
Le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, a présidé, vendredi 7 février 2025, un conseil ministériel restreint consacré à l’examen d’un projet de loi visant à amender le Code des hydrocarbures, ainsi qu’à l’évaluation de la situation de certains titres d’exploitation.
Il a souligné l’importance stratégique du secteur des hydrocarbures sur les plans économique et social, insistant sur la nécessité d’adapter la législation aux évolutions du domaine. Il a mis l’accent sur l’importance d’un cadre législatif conciliant renforcement de la souveraineté énergétique sur ces ressources nationales et stimulation des investissements, afin de développer l’exploration, l’exploitation, le transport et le raffinage.
Le chef du gouvernement a également relevé que la baisse de la production, le recul des autorisations d’exploration, l’absence d’une politique de promotion de la destination tunisienne, la faible capacité d’adaptation aux évolutions du secteur et l’aggravation de la dépendance énergétique rendaient indispensable l’élaboration d’une vision stratégique.
« Cette vision devrait permettre d’identifier les opportunités, les enjeux et les défis du secteur, afin de renforcer la souveraineté énergétique, d’assurer la sécurité d’approvisionnement et de diversifier le mix énergétique. Elle vise également à attirer et encourager des investissements de qualité, dans le respect des principes de gouvernance, de transparence, de reddition des comptes et d’efficacité de gestion, tout en améliorant la performance des différentes structures intervenant dans ce domaine », relève un communiqué de la Kasbah.
De son côté, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet, a fait le point sur la situation des concessions et de l’exploitation de plusieurs champs pétroliers tunisiens. Elle a évoqué les principales raisons entravant les activités de recherche et d’exploration, notamment les blocages liés à la location et à l’exploitation des terres collectives, ainsi que les litiges d’arbitrage en cours.
La ministre a mis en lumière les défis et obstacles pesant sur le secteur, notamment leurs impacts négatifs sur les investissements, l’exploration et la prospection du pétrole et du gaz. Elle a souligné « le déclin naturel de la production des champs pétroliers, la lenteur des procédures d’attribution des licences en raison de l’intervention de multiples parties, ainsi que la diminution progressive des investissements dans l’exploration et la recherche pétrolières ».
M.B.Z
Tous déphasée,tous marginalisées,tous attardés....
ALLAH yerhim la Tunisie
Je m'explique:
a) Le cours du baril de pétrole a récemment atteint son plus bas depuis des mois. Après avoir atteint les 120 dollars lors des craintes les plus fortes des conséquences de la guerre en Ukraine, le pétrole est actuellement à 75 dollars le Baril et ça va décroître encore plus au bonheur de l'économie tunisienne. --> nous allons pouvoir épargner quelques milliards de dollars en2025 --> ce qui fait une extrême baisse des besoins en financements extérieurs
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@Mr. Kamel Madouri, vous n'avez plus de prétexte de ne pas réussir:)
b) Le remplissage de nos barrages est pratiquement à40% et ça va pleuvoir encore.
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@Mr. Kamel Madouri, vous n'avez plus de prétexte de ne pas réussir:)
@Mr. Kamel Madouri, qu'est-ce-que vous voulez encore plus pour réussir et faire réussir la Tunisie? En effet vous avez suffisamment d'eau dans nos barrages et du pétrole à son plus bas prix....
Très Cordialement
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
PS: Il y a une véritable décorrélation mathématique des prix et de la demande du baril de Pétrole ce qui met certaines Théories économiques de l'équilibre automatique entre l'offre et la demande via une main invisible et miraculeuse à la Adam Smith en question:)
- C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
- La tâche historique du libéralisme en philosophie politique a consisté à concevoir un mode de production de la loi qui échapperait au modèle de la souveraineté des monarchies absolues et des dictatures. Je cite Montesquieu: 'la bonne loi, véritablement conforme à l'essence de la loi, est celle dans laquelle la conscience des individus se retrouve et se reconnaît parce qu'elle est l'émanation d'une raison commune.' --> alors que notre loi électorale a été écrite en solo par un Mr. Kais Saied avec des erreurs de pensée et des contradictions que je ne pourrais pas avaler...
Tout le déroulement de la récente élection présidentielle était un désastre socio-politique et toute le monde sait pourquoi. De même la loi électorale, elle même écrite en solo par Mr. Kais Saied (KS) est inutilisable dans le contexte socio-culturel de la Tunisie et des Tunisiens (les Tunisiens refusent les parrainages et ceci a été évident lors de la récente élection présidentielle. Pourquoi? lire ci-dessous) --> Puis, la loi électorale écrite en solo par KS est illogique et contient des erreurs de pensée --> Exemple, je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] [de ces faits], chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné" voir le lien web ***
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de ces évidences on ne saura jamais si Mr. Zammel et Madame Bargaoui ont vraiment triché ou non car la loi électorale contient des erreurs de pensée. Même dans les domaines scientifiques, on ne définit pas des théories sur des systèmes axiomatiques absurdes.
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Fazit: il serait injuste de garder Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui emprisonnés encore pour des années. En effet, il n'y a aucune preuve convaincante que Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui ont triché. D'ailleurs une juge tunisienne intelligente a libéré Mr. Zammel que d'autres juges l'ont contredite avec des conséquences fatales pour la juge même...
- Malheureusement, Mr. Kais Saied n'est pas conscient de l'impossibilité de collecter 10000 parrainages lorsqu'on n'est pas Président de la République dans une Tunisie où les Tunisiens par leur culture refusent de signer quoi que ce soit, s'ils ne sont pas dans l'obligation de le faire: ceci par mesure de prudence... --> En effet, nos députés, et les soi-disant présidents élus de collectivités locales, et les soi-disant représentants du Conseil national des régions et des districts et les Tunisiens en général se mettent à l'abri de tout risque de faute judiciaire en refusant majoritairement de signer les parrainages, avec quelques exceptions.
--> les Tunisiens par leur culture et éducation refusent de signer à la légère à quelqu'un qui frappe à leur porte pour quoi que ce soit.
--> Les 10000 parrainages sont une mission impossible qu'aucun candidat n'a pu passer sain et sauf à l'exception de Mr. Kais Said par sa position du Président de la République.
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-- l'actuelle loi électorale aurait dû partir du contexte et de la mentalité du Tunisien. Franchement, moi-même je refuse de signer un formulaire de parrainage. En effet, je suis extrêmement avare avec ma signature (c'est mon éducation).
- Certes Mr. Kais Saied a pu facilement collecter le double des parrainages exigés, il aurait pu avoir des millions de parrainages par sa position de Président de la République. En effet, qui oserait ne pas signer un parrainage à l'homme le plus puissant de la Tunisie qui dispose encore d'un pourvoir absolu?
- encore un point négatif de l'actuelle loi électorale --> dans une dictature sont rares ceux qui ont le courage afin de signer un parrainage pour un candidat adversaire du dictateur en place tout en donnant ses cordonnées (son adresse) et le numéro de sa carte d'identité.
- Encore un point négatif de l'actuelle loi électorale, je cite:
- "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] [de ces faits], chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné"
- Liberté pour Mr. Zammel et Madame Bargaoui --> En absence de Cour Suprême en Tunisie, on déforme injustement la loi électorale (amendement) à quelques jours du vote de l'élection présidentielle --> après quoi un emprisonnement de 35 ans de Mr. Zammel (qui a été réduit autour de 5 ans entre-temps) pour un pourcentage de quelques poussières des parrainages apparemment non justifiés sur 10000 --> Il y a une contradiction qui fait trop de mal à mon intelligence: je vois un mauvais fonctionnement de notre justice.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Et pourtant il y avait des solutions au pb energetique tunisien mais je ne suis pas la pour faire son travail elle n a qu a lire toutes les etudes qu elle a recu et les appliquer et si elle ne sait pas de quoi je parle qu elle démissionne si elle ne veut pas se faire humilier car c est la prochaine sur la liste