Le professeur universitaire en sciences économiques, Ridha Chkoundali est intervenu aujourd’hui 12 septembre 2024 sur les ondes de Jawhara FM au sujet de la loi de finances 2025. M. Chkoundali a affirmé que le projet de la loi de finances de 2025 a maintenu les mêmes orientations et choix fondamentaux des lois de finances précédentes.
L’invité de Hatem Ben Amara a énuméré les grands principes qui régissent ce projet de loi de finances de 2025. Le premier point évoqué est le contrôle de la masse salariale ce qui engendre l’absence de recrutement au sein de la fonction publique durant l’exercice de 2025. Ensuite, le controle des dépenses de gestion, la consolidation du rôle social, la gouvernance des dépenses de compensation en plus du maintien du pouvoir d’achat et finalement accorder la priorité aux projets suspendus.
M. Chkoundali a affirmé qu’il s’agit d’un ensemble de réformes où la Tunisie ne se dirigera pas vers les emprunts externes comme les années précédentes, soulignant que ces réformes sont les mêmes que celles exigées auparavant par le FMI.
L’invité de « Sbeh El Ward » a déclaré également que les ressources d’emprunts internes sont presque épuisées contrairement à l’emprunt externe.
L’épuisement des ressources d’emprunts internes pose un problème au niveau du maintien du rôle social de l’État validé dans le projet de la loi de finances de 2025, puisque avec l’épuisement de ces ressources, l’État aura un grand challenge au niveau de l’assurance du rôle social évoqué au sein du projet de la loi de finances de 2025.
Concernant la caisse de compensation, Ridha Chkoundali a affirmé que les choix de l’État ne sont pas clairs par rapport à ce sujet dans le projet de la loi de finances de 2025.
H.K
c est un communiste dans ses actes donc il ira jusqu a la faillite