
La députée d'Attayar, Samia Abbou, est revenue jeudi 3 septembre 2020, sur les ondes de Shems FM sur la décision de Mohamed Abbou de démissionner du secrétariat général du parti Attayar et se retirer de la vie politique.
Samia Abbou a estimé qu’en Tunisie, il n’y a pas de politique pour dire que Mohamed Abbou a quitté la vie politique et que la démission était le fruit d’un grand malheur.
« Un jour la politique reviendra en Tunisie, Mohamed Abbou revient sur la scène/ Le pays aujourd’hui en situation de crise », a lancé Mme Abbou.
Commentant la photo réunissant le nouveau chef du gouvernement, Hichem Mechichi, le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, le président de Qalb Tounes, Nabil Karoui, le député Al Mostakbal Mabrouk Khachnaoui et le député Al Karama Seïf Eddine Makhlouf, autour d’un déjeuner, la députée Attayar a indiqué que celle-ci montrait une nouvelle coalition. « Ils sont en train de cuisiner quelque chose pour le peuple et c’est malheureux car ces gens-là auraient dû s’intéresser à la chose publique », a-t-elle fustigé.
Dans ce sens, elle a reproché au nouveau chef du gouvernement, Hichem Mechichi le fait d’avoir assisté au déjeuner : « Hichem Mechichi a trahi le président de la République parce qu’ils ont convenu de former un gouvernement indépendant. En brisant ce contrat moral, M. Mechichi a jugé qu’il avait besoin d’un soutien politique et il s'est jeté dans les bras de ces partis après l’obtention de la confiance».
Par ailleurs, elle a souligné que Mohamed Abbou avait annoncé, lors de la conférence de presse tenue hier 2 septembre, la guerre ouverte au parti Ennahdha en portant plainte concernant son financement et à Abir Moussi concernant l’emploi fictif.
«La Tunisie n’a pas besoin de la politique mais d’une magistrature indépendante et le peuple doit avoir conscience de la nécessité des réformes et de la crise à laquelle est confronté le pays », a-t-elle conclu.
I.M
Tu faisais quoi au Parlement alors ? La danse du ventre ?
On peut crier et hurler sous la coupole de l'ARP, qu'il n'y a personne de valable en Tunisie, en dehors d'elle et de son mari Mohamed Abbou. Tout le monde ne vaut rien du tout. Il n'y a ni politique ni politiciens en Tunisie. Il n'y a que Samia Abbou et sa bienaimée la Zalèma canif moussi, qu'elle a soutenue aux services des ennemis des révolutions arabes les émirats hébraïques, pour destituer le président de l'ARP Rached Ghannouchi, bien qu'il n'ait aucune prérogative qui nous impose de le faire pour le bien de notre démocratie.
Une trahison de Samia Abbou, qu'elle ne pourra jamais plus balayer par le revers de sa main, malgré sa visite chez l'esthéticienne.
Ecrit par A4 - Tunis, le 18 Août 2020
Ils peuvent être cent, ils peuvent être mille
Tous ces bataillons ne sont qu'inutiles
Ils peuvent être mille ou même beaucoup plus
A quoi peuvent servir tous ces fous gugusses ?
Ils se ressemblent tous comme des gouttes d'eau
Qui tombent du ciel au fond du ruisseau
Qui tombent et coulent tout au fond du lit
Et coulent sûrement ce maudit pays
Ils peuvent être mille, les bons sont partis
Aujourd'hui les gangs s'appellent partis
Ils ont à leurs têtes les plus grands salauds
Leur but est unique: gagner le gros lot
Ils peuvent être mille, ça fait mille plaies
Qui rêvent d'occuper tous les postes clefs
Avec des ignares et des affamés
C'est l'unique chose qu'ils savent programmer
Ils parlent et radotent mais pour ne rien dire
Sauf que sans eux l'avenir sera pire
Que leur dictature est bien la meilleure
Que c'est l'unique qui mérite les honneurs
Et ils s'organisent en clans de mafieux
A moitié bandits et à moitié pieux
En se faisant passer pour de vrais saints
Pour bien cacher leurs sectes d'assassins !
Ils assassinent tout, vos espoirs et rêves
Ils assassinent tout, sans relâche ni trêve
Ils assassinent encore, c'est plus fort qu'eux
Car ils n'ont que ça dans leurs têtes de gueux
Puis même si parfois ils se font la guerre
A coup de dossiers et de sales affaires
Soyez sûrs qu'à l'ombre des crépuscules
Ils se serrent les coudes comme de vraies crapules
Léon.
Verset 112 de la Sourate des Abeilles
Pourtant, c'est bien la politique qu'il reconnaît devoir quitter qui l'a maintenu en vie, jusqu'ici... Vous disiez ce matin sur Shems, que vous gagniez trop bien votre vie pour être dépendants de la politique, et pourtant c'est la politique qui vous a tenu la tête hors de l'eau, parmi des milliers d'avocaillons, vos concurrents !
mediocre comme le pays