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Prochain retour en force des touristes britanniques en Tunisie
03/08/2017 | 19:58
2 min
Prochain retour en force des touristes britanniques en Tunisie

 

Le ministre des Affaires étrangères, Khemaïs Jhinaoui, a reçu, aujourd’hui jeudi 3 août 2017 à Tunis, le secrétaire d’Etat britannique chargé du département de la région du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA), Alistair Burt, en visite de deux jours en Tunisie depuis hier mercredi 2 août.

 

A cette occasion, Le ministre tunisien a exprimé sa satisfaction suite à la décision des autorités britanniques de lever l’interdiction de voyage vers notre pays puisque cette mesure revêt une importance particulière en vue de promouvoir le secteur touristique et soutenir les efforts pour faire face aux défis économiques. Il a formulé l’espoir d’une levée totale d’interdiction applicable à toutes les régions du pays en signe de reconnaissance aux efforts déployés par la Tunisie en matière de lutte contre la corruption.

M. Jhinaoui a réaffirmé l’existence de perspectives prometteuses pour un partenariat bilatéral et estimé que sa prochaine visite en octobre prochain à Londres, sur invitation de son homologue britannique, Boris Johnson, sera une occasion pour discuter des moyens susceptibles de promouvoir la coopération bilatérale dans tous les domaines.

 

Pour sa part, le secrétaire d’Etat britannique, a mis en exergue le souci de son pays à faire développer les relations de partenariat avec la Tunisie dans le secteur économique ainsi que le soutien aux efforts du gouvernement en matière de réformes économiques et de lutte contre la corruption.

Il a tenu, par ailleurs, à affirmer que la décision de lever l’interdiction de voyage vers la Tunisie a été rendue possible suite aux succès sécuritaires et à la stratégie efficace pour sécuriser les sites et les circuits touristiques avant d’ajouter que la prochaine période sera marquée par le retour en force des touristes britanniques à la destination Tunisie.

 

A noter, enfin, que les entretiens ont porté, aussi, sur la situation sécuritaire dans la région MENA et sur les efforts en vue de rapprocher les points de vue entre les différents protagonistes libyens et de les encourager à opter pour le dialogue afin de parvenir à une solution globale et consensuelle.

 

S.H

03/08/2017 | 19:58
2 min
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Commentaires (27)

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takilas
| 05-08-2017 15:46
Seulement voix risquez de jalouser les incompétents, les médiocres et les incapables.
Au fait, il faut trouver une solution pour relancer l'industrie et parfaire tant la formation que les débouchés pour d'éventuels recrutements...entre autres défaillances socio-économiques.

Gg
| 05-08-2017 06:02
Encore pas d'accord!
En Tunisie par exemple, rien n'obligeait le peuple à se détourner de l'islam historique d'avant 2011, et en Europe rien n'oblige les maghrébins et leurs descendants à rejeter les sociétés laïques.
Ils peuvent choisir de s'intégrer aux sociétés dont par ailleurs ils profitent largement.
Nous possédons tous notre libre arbitre,nous sommes responsables de nos vies et de nos choix de sociétés.
Le wahabisme ne prend que sur un terrain prédispose. Éducation sexiste, misogynie latente, superstitions en tous genres, le terrain était prêt pour la dictature religieuse.
Rendez vous en 2019, si les tunisiens élisent ghannouchi président, ce sera de leur faute, et personne d'autre.

je dis la vérité
| 04-08-2017 23:16
@Gg et @Letranger:

La Monarchie des Saoud, a investi des milliards de dollars, pour semer à tous vents, l'idéologie wahhabite.

Cette idéologie est une forme d'islam rétrograde, loin, très loin de l'islam soufi et spirituel. Je vous renvoie sur des lectures sur tout cela.

Ces "bédouins", bénéficiant de la complicité des démocraties occidentales, ont dissiminé leur venin à travers les chaînes satellitaires,les prêches, depuis la fin des années 70....

Les pays du Magreb ont subi également une onde de choc "satellitaire", dans les années 90...
Le foulard islamique, et plus tard le burkini, la salafisation des jeunes, ont dénaturé les sociétés magrébines.

Cet engouement pour ces nouvelles "normes" vestimentaires, auront encore de belles années devant elles. Elles s'éclipseraient d'elles-mêmes, un jour. Je n'en sais rien.

Cependant, dans les pays d'Europe, les marges de manoeuvres sont entre les mains des gouvernants, qui pourraient mettre un terme au wahhabisme rampant.

Tant que le pétrole coule à flots, les monarchies du Golfe, manipulent les gouvernants occidentaux, comme ils le veulent. Le jour où cette manne se tarit, les choses vont changer bien sûr....Rendez-vous dans 100 ans....

Gg
| 04-08-2017 21:56
En principe,oui, en Tunisie on est libre de porter le foulard, ou pas.
En réalité, une femme qui veut être tranquille n'a d'autre choix que le porter.
Réciproquement, une femme qui ne porte pas le foulard doit subir tous les harcèlements, parce que supposée "facile " et sans morale.
Et encore, je parle de 2015, je n'ose imaginer aujourd'hui..

Letranger
| 04-08-2017 19:43
"...En Tunisie, on est libre quand même de mettre ce foulard ou ne pas le mettre. Personne ne vous l'impose..."

Je partage souvent tes avis, cependant, pour l'extrait ci-dessus, il faut bien reconnaitre que si personne "ne l'impose" il prolifère.
Et c'est une forme du djihad, c'est une partie du djihad, comme la prière dans les rues qui est une provocation acceptée par des gouvernements de pays faiblards.
On appelle ça "la règle des petits pas", j'explique : on t'interdit d'avancer >>> tu fais deux mètres >>> on te fait reculer d'un mètre >>> tu as gagné un mètre, et tu continues jusqu'à atteindre ton but.
Pour en revenir au Djihad, les égorgements, les attentats, les "guerriers martyrs" sont en première ligne, le niquab, la prière dans la rue, et tout et tout font partie de ce Djihad.
Comme les femmes vérolées couchaient avec les soldats envahisseurs pour les polluer, c'était leur mode de combat.
C'est comme les homosexuels, ils ne se reproduisent pas et pourtant il y en a de plus en plus.
Voilà, j'avais cinq minutes, alors pourquoi ne pas les utiliser à dialoguer.

takilas
| 04-08-2017 18:43
Allons y donc au travail !
Et négligeons leurs sabotages !
Laissez-les divaguer en réservant des interviews dans les télés !
Et certainement pareil dans leurs journaux, quoique leur argent pour la diffusion est épuisé.
Il ne vont pas tarder à manifester d'autres crises schizophréniques prochainement, et il faut s'attendre à d'autres sabotages comme celui d'incendier récemment les arbres et les moissons agricoles.
Vivement l'installation prochaine de caméras ou par d'autres moyens de surveillance.

kameleon78
| 04-08-2017 18:13
Les touristes qui veulent aller dans un pays n'attendent pas un décret gouvernemental concernant la destination qu'ils ont envie d'y aller, chaque citoyen est libre d'aller où il veut donc ce n'est pas un décret qui changera quelques chose. Les britanniques préfèrent les plages espagnoles, tranquilles avec un bon service et un excellent rapport-qualité prix, ils ont bien raison.

A BAS LES BARBUS
| 04-08-2017 18:03
Soit c'est par qu'ils n'ont pas le choix because ils sont fauches , soit ils ont les moyens mais ils sont cons pour venir visiter une porcherie a ciel ouvert

Rigolo
| 04-08-2017 15:46
Pauvres britanniques ils vont avoir des surprises avec nos zoulous ! Bref a leur place j'irai voir ailleurs ; le Commonwealth est vaste et beaucoup plus intéressant a voir que notre Pays de chleyeks !

Jememarre
| 04-08-2017 13:40
La Tunisie n'est plus ce qu'elle a été.
La fameuse " belle Tunisie" ,n'est plus qu'une grande poubelle.
Des rues sales, des gens qui font exprès de tout jeter juste à côté des poubelles.
Les hôtels sont envahis de "touristes algériens,libyens, tunisiens qui mangent salement qui prennent tout ce qu'ils peuvent ils goûtent à peine et jette le reste( je l'ai vécu) même le serveur avait honte de cette situation et me disait que tous les soirs c'était la même chose.
Sans côté que dans les couloirs des hôtels les enfants et les parents hurlaient jusqu'à minuit passé.
Dans les piscines, ils crachent les femmes sont en Burkina.
Ils vous regardent de travers.
Amis etrangers allez dans les pays où les gens vous accepte avec le sourire et dans la propreté.
Passer votre chemin.