Bonjour Monsieur,
C'est bien triste, une société de malades hélas.

Rabi yoster
Excellent fin dimanche

Bonjour à tou.te.s.
Je suis natif de Menzel. Ce que vous lisez est de première main.
L'energumène est natif de Menzel. De vieille souche tout ce qu'il y a d'honorable. Recherché avec ses deux enfants, les deux autres, pour une liste de méfaits longue comme un jour sans pain, cambriolage, voies de fait, violences, braquages et autres joyeusetés. Repéré, une escouade de plusieurs véhicules ameutés de Monastir et d'ailleurs
( quelque 30 km de Menzel ) débarque pour le cueillir. Ses deux grands fils complices prennent la poudre d'escampette. Ne restaient plus que les deux mineurs qu'il emmène dans sa fuite par les toits, croyant pouvoir s'en servir comme "bouclier" pour parer à toute arrestation. Il les suspend par les pieds et menace de les jeter dans le vide si on ne lui "fout pas la paix". Surpris par derrière par des agents montés sur le toit, il lâche les deux malheureux petits. L'un est rattrapé in extremis, l'autre n'a pas cette chance. Plusieurs fractures du crâne.
Je me souviens de quelqu'un qui disait qu'à Menzel, la moitié de la population était barge. On était dans les années 80. J'ai bien peur qu'aujourd'hui il ne reste plus grand monde de sain d'esprit.
J'ai pourtant connu une bourgade bien paisible. Alors insignifiante et bien endormie, une manière de belle aux oliviers dormant, mais en paix, que rien ne prédestinait à défrayer régulièrement la chronique des faits divers les plus sordides.
Tout cela n'est qu'un vieux souvenir.
Aujourd'hui, les cambrioleurs peuvent vous saigner pour un butin minime. Un mari peut trucider son épouse qui le nourrit et subvient aux besoins de la famille à coups de massette dans la tête. Un frère peut escroquer son prochain*.
Tout cela n'a plus rien d'exceptionnel si ce n'est monnaie courante.
Menzel est le "coeur des ténèbres". A l'image d'un pays parti à vau l'eau.
C'est pourtant une ville à l'abri du besoin. Tout pourrait y être "luxe calme et volupté". En forçant un peu, bien entendu..

Un jour prochain, je vous raconterai comment tout a, petit à petit basculé.
Passez un bon dimanche... malgré tout.

*Crimes et délits survenus à Menzel...
Kamel qui n'a jamais aussi peu mérité son nom.

@Linoucha, je persiste, plus je connais certains hommes, plus j'aime mon chien... Un adorable massif berger belge fidèle, affectueux, aimant.

Vous m'étonnez toujours, subjugué, où aviez-vous appris la langue de Molière ? '? Menzel ? C'est EXTRA comme disait la chanson ! Mes amitiés Maitre G Z.

Cet énergumène ne peut être qu'un étranger à cette paisible bourgade, (Menzel-Kemel) entreprendre une action de désespoir en mettant en péril la vie de deux bambins, et les éventuelles conséquences par cette folle démarche !
Connaissant les citoyens de ce village et avoir lu leurs attachements aux règles et aux lois de la république en aucun cas ne peuvent être aussi déboussolés !
'? l'exemple de ce type !
Des citoyens aux passés paisibles des hommes de culture et la responsabilité avérées, rectitude et respect de l'éthique et l'authenticité et du rationnel.

Qu'attendons nous de cet énergumène qui envoie ses propres enfants à la mort avec préméditation pour échapper à la police que justice soit rendu

Sociologues, psychologues, psychiatres, réveillez-vous ! Le pays qui a financé vos études a besoin de votre assistance.

Jeter ses propres enfants, les condamnant à une mort probable, ça reflète un état d'esprit qui mérite toute l'attention de nos spécialistes et qui nous rappelle d'autres drames horribles cités par les medias ces dernières années

Agissez, faîtes des propositions réalistes et surtout n'oubliez-pas que vos enfants vont vivre dans cette société !

"Sociologues, psychologues, psychiatres, réveillez-vous !"

Foutaise, foutaise.
C'est le zoulatte et le massbéte qu'on doit réactiver et rien d'autre !!!
C'est l'unique langage friendly qui parvient à atteindre avec succès, les neurones des infâmes et ignobles chléyék, qui pullulent depuis le maudit coup d'état de 2011 !!

Un drame aussi épouvantable qu'imprévisible ces fous de la société