
La cour d'appel a décidé de reporter l'audience du 10 septembre 2024 de l'affaire portant sur la déclaration de l'avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani « Heyla leblad » et ayant abouti à sa condamnation à un an de prison en première instance, en vertu du décret 54.
Selon des sources proches de l'affaire, le tribunal se prononcera au sujet de cette affaire demain 11 septembre 2024.
Pour rappel, Sonia Dahmani avait été embarquée par les forces de l'ordre le 11 mai 2024 à la suite d'un raid de police musclé des locaux de la Maison de l'avocat. Elle s'y était réfugié après avoir découvert qu'elle faisait l'objet de poursuite judiciaire et attendait l'obtention par son comité de défense d'un report de l'audience. Depuis, elle a fait l'objet de plusieurs atteintes à ses droits et à sa dignité, dont une fouille intime alors qu'elle s'apprêtait à se rendre à son audience initialement prévue le 20 août 2024.
S.G
Si on déplace la focale, et on regarde de près les espaces où ces personnages exercent leur talent, et surtout ce qui s'y dfploie, on est vite instruit et du but et de la visée.
Ne pas confondre les rôles et les fonctions, et pas davantage se voir dans les yeux de Chimène seraient bien utiles aux dits personnages afin de respecter et la vérité et les métiers dans leur singularité.
Chroniqueur est un idéologue si par hasard lui manque l'essentiel, la culture et le savoir nécessaires avec l'imprudence ou l'imprudence en avantagé superfétatoire
Les chroniqueurs sérieux prennent le temps de l'écriture, mesurent et le sens des mots et leur usage, ils sont précautionneux et presque sages par cette capacité à tirer des anecdotes et des faits épars une sorte de leçon, une idée forte, une signification forte pour flairer rt faire penser le lecteur.
Les amateurs pressés qui sqvdnt tout su tout et surtout croient fn savoir, sont au mieux des jouets lorsqu'ils sont capables de ne pas se laisser prendre pour des pantins.
C'est de ce sang là que vivent des chaînes de télévision et radios davantage nourris par le désir de faire de l'audience qui est la mesure de tout, et bien plus des revenus qu'elle doit procurer.
Bref, nous sommes bien plus libres sans le secours de gens pour penser pour nous, ou à notre place.
L'histoire de cette dame n'était qu'un.prétexte, et à son.prpos je ne veux rien penser.
C'est son affaire.
Les stoïciens prétendait que ce qui nius arrive rekeve de deux cas:
- Ce qui dépend de nous, et alors notre responsabilité est requise et convoquée;
- Ce qui ne dépend pas de nous, et alors c'est le Fatum.
Tout ça pour dire que c'est une affaire personnelle et non une affaire de liberté d'expression ?