
Le porte-parole et secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a réagi, jeudi 3 août 2023, aux propos de la veille du président de la République, Kaïs Saïed lors de la cérémonie de passation de pouvoir entre Najla Bouden et Ahmed Hachani.
Le syndicaliste a rétorqué dans un post Facebook : « Que raconte-t-il !?
- Plus de 120 ans de protestations ouvrières tunisiennes et cela depuis 1903
- Près de cent ans depuis la création du premier mouvement syndical tunisien et africain organisé
- 77 ans depuis la fondation du syndicat le plus prestigieux d'Afrique et des pays arabes : l’UGTT
- Promulgation en 1966 du premier Code de travail de la région et le plus ancien dialogue social
Puis quelqu'un vient vous dire de ne plus organiser des protestations sectorielles ou formuler des revendications, des demandes d'augmentation ou de faire des PV et des réunions.
Vous vous faites des idées ! »
Dans son discours, la veille, le chef de l’État avait appelé les Tunisiens à ne plus être dépendants et à arrêter les protestations, en estimant qu’après 2011, la révolution a été contenue à travers des primes, une vision sectorielle et des négociations, comme si l’État était gouverné par des PV.
Ainsi, Kaïs Saïed avait appelé ainsi les Tunisiens à « travailler » et à cesser de formuler des revendications sans créer de richesse. « Il n’y a pas lieu de faire des grèves et de chercher des augmentations et des primes dans des revendications sectorielles, car aujourd’hui la cause n’est ni sectorielle ni régionale mais elle est nationale car nous sommes en pleine guerre de libération (…) on ne peut pas construire la Tunisie avec des revendications sectorielles et des sit-ins quotidiens pour demander des augmentations de dix dinars et des primes de quarante dinars, pour cela il faut créer de la richesse ! » avait-t-il ajouté.
Rappelons que le chef de l’État avait décidé, tard dans la soirée de mardi 1er août 2023, de limoger la cheffe du gouvernement Najla Bouden et de la remplacer par Ahmed Hachani. Dans la foulée, son successeur avait prêté serment devant le président Saïed à Carthage.
I.N


2-Un bureau exécutif qui n'a pas le courage de publier un communiqué officiel signé par TABBOUBI en reponse au discours du président, mais se cache derrière un statut Facebook , publié par l'un de ses membre, à titre PERSONNEL, et non en sa qualité de porte parole de l'UGTT. Et puis TABBOUBI va sortir pour nous dire que ce statut n'engage que la personne de SAMI TAHRI et n'engage pas l'UGTT.
3-Un statut comportant un language inadmissible envers le président la république et chef supreme des armées : ECH TEHKI !!!! (QU'est que tu raconte!!!) YA TAHAYAO LAKA !!!!(IL VOUS SEMBLE!!!!). YJIK WAHED ,...Et ce S.T le TRES TRES TRES POLI n'est pas à sa première.
Et si on ajoute:
1-Le communiqué d'avant hier des syndicalistes opposés à TABBOUBI et lui demandant DEGAGE
2-La défaite HONTEUSE du TRIO du bureau du syndicat du primaire.
3-L'approche du verdict de la justice quant à l'illegalité du bureau de TABBOUBI.
4-La mise en CACHETTE des membres du bureau exécutif de TABBOUBI.
On pourrait prevoir que l'avenir de TABBOUBI ne serait pas meilleur que celui de ACHOUR, ou SAHBANI ou le NAHDHAOUI ABDELMEJID ZAAR EX-president de l'UTAP.
HaHaHaHa
HaHaHaHa
HaHaHaHa
C ça la Tunisie d'Echaabou Youridou.............................................
Droit de Cuissage pour TOUS et envers TOUTES et TOUS......
Elle est belle ma Tunisie, quelle bonne fausse idée ce droit de cuissage....
Et WINI AL MOUBADRA!!!!
Il faut être loyal. Le dénigrement gratuit contre des institutions historiques et contre le travail honnête de libre journalisme sont les marques typiques de secte pernicieuse des "kaïsistes" ou "kaiseristes" , pareille si non pire que les islamistes qui ont appauvri et derobé la Tunisie.
Saied, pour vous répondre "tit for tat" comme disent les anglophones, libre opinion contre libre opinion, a fait pire que les suppôts d' Ennahdha, il VANDALISE au quotidien toutes les institutions de la République, en se présentant tel un pseudo-sauveur, mais -de fait- en se portant tel un BARBARE dans sa propre terre, ce qui est largement prouvé par le MASSACRE mal dissimulé des Africains de couleur qui a fait déporter dans la zone desertique à la frontière tuniso-libyenne.
Il regorge d'un RACISME NAZIFORME et paranoïaque, il crache à toute occasion, même à l'occasion de l'attentat TERRORISTE à la Ghriba en mai de cette année, des sentences ANTISEMITES qui l'ont fait remarquer dans les 4 coins de la planète pour son insolence et mépris de la vérité. Et, ce qui est le comble, plonge le pays dans la MISERE NOIRE et l'endettement SANS ISSUES, poussant de plus en plus des pauvres citoyens déprimés et sans plus aucun espoir dans la vie, à BRULER VIVANTS pour émuler le geste malsaine d'un désaxé sans idéaux tel Bouazizi, geste IGNOBLE qu'il est arrivé à glorifier dans sa Constitution solipsiste et sans assises solides, disant que ce 17 décembre "le peuple est ressuscité", comble du MENSONGE et de l'HORREUR démagogique !
Le peuple tunisien, je vous l'assure, ne se laissera plus abuser et malmener par cette imposture pseudo-nationaliste qui creuse leur ventre et prepare sa RIPOSTE aux formules vides de cette PARODIE de "guide suprême"!
Pensez-y avant de cracher dans l'assiette dont vous vous serviez si vilainement!
Honneur et mes respects à l'équipe de Rédaction de Business News.
Nous voulons la vérité et rien qu'elle, pas les discours des malades paranoïaques et leurs alertes de COMPLOT en permanence, pour cacher un MINABLE ECHEC qui ternie l'image noble de notre République !
N.G.M. -activiste indépendant
Ce que Bourguiba et Ali Baba n'ont pas pu faire, un No Name en politique le fera très probablement cette fois-ci et à minuit !