements de Subsahariens se concentrent dans les grands gouvernorats côtiers et la capitale », a indiqué l’invité de Hatem Ben Amara. Il a également ajouté que plusieurs membres de cette communauté exercent la mendicité par le biais de leurs enfants.
« À Jebeniana et El Amra, et je n’ai pas honte de le dire, les Subsahariens ont colonisé les propriétés des Tunisiens », a poursuivi Tarak Mahdi. Il a ensuite appelé le gouvernement à réagir positivement aux initiatives des députés.
« La nouveauté aujourd’hui, c’est que nous faisons face à des organisations criminelles en évolution », a annoncé l’invité de l’émission « Sbeh El Ward ». Il a ajouté : « Aujourd’hui, la sécurité et la vie des Tunisiens sont impactées ». Il a également mentionné que des bandes criminelles ciblent les maisons de personnes vulnérables, et sous la menace d’armes, volent leurs biens.
« Nous, les députés du peuple et de la région de Sfax, avons rendu visite à ces domiciles et aux victimes de braquages à main armée », a expliqué M. Mehdi, tout en alertant sur le risque d’une explosion de la situation, liée à un désir de vengeance grandissant.
« Ces actes sont des actes terroristes, et leur confrontation doit être assurée par les forces armées afin de protéger nos citoyens et libérer El Amra et Jebeniana », a ajouté Tarak Mahdi, appelant également au déplacement des Subsahariens vers des zones éloignées des grandes agglomérations.
H.K
La différence c' est que les migrants illégaux en France ont des droits par exemple les soins gratuits, un logement provisoire et des aides de l'Etat ou des collectivités locales s' ils sont mineurs ou des associations s'ils sont majeurs. Ce qui n'empêche pas les OQTF et la surveillance accrue des frontières. Aucun pays au monde n'accepte l'immigration clandestine mais il y a manière et manière de traiter le problème en respectant la dignité de chacun.
Pourquoi ne pas déplacer les populations autochtones de Jebeniana et El Amra vers d'autres régions ?