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Qui est Fares Ferjani, le sabreur qui a offert à la Tunisie une médaille aux JO de Paris ?
28/07/2024 | 12:38
2 min
Qui est Fares Ferjani, le sabreur qui a offert à la Tunisie une médaille aux JO de Paris ?

 

Le sabreur tunisien Fares Ferjani a décroché, samedi 27 juillet 2024, la médaille d'argent, de la catégorie "Sabre individuel - homme", aux Jeux olympiques Paris 2024.  


Qui est Fares Ferjani ? 


Né le 22 juillet 1997, Fares Ferjani réside aux États-Unis. En 2020, il a commencé à étudier pour un master en commerce international à l'Université St. John's à New York. Trois ans plus tôt, il avait commencé un bachelor en finances à la même université et avait commencé à s'entraîner avec l'entraîneur Yury Gelman. Il évolue au sein du club, Manhattan Fencing Center.

"Après les Jeux Olympiques de 2016, j'ai parlé avec Yury Gelman, puis j'ai déménagé à New York. J'ai commencé à étudier à St. John's, et c'était une grande différence. L'entraînement était différent. Ces gars font beaucoup de travail. Tout compte, chaque détail compte. Je pense que pour moi, c'est juste génial d'avoir déménagé là-bas parce que j'ai atteint un autre niveau."


Deux ans après avoir terminé quatrième en sabre individuel aux Jeux olympiques de la jeunesse (JOJ) 2014 à Nanjing, en Chine, il a fait ses débuts olympiques seniors aux Jeux de 2016 à Rio de Janeiro. Il a remporté le prix Excalibur lors des St. John's University Athletic Awards 2023 à New York. Il a reçu le prix Giorgio Santelli pour l'escrime de l'Université St. John's en 2019 aux États-Unis.

Son frère aîné, Mohamed Ayoub Ferjani, a représenté la Tunisie en escrime et a participé au fleuret individuel aux Jeux olympiques de 2016 à Rio de Janeiro et à l'événement du Grand Prix 2021 à Doha, Qatar.

Son frère cadet, Ahmed, a représenté la Tunisie, participant aux disciplines du sabre aux championnats du monde en 2019, 2022 et 2023, et a également concouru au niveau universitaire aux États-Unis pour l'Université St. John's. 

Son père, Salah, a officié en tant qu'arbitre d'escrime au niveau international, tandis que sa mère, son oncle et son cousin ont tous pratiqué ce sport au niveau élite. 


S.H





28/07/2024 | 12:38
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Commentaires
Ahmed
Le gène et l'environnement
a posté le 28-07-2024 à 17:24
Pour résumer
Chehata. B
Que de reussite
a posté le 28-07-2024 à 17:02
Bravo, pour le travail collectif et le soutien mutuel..ya du travail et sûrement de l'amour dans cette famille élargie combative et passionnée de sport. .et dans tout celà n'y aurait-il pas un gène transmis par un grand parent, parce que c'est de l'essaimage réussi
Encore bravo pour votre sentiment d'appartenance a notre beau pays pas très maman poule par les temps qui courent
BOUHELA
J.O
a posté le 28-07-2024 à 15:38
Rien n'arrive par pur hasard
Tounsi Tounsi
Mabrouk !
a posté le 28-07-2024 à 14:06
Quel plaisir de voir une famille passionnée par un sport et voir que les générations entretiennent l'excellence !