Notre confrère Sofian Ben Aïssa, directeur de la Radio nationale (publique) subit actuellement une campagne de dénigrement de la part de quelques anonymes « courageux » sur les réseaux sociaux. Connu pour sa fermeté quant aux devoirs des journalistes et la nécessité de respecter la profession et la déontologie, notamment à l’antenne d’un service public, le travail de Sofian Ben Aïssa est de plus en plus critiqué par certains de ses propres journalistes habitués au farniente et à exiger des droits sans se soucier de devoirs.
En dépit de l’intervention de plusieurs conciliateurs pour expliquer aux journalistes qu’ils ont autant de devoirs que de droits, et bien que Sofian Ben Aïssa soit lui même issu de cette radio nationale, les esprits demeurent chauffés.
Dernier épisode en date, des publications Facebook où l’on traite le directeur de « merde ». Un langage qui dénote du niveau réel de ces « journalistes » qui se prennent pour de fins limiers face à leur directeur et ne se rendent pas compte qu’ils lui donnent tout à fait raison par ces publications de... « merde ».
R.B.H
Sofian Ben Aïssa face aux journalistes de ... « merde »
Notre confrère Sofian Ben Aïssa, directeur de la Radio nationale (publique) subit actuellement une campagne de dénigrement de la part de quelques anonymes « courageux » sur les réseaux sociaux. Connu pour sa fermeté quant aux devoirs des journalistes et la nécessité de respecter la profession et la déontologie, notamment à l’antenne d’un service public, le travail de Sofian Ben Aïssa est de plus en plus critiqué par certains de ses propres journalistes habitués au farniente et à exiger des droits sans se soucier de devoirs.
En dépit de l’intervention de plusieurs conciliateurs pour expliquer aux journalistes qu’ils ont autant de devoirs que de droits, et bien que Sofian Ben Aïssa soit lui même issu de cette radio nationale, les esprits demeurent chauffés.
Dernier épisode en date, des publications Facebook où l’on traite le directeur de « merde ». Un langage qui dénote du niveau réel de ces « journalistes » qui se prennent pour de fins limiers face à leur directeur et ne se rendent pas compte qu’ils lui donnent tout à fait raison par ces publications de... « merde ».