
Le président coordinateur de la commission nationale consultative pour une nouvelle République, Sadok Belaïd a accordé une interview à la chaîne Al Arabiya, ce jeudi 23 juin 2022, pour revenir sur les grandes lignes de l’ébauche du projet de constitution remis au président de la République, notant que le besoin d’une nouvelle constitution avait pris un sens au lendemain du changement du 25-Juillet.
Sadok Belaïd affirme que la question de l’identité islamique a été résolue en spécifiant que l’islam était la religion de la majorité des citoyens et non celle de l’Etat. Le doyen considère que cette démarche permet de barrer la route à l'islamisme et à l’extrémisme.
Revenant sur le régime politique, Sadok Belaïd a considéré que le régime présidentiel et le régime parlementaire ont montré leurs limites et que les deux régimes ont conduit à la dictature. « Les régimes politiques ne présentaient pas d’équilibre. Il fallait donc rompre avec ces deux régimes et envisager une solution à partir de la crise économique et sociale en essayant d’y trouver une solution. Cette solution prend en considération l’organisation des pouvoirs ».
Sadok Belaïd a précisé que le projet de la Constitution prévoit des limites au pouvoir absolu du président de la République en ne lui permettant de désigner que deux Premiers ministres. « S’il y a un problème avec le deuxième Premier ministre désigné, le président doit présenter sa démission. Le Parlement a le droit de présenter une motion de censure contre le gouvernement. D’autre part, le mécanisme du référendum a été introduit dans le projet de la Constitution. Le principe de l’article 80 a été omis ».
Le président de la commission consultative a assuré, également, que les magistrats n’auront plus droit à la grève.
S.H

Ils croient dur comme fer que par le fait d'avoir des doctorats (?), Le profs universitaires détiennent la mère des vérités dans ce bas monde (j'en est rencontré personnellement pas mal de cette catégorie) et ils prennent les tunisiens pour des gosses dans leurs classes qui n'ont le droit qu'à une seule chose: écouter et gober tout ce qui est dit par les maîtres prophètes qu'ils sont !
Ce Belaid est l'exemple type de ce genre d'universitaires sans oublier au passage notre fameux ROBOCOP.
Cette soi-disant nouvelle constitution qui se profile à l'horizon ne sera réellement que le texte d'une pièce de théâtre d'un one men show et elle sera médiocre comme l'a été la fameuse constitution (la meilleure du monde ?), à savoir celle des frérots du gourou GHANNOUCHI et de ses alliés de tout bord à savoir H.Hammami & co, Mustapha Ben Jaafer, Tartour, les Abbous, les Chebbi's, Slim Riahi... et la liste est encore très longue.
MISKINA TOUNES.
Malgré tout le sérieux acquis par votre courageuse position médiatique contre les fausses informations, contre les manipulateurs de l'information et contre les faiseurs de mal, vous vous rabaissez maintenant, jusqu'à nous montrer une émission de la plus vendue et de la plus fausse des chaines télévisées du monde arabe, cette "Al-Aâbria" & consorts?
Demandez aux Tunisiens et à tous les Arabes, qui la regarde encore depuis des années, à cause de son parti-pris aux services des Monchars Scieoudiens & Co. Elle est devenue l'outil des Dictateurs à l'image des autres centaines des chaînes bidon, sans la moindre importance dans le monde arabe et ailleurs. Non plus celle qui a prétendu à son début, pouvoir faire la concurrence à Al-Jazeera.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
A Aucun moment il ne parle de l'indépendance des institutions !!!
Tout le monde devra travailler avec un couteau sous la gorge !!!
Le pouvoir ABSOLU aux mains des fachos !!!
Aïe, aïe vous n'avez pas fini de gémir et de hurler et garder le reste pour la suite car ce n'est que le début '?'
Pourquoi?
Le président de la république nommera son premier ministre,SOIT.
Une motion de censure de la part du parlement pourrait le faire chuter,re-SOIT;
Un deuxième premier ministre serait renommé par le PR,SOIT.
Une motion de censure de la part du parlement pourrait également faire chuter ce deuxième PM nommé,auquel cas le PR devrait démissionner;
Seule anicroche ,Ce n'est pas suffisant,la démission du premier ministre doit être équivalente à la motion de censure pour ce qui est des conséquences sur le président de la république qui devrait alors automatiquement démissionner.*
*Se souvenir de l'entourloupe de la démission de Fakhfakh présentée quelques heures avant la motion de censure qui allait être votée.
Si une motion de censure* de la part du parlement est votée durant le quinquennat contre le deuxième (après la chute du premier gouvernement),le président de la république doit ,en vertu de cette nouvelle constitution,Démissionner.
*Ouh la la ! comme cela va déstabiliser Mèwlènè el Emir Kais Saied qui souvenons-nous lors de la motion qui courait sur Ellias Fakhfakh,avait exigé de ce dernier de démissionner juste avant.....