
Dans un message publié sur sa page officielle ce mardi 14 janvier 2025, Slim Riahi, homme d’affaires et ancien président du Club Africain, a réagi aux déclarations du président Kaïs Saïed concernant l'annulation de l’embauche du sélectionneur étranger Carlos Queiroz. Selon le président, cette décision aurait été motivée par le souci d'éviter un gaspillage des fonds publics. Mais, pour Slim Riahi, le problème dépasse le simple choix d'un entraîneur.
Slim Riahi commence par rappeler que le football moderne n'est plus qu'un simple jeu, mais une véritable industrie mondiale soumise aux lois du marché. Les salaires élevés des grands entraîneurs et des joueurs professionnels ne sont pas le fruit du hasard, mais le reflet d’un système global où la qualité et l'excellence ont un prix, soutient-il. Ainsi, espérer des résultats de haut niveau avec des budgets modestes relève, selon lui, de l'utopie.
« Les lois du marché sont claires et strictes, que ce soit dans le football ou dans les autres secteurs économiques et d'investissement », a-t-il souligné. Il insiste également sur le fait que la faiblesse du dinar tunisien ne peut servir d'excuse pour ignorer ces réalités.
Slim Riahi a évoqué son expérience à la tête du Club Africain, où il a considérablement augmenté le budget annuel du club, le faisant passer de vingt à trente millions de dinars. Sur une période de près de six ans, il affirme avoir contribué personnellement à hauteur de 64 millions de dinars. Cette décision, critiquée à l’époque comme étant « populiste », s’est avérée visionnaire, selon lui. Il ajoute qu'aujourd'hui, des clubs comme l’Espérance Sportive de Tunis fonctionnent avec des budgets annuels de cinquante millions de dinars, illustrant le besoin d’investissements conséquents pour rester compétitif.
Dans son message, Slim Riahi a adressé un conseil au président de la République : « Ne laissez pas les discours populistes vous égarer. Ces idées peuvent convaincre à court terme, mais elles ne résisteront pas à l’épreuve du temps. Les Tunisiens veulent des victoires, de la fierté et des moments de joie. »
Il plaide également pour plus de transparence de la part des autorités. Si les contraintes financières sont réelles, elles devraient être expliquées honnêtement aux citoyens plutôt que d’être utilisées comme justification populiste.
Pour Slim Riahi, le football est le reflet des ambitions d’une nation, tout comme ses réussites économiques et sociales. Construire un avenir brillant pour l’équipe nationale exige des investissements aujourd'hui, combinés à une vision stratégique, de l'audace et la volonté de prendre des décisions courageuses.
« Le succès ne vient pas par hasard, mais grâce à une vision claire et une détermination à surmonter les obstacles », conclut-il.
S.H



on a pas de joueurs qui méritenet des entreneur de hauts niveau on a pas aussi les moyens en tout
laseule chose est de sacrifier des année de repos pour s'occuper de la formation des jeunes des ecoles que des ecoles
on va pas en guerre san armes et sans envergure
Qu'il nous explique surtout comment le soir même du putsch du Judas Youssef Chahed avec la dissidence de presque la moitié des élus de NT partis dans TT,replaçant Ennahdha en tête,comment donc il a été contraint d'obéir à BCE pour offrir ses élus de son groupe UPL à l'ARP à NT,à charge de revanche de BCE contre celui qui l'a trahi,la patte d'un RG y étant certainement pour quelque chose Ki raouém YC.
N'oublions pas que face à une rue à l'époque en ébullition entre le camp des "Islamistes" et ceux des "Laïcs",un tête-à-tête entre BCE président d'un NT et un RG fut organisé au Georges V à Paris,qui était l'homme de l'ombre ayant organisé cette réunion? devinez:SLIM RIAHI.....
Alors sauf votre respect,Si Slim,vos conseils........
Il faut savoir aussi que nous avons des entraîneurs tunisiens compétents capables de projeter aussi bien que cet entraîneur à emoluments très élevés ( plus de 5 millions de dinars/an .
Il ne faut pas oublier non plus qu'un entraîneur tunisien avec des rendements semblables ne percevra qu'un salaire négligeable par rapport à celui de cet entraîneur .
Dans tous les cas, dans les conditions actuelles et avec 2 matches restants à disputer non difficile pour être parmi les équipes en coupe du monde prochaine, il n'est pas permis de dépenser ce montant exorbitant.
Il faudrait quand même trouver un optimum entre le salaire de l'entraîneur/ le rendement et les objectifs ou classement .
Il serait impossible d'avoir la coupe du monde ou d'être parmi les 4 meilleures équipes. Avec n'importe quel entraîneur, tunisien ou étranger pour la coupe du monde prochaine, il serait possible difficilement d'accéder au 2eme tour jamais atteint auparavant.
Donc, pourquoi toutes ces dépenses ?
En conclusion, Slim Riahi n'a pas de conseil à donner sur ce sujet puisqu'il passe à côté de la plaque .Il pense que la "" force des dépenses "" entraînera les bons résultats ; ce qu n'est pas toujours le cas.
Nous devons compter sur les techniciens tunisiens
Mais cher concitoyen si vous aimez qu'ils soient pris en considération, rentrez au pays, et régulariser votre situation !
Des conseils par procuration, n'auront jamais d'échos ni empreintes.