La professeure au service de réanimation pédiatrique à l'hôpital d'enfants de Bab Saâdoun, Aida Borgi, a alerté une nouvelle fois sur la hausse du nombre de cas d’infection par la rage en Tunisie.
Elle a expliqué, dans un post publié sur les réseaux sociaux, qu’un septième cas serait en cours de confirmation dans l’un des hôpitaux de l’intérieur du pays, un enfant présenterait les symptômes typiques de la rage. Elle a dénoncé le laxisme observé dans le traitement d’un phénomène aussi dangereux.
Le doyen des médecins vétérinaires, Ahmed Rejeb, avait annoncé que le nombre de morts enregistrées lors des six premiers mois de 2024 était de six personnes et de plus de 200 animaux infectés par la rage, un chiffre alarmant quand on sait que six personnes et plus de 350 animaux ont péri par ce mal pendant toute l’année passée.
Il a, selon ses dires, averti les autorités, notamment le ministère de l’Agriculture, à maintes reprises vu que la rage est une maladie incurable et que cela relève de la sûreté nationale, qualifiant la situation de catastrophique.
M.B.Z
L'abattage des chiens errants est une nécessité urgente pour endiguer cette menace.
Ces animaux représentent un danger réel et immédiat pour la santé publique.
La Tunisie doit agir sans délai pour éviter d'autres drames et garantir la sécurité de ses citoyens.
Ils tuent les enfants et les femmes à Gaza, mais font semblant d'être plus humains avec les chiens. Les chiens de Gaza, sont exceptés.
Allah yostir Tounes.