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Saïed : les magistrats doivent s’engager dans le combat d’assainissement du pays
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, jeudi 3 août 2023, le président du Conseil supérieur provisoire de la magistrature, Moncef Kchaou. La rencontre, relève un communiqué de Carthage, a porté sur le projet du mouvement dans le corps des magistrats pour l’année à venir.
D’autre part, le chef de l’Etat a réaffirmé, à cette occasion, la nécessité pour les magistrats de s’engager dans le combat d’assainissement du pays de ceux qui ont commis des crimes et qui lui ont nui. Il a aussi souligné l’importance de l’indépendance des magistrats, « car l’indépendance de la justice est tributaire de l’indépendance des magistrats et leur sens des responsabilités pour imposer le respect de la loi ».
Ainsi, Kaïs Saïed a rappelé la nécessité de trancher de nombreuses affaires pendantes depuis plus de dix ans, « sous prétexte de respecter les procédures, alors que le but de ces procédures est d’aboutir à un procès équitable et non à l’impunité ».
I.L
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Commentaires
Houcine
En guise de littérature.
a posté le 04-08-2023 à 13:54
"Une fois maîtres de l'instrument logique, ils passèrent en revue les différents critériums, d'abord celui du sens commun.
Si l'individu ne peut rien savoir, pourquoi tous les individus en sauraient-ils davantage ? Une erreur fût-elle vieille de cent mille ans, par cela même qu' elle est vieille ne constitue pas la vérité. La foule invariablement suit la routine; c'est au contraire, le petit nombre qui mène le Progrès.
Vaut-il mieux se fier au témoignage des sens ? Ils trompent parfois, et ne renseignent jamais que sur l'apparence. Le fond leur échappe.
La Raison offre plus de garanties, étant immuable et impersonnelle ----mais pour se manifester, il lui faut s'incarner.
Alors, la Raison devient la raison.
Une règle importe peu si elle est fausse. Rien ne prouve que celle-là soit juste.
On recommande de la contrôler avec les sens; mais ils peuvent épaissir leurs ténèbres. D'une sensation confuse, une loi défectueuse sera induite, et qui plus tard empêchera la vie nette des choses.
Reste la morale. C'est faire descendre Dieu au niveau de l'utile, comme si nos besoins étaient là mesure de l'Absolu !
Quant à l'Evidence, niée par l'un, affirmée par l'autre, elle est à elle-même son critérium.
Monsieur Cousin l'a démontré.
--- " Je ne vois plus que la Révélation" dit Bouvard.
Voilà comment les littéraires se montrent plus prudents et fins philosophes que nos prétendus "scientifiques" qui, au mieux, confondent rationalité et science.
'? Sciences Po, vivier des "têtes dirigeantes", on songea à y faire place aux littéraires.
Allez savoir pourquoi.
Mais, c'est bien connu, les littéraires.....
Tant de conneries fait mal à la Raison.
Si l'individu ne peut rien savoir, pourquoi tous les individus en sauraient-ils davantage ? Une erreur fût-elle vieille de cent mille ans, par cela même qu' elle est vieille ne constitue pas la vérité. La foule invariablement suit la routine; c'est au contraire, le petit nombre qui mène le Progrès.
Vaut-il mieux se fier au témoignage des sens ? Ils trompent parfois, et ne renseignent jamais que sur l'apparence. Le fond leur échappe.
La Raison offre plus de garanties, étant immuable et impersonnelle ----mais pour se manifester, il lui faut s'incarner.
Alors, la Raison devient la raison.
Une règle importe peu si elle est fausse. Rien ne prouve que celle-là soit juste.
On recommande de la contrôler avec les sens; mais ils peuvent épaissir leurs ténèbres. D'une sensation confuse, une loi défectueuse sera induite, et qui plus tard empêchera la vie nette des choses.
Reste la morale. C'est faire descendre Dieu au niveau de l'utile, comme si nos besoins étaient là mesure de l'Absolu !
Quant à l'Evidence, niée par l'un, affirmée par l'autre, elle est à elle-même son critérium.
Monsieur Cousin l'a démontré.
--- " Je ne vois plus que la Révélation" dit Bouvard.
Voilà comment les littéraires se montrent plus prudents et fins philosophes que nos prétendus "scientifiques" qui, au mieux, confondent rationalité et science.
'? Sciences Po, vivier des "têtes dirigeantes", on songea à y faire place aux littéraires.
Allez savoir pourquoi.
Mais, c'est bien connu, les littéraires.....
Tant de conneries fait mal à la Raison.
Abel Chater
@Houcine
a posté le à 15:17
Je ne sais lequel des @Houcine tu es, mais je te conseille de mesurer ta température tout de suite, sans le moindre retard.
Houcine
C'est l'hôpital qui se fout de la charité.
a posté le à 21:52
Tu assénes des âneries, comme des évidences, et sans te poser la moindre question tu affirmes sur Dieu, sur les hommes, sur la politique.
Et, tu songes à ma température. C'est que tu es un fin visionnaire.
Je te rappelle que tu m'as insulté, mais tu dois n'avoir pas de mémoire, et je t'avais dit de t'occuper de te trouver des partenaires, nous ne sommes du même monde.
Dieu, je le laisse tranquille.
Toi, je t'ignore.
C'est l' homme qui ne cesse de flétrir sans le moindre argument "les littéraires".
Pour le reste, il faut lire, être ouvert aux autres, pour débattre.
Cela se fait avec des arguments.
Donc, soigne tes arrières !
N'aie-pas de souci, le reste je m'en charge.
Moi, je le soigne à la culture.
Et, tu songes à ma température. C'est que tu es un fin visionnaire.
Je te rappelle que tu m'as insulté, mais tu dois n'avoir pas de mémoire, et je t'avais dit de t'occuper de te trouver des partenaires, nous ne sommes du même monde.
Dieu, je le laisse tranquille.
Toi, je t'ignore.
C'est l' homme qui ne cesse de flétrir sans le moindre argument "les littéraires".
Pour le reste, il faut lire, être ouvert aux autres, pour débattre.
Cela se fait avec des arguments.
Donc, soigne tes arrières !
N'aie-pas de souci, le reste je m'en charge.
Moi, je le soigne à la culture.
Abel Chater
'? chaque fois que le président Kaïs Saïed veut emprisonner plus de ses opposants politiques, il appelle sa ministre de la Justice Layla Jaffel, en synchronisation avec ce pauvre président du Conseil supérieur provisoire de la magistrature, Moncef Kchaou, qu'il a imposé lui-même.
a posté le 04-08-2023 à 10:47
La Tunisie s'enfonce dans un ravin, encore pire que celui de l'Egypte. Pourvu que les affamés des quartiers ceintures de la capitale Tunis et des autres grandes villes de la Tunisie, y tiennent encore jusqu'aux prochaines élections présidentielles.
Allah yostir Tounes.
Allah yostir Tounes.
Tunisino
Un nouvel os!
a posté le 04-08-2023 à 09:25
Un nouvel os de chien (le dernier qui reste dans le cadavre apparemment), assainir l'administration, pour gagner du temps, mais pourquoi faire, le bonhomme est totalement foutu, lui et son conseiller spécial, son frère! C'est typiquement littéraire, tout tourne autour de l'immédiat, aucune pensée au futur, ainsi ils sont écartés des spécialités scientifiques, en particulier de l'ingénierie, le moteur de tout développement, car ils sont dangereux en calcul, le futur pour eux n'existe pas! La Tunisie continuera à souffrir et à se noyer dans la misère jusqu'à un nouvel aube, une république scientifique qui exploite ses compétences extrêmes, qui ont excellé dans leurs vies académique, professionnelle, et personnelle, pour se sauver, ensuite pour rayonner. La Tunisie mérite une meilleure planification que celle des littéraires, implantés partout dans l'administration depuis l'indépendance, les nuls se réjouissent d'être les derniers de la classe, alors que les excellents ne ciblent que les premières places.
