
L’ancienne conseillère à la présidence de la République chargée de la communication, Rachida Ennaifer a assuré, ce samedi 2 juillet 2022, lors de son passage sur IFM avec Mourad Zeghidi que le projet de la nouvelle constitution n’a pas résolu toutes les problématiques contrairement à la constitution de 2014, précisant que c’était voulu.
Rachida Ennaifer a expliqué que la constitution de 2014 ayant voulu prendre en considération toutes les figures possibles a paralysé la vie politique. Dans ce contexte, elle a ajouté que certains points n’ont pas été tranchés dans le projet de la nouvelle constitution afin qu’elles soient fixées par des lois élaborées à cet effet.
Mme. Ennaifer a ajouté que le projet de la nouvelle constitution présente une certaine souplesse absente dans l’ancienne constitution, notant que ce projet prend en considération la mauvaise expérience vécue depuis 2014.
Par ailleurs, elle a estimé que le projet de la nouvelle constitution est transitionnel, satisfait les besoins de cette période et garantit une certaine stabilité pour la Tunisie.
S.H

11 ans ça suffit
Mais, dire cela c'est enfoncer des portes ouvertes, sauf auprès de qui croient qu'il y aurait une science exacte de la vie.
On a déjà noté, pour les plus attentifs, que les partisans et les praticiens des "sciences dures" sont les plus portés à fricoter avec le hasard, la conjecture, même l'occultisme.
Le halo entretenu autour de la "scientificité" de leur science n'est là que pour servir de justification, d'attestation délivrée entre pairs, qu'ils disent vrais.
Lire les épistémologues.
Mais, pour ce qui est de notre sujet, si Kais Saied a fait exprès de laisser irresolues des questions, ménagé de l'espace, laissé de l'entre-deux, ou bien il serait un sophiste, un pharisien, ou alors un homme prudent, qui mesure sa finitude.
Les pervers y voient de la ruse, voire de l'incompétence.
Les "justes" un brin modestes en comparaison, y liront la preuve que ce qu'on lui attribue ne serait qu'une projection. Que l'homme n'est point aussi caricatural que le portrait que les ci-devant sires en font.
Peu importe, cette dame exprime son opinion.
Elle mérite respect, et si l'on veut en instruire le procès pour connivence, servilité, que sais-je encore ? il y faut des arguments et pas des poncifs.
Aux yeux de certains, elle commet l'inacceptable, elle évalué en faveur du texte attribué injustement au seul Kais Saied.
Sale temps dans les méninges de nos experts.
Sir Sir ehna....
et si les fondements sont pas solides exprès , alors ...

