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Sidi Bouzid : un médecin arrêté suite à une publication Facebook
18/11/2021 | 11:40
1 min
Sidi Bouzid : un médecin arrêté suite à une publication Facebook

 

Dans une déclaration accordée le 18 novembre 2021 à Business News, l’adjoint du procureur de la République près du tribunal de première instance de Sidi Bouzid, Jaber Ghnimi a affirmé que le ministère public avait autorisé l’arrestation, mardi 16 novembre, d’un médecin de l’hôpital de la région suite à une plainte déposé par l’un des syndicats des forces de police.

 

Jaber Ghnimi a expliqué que le médecin faisait face à des accusations de diffamations et d’allégations mensongères sur les réseaux sociaux. L’adjoint du procureur de la République a, également, précisé que la plainte a été déposée sur la base d'une publication Facebook du médecin.

A noter que le médecin sera auditionné par le parquet ce jeudi 18 novembre 2021.

 

S.G

18/11/2021 | 11:40
1 min
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Commentaires
Abel Chater
Dans le régime déchu de Ben Ali, il n'y avait pas de syndicats des forces de police ni que ces forces de police n'avaient le droit de s'organiser contre le peuple tunisien par de multiples syndicats.
a posté le 18-11-2021 à 13:19
Le rôle des syndicats dans n'importe quel domaine des sociétés démocratiques, ne se limite qu'à défendre les droits de leurs adhérents auprès de leurs employeurs. Non pas contre la population ou contre leurs concurrences des autres syndicats. C'est pour cela d'ailleurs, que les deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, avaient strictement interdit toute sorte de syndicalisme au sein des Forces armées tunisiennes, afin que ces Forces armées ne s'organisent pas contre l'Etat et son dictateur. Les Forces de la police n'avaient le droit qu'à une mutuelle, pour qu'elles s'entraident en cas de maladie, de décès ou de sinistres. Mais jamais pour s'immiscer dans la politique. Pour cela, elles avaient leur système collectif de "estoufida".
Maintenant, des syndicalistes passent leur temps à lire les Facebook, qu'on ne lit même pas. Ils ne trouvent aucune honte de vouloir interdire la liberté d'expression et de la parole aux Tunisiens, qui est déjà ancrée dans leur Constitution. Une pratique dictatoriale, qui lèse beaucoup à la Tunisie et aux Tunisiens, surtout à l'étranger. Une folie des grandeurs individuelle, qui nous détruit tous les gigantesques acquis de la dernière décennie postrévolution du 14 janvier 2011.
Des pratiques individuelles d'amateurs du pouvoir au sein des syndicats, qui ne font en vérité, qu'accélérer la destruction de l'Etat tunisien, par une autre catastrophe encore pire que celle que la Tunisie vécut entre le 17 décembre 2010 et le 14 janvier 2011.
La Tunisie ne se gouverne jamais par les armes, par les injustices, par l'illogique, par la force et par les prisons. La Tunisie ne se gouverne que par l'amitié, par la fraternité, par la justice, par l'humilité, par l'égalité et par l'appartenance réciproque entre nos Forces armées et l'ensemble de la population tunisienne.
Nous sommes un petit peuple pacifique. Celui qui pet à Bizerte, il est entendu et senti à Ben Guerdane.

Allah yostir Tounes.
Amor
Rep.
a posté le à 06:24
Bravo. Pure verité
bml
OUI MAIS ......
a posté le à 14:45
ALLAH YOSTOR TUNES avec la la disparition à jamais des islamistes pillards ,terroristes et marchands de religion .
Tn
Tout est sur commande...
a posté le 18-11-2021 à 12:55
L'instrumentalisation du Mi et de la justice n'est pas nouveau..
La Tunisie mérite mieux