
Un rassemblement de soutien à la journaliste Chadha Haj Mbarek, détenue dans l’affaire Instalingo, a été organisé, lundi 8 juillet 2024 devant le Tribunal de première instance de Sousse 1, par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT). Son affaire étant examinée, le jour même par la chambre criminelle.
Ainsi, une délégation du bureau exécutif du syndicat accompagnée par certains collègues journalistes se sont réunis devant les locaux du tribunal appelant à la libération de Chadha Haj Mbarek, en détention depuis le 22 juillet 2024 suite à une décision de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Sousse.
Le 3 juin dernier, la chambre criminelle près le Tribunal de première instance de Sousse 1 avait refusé sa demande de libération.
Le 28 mai 2024, la Cour de cassation avait décidé de rejeter toutes les demandes qui lui ont été soumises, que ce soit par le ministère public ou par le comité de défense des détenus dans l'affaire médiatiquement connue sous le nom d'Instalingo.
Ainsi, tous les prévenus ont été renvoyés devant la chambre criminelle du tribunal de Sousse pour être jugés des accusations portées contre eux, notamment, l'atteinte visant à modifier la structure de l'État, l'incitation des habitants à s'attaquer les uns les autres, la provocation des émeutes, des meurtres et des pillages sur le territoire tunisien et l'outrage au président de la République.
Notons aussi que le SNJT avait indiqué que la journaliste avait été victime de sérieux problèmes de santé à cause des conditions de détention et la lenteur des procédures.
I.N.

La photo n'est pas convaincante. Il ne faut plus protester à la manière des enfants des maternités. Il faut d'abord reconnaître ses propres fautes et demander pardon à ses propres victimes. Le reste viendra de soi.
Cette fuite en avant à la manière des caméléons, toujours suivant ses propres intérêts personnels, n'aidera personne. Les Tunisiens ne sont pas cons.
Allah yèhlik ass-hab el-charr.
Mais ...
Et ce mais qui me tracasse ...
Je vais essayer d'y aller mollo , avec des pincettes , que de faire subir à mon com les lames des ciseaux .
C'est au cours de ces derniers mois que B.N s'est distingué à défendre farouchement non pas le journalisme dans sa noble dimension , mais des énergumènes exerçant dans ce journalisme éphémère , volatile.
Je cite , à titre d' ex , l'antipatique Elheni et l'arrogant Elmekki , qui sans scrupules s'affichent aujourd'hui à côté de la secte , ironie de l'histoire , hier c'était la bataille contre l'ennemi .
Bonjour la crédibilité .
Autre ironie , on a vu dans la boutique des maîtres , réunis pour " la juste cause " , sans précédent , les débris de la dictature , de la secte , les cinglés de la gauche et même les vendus de l'UGTT .
Allez comprendre ...