
Après le manifeste, publié le 16 septembre 2020, signé par une centaine de dirigeants d’Ennahdha exhortant Rached Ghannouchi à ne pas se représenter à la présidence du mouvement lors du prochain congrès, le concerné a répondu par une lettre interne adressée aux membres de son parti, où il remet les points sur les i, et, tout le monde à sa place.
Avec une pointe d’ironie, le cheikh dit - dans cette lettre qui a été fuitée et dont Business News a obtenu une copie - qu’il a été surpris par la visite de ses « honorables frères » et d’autant plus surpris par le document qui lui a été présenté. « Cette visite me rappelle celles qu’effectue un groupe de généraux d’une armée à leur président, aux dernières heures de la nuit, pour lui annoncer son éviction ». Ainsi, Rached Ghannouchi insinue clairement que cela ressemble à un putsch, tout en tenant à préciser qu’en vérité, la visite s’est déroulée à l’heure du coucher du soleil et non pas à l’aube…
Le chef d’Ennahdha dit aussi avoir apprécié cette lettre « à l’excellent niveau linguistique et au contenu imprégné par les principes de la démocratie et de l’islam », ce qui l’a poussé à se prononcer sur certains des concepts abordés, notamment la démocratie au sein des partis.
Rached Ghannouchi se demande s’il est judiciable, du point de vue de la démocratie partisane, de changer de dirigeants selon des durées définies indépendamment du fait qu’ils aient réussi ou commis des erreurs. Pour lui, il y a confusion délibérée entre deux domaines différents : le parti et l’Etat. Il estime que fixer des mandats est du fait de la présidence des Etats démocratiques.
« Quant à la démocratie partisane, l’alternance se réalise à travers des élections périodiques transparentes, basées sur l’évaluation du rendement. Certains dirigeants seront reconduits sans fixer de limites et de mandats et d’autres seront remerciés, si leurs actions n’ont pas été jugées satisfaisantes. Les partis investissent dans ses dirigeants ayant réussi et les soutiennent pour qu’ils assument des responsabilités au niveau national. Toute cette démarche passe par le processus d’évaluation et d’élection ».
Rached Ghannouchi explique que ce processus concerne par exemple les dirigeants régionaux, de la Choura ou les députés. Cela n’est pas le cas pour les leaders des partis démocratiques d’après ses dires, ceux-là font l’exception : « Ils ont la peau dure. Ils endurent les chocs et les vicissitudes du temps car ils se renouvellent et constituent une force de conviction pour le peuple et leur parti. Alors pourquoi donc ces partis chercheraient à les changer alors que ces leaders ont un rayonnement national et international ? ».
Le chef d’Ennahdha cite plusieurs exemples de leaders qui avaient été à la tête de leur parti pendant plusieurs décennies (Chirac, Merkel, Blair, Hassan Nasrallah). Il conclut ainsi que cette confusion entre ce qui doit se passer au sein d’un parti et au sein de l’Etat n’a pas lieu d’être. Cette situation démontre aussi, selon lui, qu’il faut traiter différemment avec les leaders et les dirigeants « ordinaires ».
Rached Ghannouchi se lance ensuite dans une diatribe, fustigeant ceux qui, sous couvert de démocratie, veulent imposer leurs conditions exclusionnistes lors du 11ème congrès. « Ils espèrent réaliser ce qu’ils n’ont pas pu faire lors du dernier congrès », en l’occurrence l’éviction du leader du mouvement. Ghannouchi les pointe du doigt, les accusant de commettre des erreurs méthodologiques, « hideuses et trompeuses ».
I.L
Les tunisiens ne veulent pas de lui sur la scène politique. Il est même dangereux pour le pays. Un sincère Youssef Essedik lui a lancé. : yezzi min eddahe! Stop à tes magouilles. '?a ne passe plus!
Lui et ses collants vassaux ( Bhiri, Haouni etc) exagèrent en arrogance. Les tunisiens ne sont pas dupes mais pacifiques plus qu'il n'en faut.
Les Fermes de Chebaa, ça vous parle?
« Je retourne demain dans mon pays bien-aimé, si Dieu le veut, et comme je l'ai déclaré dans de nombreuses interviews à la presse et à la télévision, je n'ai pas l'intention de me présenter à des élections présidentielles ou parlementaires, je ne cherche aucun poste. Tout ce que je veux, c'est respirer l'air de mon pays duquel j'ai été privé depuis plus de 20 ans, prier dans l'ancienne mosquée Zitouna, et saluer chaque grain de sable de la terre de mon pays bien-aimé, de Bizerte à Tataouine, en passant par ma ville natale de Hamma - bref, être un citoyen tunisien ordinaire.
Cette grande révolution n'est la révolution d'aucun parti ou personnalité politiques. C'est plutôt la révolution des jeunes hommes et femmes qui ont affronté des balles réelles la poitrine pleine d'amour pour une Tunisie qui rêve d'un avenir meilleur pour tous les Tunisiens et les Tunisiennes. Je partage avec eux leur beau rêve en une Tunisie sans corruption, sans favoritisme et sans "épaules". Une Tunisie aux opportunités d'emploi pour tous ses enfants, une Tunisie qui garantit la liberté de pensée et de croyance pour chacun, quelle que soit son orientation, la liberté pour chaque Tunisienne d'apprendre, de travailler et de contribuer à la construction de la Tunisie sans qu'un quiconque ne lui dicte ce qu'elle porte et ce qu'elle ne porte pas comme vêtements - quel que soit cet observateur - que la Tunisie est vraiment pour tous ses fils et filles ».
Vous voudriez bien comparer Ghannouchi du 29 janvier 2011 à l'Autre Ghannouchi du 17 septembre 2020.
Nasrallah incomparable.
Nasrallah, a réussi à dégager la grande armée d'isra-HELL, la fierté de la France sionisée, du sud Liban.
l'armée d'isra-HELL a fini par déguerpir sur la pointe des pieds, sans négociations et sans prendre le moindre centimètre du Sud Liban.
incomparable avec le traitre Sadate, qui n'a jamais retrouvé son entière souveraineté sur le Sinai.
@Ghazi : je suis entièrement d'accord avec votre conclusion.
La religion ne doit pas être un critère démocratique.Elle est une croyance partagée entre tous les musulmans et ne peut , ni ne doit en aucune façon être uttilisée pour gagner des élections.Ce qui s'est passé en Tunisie avec la soit disant majorité qui permet a Nahdha dre gouverner depuis 2011 est un déni démocratique.
L'argument religieux est une confiscation de la religion utilisée comme instrument pour gagner le pouvoir et le verrouiller pour en faire une dictature soutenue par une mauvaise interprétation des préceptes de l'Islam.
Les nahdaouis ont le droit de faire de la polotique mais n ont pas le droit d'accaparer la religion et d utiliser les mosquées pour gagner des élections contre les partis civils.
Il est regrettable que cet amalgame n'ait pas été dénoncé par les medias et que certains medias aient contribué a conforter la cinfusion sciemment entretenue entre religion et politique , se transformant en tribune de l'extremisme religieux adoubant les thèses de faux défenseurs de la Démocratie.
Le défunt dictateur déchu Bourguiba, fut destitué par les oreilles. Il sera dommage que ce grand homme du militantisme tunisien et international, Rached Ghannouchi, ne finisse de même.
Comblé de "Aqbala El-Baro Alayna", de louanges et de témoignages d'admiration par des courtisans arrivistes, hypocrites et insolents, Ghannouchi, monarque sénile au temple de "Son-plaisir" se croit "L'Unique Guide" capable veiller à la pérennité de "l'Empire du Mal" qu'il a érigé.
Ghannouchi, pur menteur et manipulateur, finit par accuser ses courtisans de faits non avérés :
- Les 100 signataires de la pétition l'ont explicitement averti de ne pas toucher à l'article 31 du règlement intérieur, Ghannouchi dénonce : "cette démarche qui ressemblerait aux pratiques des généraux militaires qui viennent à l'aube demander aux présidents de leurs pays de démissionner".
- Les 100 partisans l'ont exhorté à ne pas se présenter à la présidence de la Mouvance comme le stipule l'article 31 du règlement intérieur, Ghannouchi rétorque : "Un dirigeant dont le rendement est négatif ou modeste ne se fait pas réélire".
J'ai lu et relu la pétition, je l'ai décortiquée pour déceler la moindre cause citée dans la pétition qui a cet effet aussi calomnieux dans la réplique du Cheikh :
- Les 100 signataires de la pétition demandent à Ghannouchi de ne pas modifier l'article 31, le Cheikh les qualifient de putschistes : "'?'cette démarche qui ressemblerait aux pratiques des généraux militaires'?'"
- Les 100 signataires de la pétition rappelle à Ghannouchi que l'article 31 stipule qu'il n'a plus le droit de se présenter pour postuler à un 3ème mandat, le Cheikh feint ne pas les comprendre : "Un dirigeant dont le rendement est négatif ou modeste ne se fait pas réélire".
De surcroît , les deux hommes ont leur secteurs de prédilection respectifs . @ Ghazi est plus dans l'info brute , cachée , inaccessible au commun des internautes et même des journalistes . Il est , rien que de ce point de vue d'un apport essentiel , pour comprendre une info partielle , incomplète sinon indéchiffrable . Là où @ abouali est plus dans l'explication et l'analyse du dessous des cartes .
Et les deux hommes sont complèmentaires et ont mon total soutien . Comme beaucoup ici , je les lis avec plaisir et profit .
Si je me suis fait berner à ce point , c'est que je ne sais pas lire et je n'ai plus qu'à me faire Hara Kiri .
Impossible .
Quant à la sangsue qui s'accroche jusqu'à la dernière goutte . Il y a en Afrique et ailleurs dans le monde quelques exemples célèbres . Voyez le Togo ou le Gabon . Dans ces deux pays la population n'a pour la plupart connu que des dirigeants de la même dynastie . Les Gnassingbé pour le Togo et les Bongo pour le Gabon . Bel exemple à suivre .
Nous sommes entre de bonnes mains ,sur le bon chemin ...de la fosse commune .
C ridicule.
Est-ce qu'ils veulent continuer à utiliser la religion pour duper les gens ?
Et à corrompre les élections par un argent plus sale que le sale argent ramené de Londres par ghanouchi.
Qu'ils aillent au diable ces escrocs et ces arnaqueurs.
Qu'ils rendent d'abord l'argent arnaqué en 2012- 2013-2014 au peuple tunisien.
Et puis qu'ils évacuent ceux (dont leur majorité des sudistes et partisans de nahdha) qu'ils ont recrutés, par centaines de milliers, par la connivence et l'arnaque dans les ministères et les sociétés publiques sises à Tunis.
Et que dautres arnaques de la part de ces inhumains nahdha.
OVER
Est-ce qu'ils veulent continuer à utiliser la religion pour duper les gens ?
Et à corrompre les elections par un argent olus sale que lesale ramené de londres par ghanouchi.
Quils aillent au diable ces escrocs et ces arnaqueurs.
Quils rzndent dabord largent arnaqué en 2012- 2014 au peuple tunisien.
Et puis qu'ils évacuent ceux ( leur majorité des sudistes partisans de nahdha) qu'ils ont recrutés par la connivence et l'arnaque dans les ministeres et les sociétés publiques sises à Tunis.
Ressaisissez-vous, une bonne inspiration, encore une bonne expiration et là retenez votre souffle, 15 secondes et expirez.
En principe, ça devient un peu plus clair dans la jugeote et la rétine. Ghazi n'est pas abouali (Je ne vous cache pas, j'aimerai avoir son judo linguistique, mais chacun sa façon).
Et moi qui a pensé que je me suis tapé une cuite, avec ce que j'ai bu depuis tout à l'heure, il s'est avéré que vote 51 et beaucoup plus marseillais que le mien : Un docker mais AIRBORN ( Vous voyez ça colle pas ). Les lecteurs BN connaissent Ghazi, ils peuvent le traiter de tous les noms, mais il n'est pas schizophrène, vous pensez qu'il a tellement de temps libre pour jouer au 4ème art ? (A cet âge ya Wlidi !)
Sans rancune qui que vous soyez, c'était juste pour l'AIR et la BORNE, que vous avez mélangé.
@abouali : Ya wallah Ahwel ! No comment ! Ce forum est devenu Delenda bint zohra El Hargassa.
21 apres 2000 , seul ghanouchi est notre cheikh.
l 'aroseur arosé.
Vive la démocratie qui ne s'applique qu'aux autres!
Ennahda besoin kalb Tounes et autres traitres apres les pressions chantage continue pour obtenir les 133 sieges l'objectifs pour sauver la peau de T... R-Ghannouchi ,
et n'oublions pas les fausses victoires vs attendez .. apres la rentree'
pour sauver la Tunisie du nouveau dictature criminels RACHED GHANNOUCHI , gbal moutihi al wejeb
TUNISIA WE SATAND
OVER
Rappelez-vous le non respect d'un décret loi fixant la constituante à une année. Les islamaouites sont restés 3 ans et s'il n'y a pas eu le sit-in du dégagement au Bardo suite aux assassinats politiques, ils seraient encore là.
Ce que vous avez écris est très juste 'Se référant à la constitution', simplement, ce qu'on vit à l'ARP (source du pouvoir selon la constitution) n'est plus un jeu de positionnement, c'est plutôt une guerre de vie ou de mort (Politique). Je n'invente rien, et ce n'est pas de l'analyse, ce sont des faits et des évidences (Fuitées depuis des cercles restreints aux décisionnaires en question).
Faites un petit recoupement :
L'AMT depuis 4 jours ne cesse de donner des alertes très graves, finalement BN vient de publier l'alerte de Anas Hmaidi aujourd'hui, qui parle lui aussi de chambres noires.
(Ce terme ne vous rappelle pas une personne qui l'a cité de la même façon ?)
De l'autre côté, on a une nouvelle coalition de 137 députés (Confirmés), qui HURLENT depuis 2 semaines avant la rentrée le 01-10-2020 : Nos priorités sont la CC et l'ISIE et on verra les lois et tout autre chose après.
Ce n'est pas un tableau sombre que je dresse, c'est une réalité dynamique qu'on est entrain de faire face.
J'ignore si c'est par manque d'expérience, par entêtement, ou mal conseillé, mais le président KS a commis une GROSSE GAFFE irréparable dans le moyen terme.
Ce que je pourrai vous dire (C'est ce qu'un député m'a confirmé la semaine passé), c'est qu'on assistera à TOUT et à N'IMPORTE QUOI à l'ARP à compter du 01-10.
Rien ne passera sauf la CC et les membre de ll'ISIE, quant aux articles de la constitution, il y a Habib Kheder pour les interpréter et les magistrats pour la propagande et ceux des réseaux sociaux pour mettre la légitimité.
Quand on a un peuple à moitié endormi pas un tsé-tsé et l'autre moitié divisée entre des vendus, des traitres, des arrivistes, des khobzistes et des patriotes, on ne peut qu'avoir ce tableau, même si on essai d'être optimiste.
On espère toujours.
Bien à vous, mes respects.
Maintenant, Ghanouchi a ses points forts et faibles. Pour son côté positif, c'est quelqu'un qui peut trouver des compromis et malgré sa popularité très basse chez les adversaires politiques, il fait plutôt partie des modérés au sein du parti et il a bien sur des contacts à l'international. Côté négatif, il n'a pas toujours respecté la démocratie au sein du parti, l'année dernière il a changé les listes électorales.
Son départ offre une possibilité au mouvement de se renouveler, il prive les adversaires politiques comme le PDL et Moussi d'un ennemi idéal.
Pour Ennahda et si Ghanouchi parte, il faut choisir ou bien la voie de la modération et là, elle peut opter pour des personnes comme Dilou, Zitoun ou Jlassi (qui peut revenir) et si elle opte pour les faucons, elle peut choisir Mekki. Après les élections, les deux camps ont commis des fautes
1- Ghanouchi a fait la faute stratégique de ne pas s'allier avec Qalb dès le début
2- Mekki a commis la faute de miser sur attayar et echaab en réclamant un axe révolutionnaire. Primo Echaab n'est pas un parti révolutionnaire car il supporté des dictatures comme en Syrie et en Egypte et des deux Attayar et Echaab n'ont pas prouvé d'être de bons alliés pour le mouvement.
Je pense qu'Ennahdha en fin de compte va trouver un compromis et ce n'est pas dans l'intérêt du pays de voir un autre parti se diviser.
C'est un bien sombre tableau que vous nous dressez là pour une rentrée parlementaire pleine de périls !
Je voulais évoquer le putsch "soft" dont vous parliez et qui est certainement dans l'esprit de ces mécréants et des bras cassés qui se sont ralliés à leur bannière. Simplement pour rappeler que, même si la Constitution de 2014 a été taillée sur mesure, il n'en reste pas moins qu'elle recèle des garde-fous qui vont entraver leurs infâmes desseins :
- L'article 88 dispose en effet que "L'Assemblée des Représentants du Peuple peut, à l'initiative de la majorité de ses membres, présenter une motion motivée pour mettre fin au mandat du Président de la République en raison d'une violation manifeste de la Constitution." Or si la première disposition est facile à obtenir, il faut par contre démontrer "la violation manifeste" ce qui n'est pas aussi aisé qu'ils le penseraient, compte tenu des précautions infinies que prend KS dans ce domaine et sa parfaite connaissance de la question.
- C'est surtout la deuxième condition qui jouerait en leur défaveur puisque "cette décision doit être approuvée par les deux tiers des membres de l'Assemblée". Or, si on se réfère au dernier vote de retrait de confiance de leur président, 97 ont voté pour, donc seraient hostiles, ce qui ne permettrait nullement d'atteindre les 140 voix exigées ! Sachant que le total des députés des blocs affidés ne dépasse pas actuellement les 109, auxquels on pourrait adjoindre quelques indépendants vendus (ou achetés), ce qui porterait le total à 115 au maximum. Les deux modes de calcul se rejoignent (110 théoriquement favorables pour le premier) et prouvent que l'on restera, de toute façon, ben loin du compte !
Vos autres prémonitions ont, hélas, toutes les chances de se réaliser. A moins d'un retrait, toujours possible, de cette alliance criminelle.
Au lieu de nous extasier sur quelques réalisations qui nous rempliraient d'espoir pour un avenir meilleur, voilà à quoi nous en sommes réduits. A supputer les magouiller et les intrigues de ces malfrats qui ont pris possession de l'ARP, et qui continuent à creuser la fosse dans laquelle tout un pays finira par sombrer !
Bien à vous.
Ce qui ont signe la lettre vont revenir en arriere avant le congre de decembre
Sans Ghannouchi ennahdha n est qu un mirage et les nahdhaouis le savent
Tu partiras par la VOLONTE du PEUPLE !!!
Bien sûr il ne partira pas! Mais si les 100 le voulaient, il n'aurait pas le choix.
Tout cela est du cinéma, et montre ce que pense Nahda de la démocratie...
Ils veulent donner l'image qu'ils sont en conflit entre eux, or c'est archi-faux. C'est juste une diversion et du maquillage pour camoufler et préparer les faits d'Octobre.
Dès le 1er Octobre, le retour à l'ARP, ils ont préparés avec l'aide de NK et ses sentinelles, Al-Karama et sa racaille, al-Mostaqbel et ses vendus et quelques députés indépendants à la solde de quelques dinars, un putsch SOFT (Un renversement de l'état en toute légalité et en respectant la constitution qu'ils ont conçus sur leurs mesures) et ce, pour écarter de leur chemin et une fois pour toute KS et toutes autres personnes qui pourra DANS L'AVENIR leur causer un souci.
Ils ont déjà les 8 noms de la cour constitutionnelle (Reste les 4 noms que KS suggérera, ils ont déjà la majorité), ils ont aussi les nouveaux noms de l'ISIE, qui remplaceront l'actuelle, ce sont les 2 priorités à mettre en place le plus tôt possible, par Ennahdha/Klebs Tounes/Al-Karama et Al-Mostaqbal, de cette façon, ils passeront ce qu'ils veulent et éliront ce qu'ils veulent, la CC et l'ISIE seront sous leurs mains. Voilà leur programme, Abir Moussi ne les intéressent pas, mais ils focaliseront sur elle pour occuper la populace endormie.
Ecrit par A4 - Tunis, le 05 Novembre 2017
La pieuvre noire est moribonde
Elle n'en a plus du tout pour longtemps
Elle est gluante, nauséabonde
Comme l'eau fétide d'un étang
Elle est obligée pour survivre
De s'amputer quelques tentacules
De jeter au feu tous ses livres
Et mettre à l'heure ses vieilles pendules
Mais ses horloges usées sont rouillées
Bloquées dans des époques anciennes
Et rien ne sert de les chatouiller
Il n'y a plus d'aiguilles qui tiennent
Elle suffoque dans son marécage
Et ça fait longtemps qu'il n'a pas plu
Qu'il n'y a plus perles ni coquillages
Que les eaux du golfe n'arrivent plus
De temps à autre elle rejette un doigt
Le plus malade ou le plus pourri
Cela n'empêche qu'elle est aux abois
Les yeux tristes et la peau flétrie
Elle est même rejetée par les siens
Par ses amis et ses grands maîtres
Elle n'a plus presque aucun soutien
Pour la sortir de son mal-être
Vous la voyez étalée à terre
Répugnante comme un vieux torchon
Faisant en cachette des prières
Pour invoquer diables et démons
Son mal incurable la dévore
Va la jeter un jour dans le trou
Avec ses doigts assassins, ses cors
Et sa sale tête de gourou


