Le vice-président du Conseil des ministres et ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani a indiqué que l’Union européenne a décidé d’intervenir directement pour soutenir la Tunisie indépendamment de la conclusion ou non d’un accord avec le Fonds monétaire international (FMI). L’accord vise à préserver la stabilité au sein du pays.
Selon une publication du 27 juin 2023 de l'agence de presse italienne Aki, Antonio Tajani a indiqué que la signature d’un accord entre l’UE et la Tunisie devrait avoir lieu dans les prochains jours.
Il a expliqué que la décision de soutenir la Tunisie a eu lieu durant la visite de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, de la présidente du conseil italien, Giorgia Meloni et du Premier ministre néerlandais, Mark Rutte.
S.G
On était de loin mieux qu'aujourd'hui. Allah yehlek les Khouengias et leurs alliés. Lê tarhmilhom a3dham .
Et puis avant de t'engager, de promettre la lune, de faire croire que tu peux remuer ciel et terre, vas te mettre d'accord avec l'autre abruti de Josep Borrell qui annonce tout le contraire de ce que toi, Tajani, inventes à longueur de journée....
On ne peut en dire autant de certains en Tunisie spécialisés dans le dénigrement avant même d'analyser ou comprendre les enjeux pour les parties en cause.
L'Europe est prise dans ses contradictions, à la fois son élan "naturel" de dispensatrice de leçons sur la démocratie et la liberté, et du même coup ayant chauffé à blanc ses populations par des discours xénophobes outranciers, y compris au niveau de ses plus hauts représentants, ne peut faire autrement que se donner les moyens de ses ambitions d'endiguer cette immigration présentée en "envahissement", "submersion" tout aussi injustifiés l'un comme l'autre.
Surtout, lorsqu'on clame par ailleurs, le besoin de bras pour certaines professions que ses citoyens refusent d'exercer.
La Tunisie, couloir opportun depuis quelques années, peut tirer profit de cette situation en protégeant ses frontières non par désir de chasser, comme certains se plaisent à soutenir, les subsahariens qui cherchent à rejoindre l'Europe.
Elle ne veut pas, davantage, ériger des camps ou encore maltraiter de pauvres heures victimes de l'Histoire et de l'imperitie des pouvoirs de leurs pays.
Le reste relève d'un registre désormais connu.