Le président de la République, Kaïs Saïed a renouvelé le mandat des membres du la commission nationale de conciliation pénale. Un décret est paru dans une édition spéciale du Journal officiel daté du 12 mai 2023.
Ainsi, le mandat des membres de la commission est renouvelé pour une période de six mois à compter du 11 mai 2023.
La composition de la commission se présente comme suit :
- Khaled Ben Youssef, président de chambre de cassation au Tribunal administratif,
- Khaled Ben Ali, procureur occupant une fonction équivalente à la fonction de président de chambre de cassation à la Cour des comptes,
- Lamia Ben Amara, contrôleur général des services publics, représentante du Haut Comité du contrôle administratif et financier,
- Lotfi Harzali, contrôleur général des finances, représentant du corps de contrôle général des finances,
- Saida Selmani, Cheffe d’unité à la commission des analyses financières, représentante de la Commission des analyses financières relevant de la Banque centrale de Tunisie,
- Sami Bezzine, inspecteur général de la propriété foncière à l’Office national de la propriété foncière, représentant du ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières,
- Fatma Yacoubi, conseiller rapporteur général à la direction générale du contentieux de l’État, représentante du Chef du contentieux de l’État.
On rappellera que la commission de conciliation pénale devait initialement achever ses travaux le 11 mai 2023. Il y a six mois, le 11 novembre 2022, le président de la République nommait les membres de la commission dans le but de récupérer, durant le délai qui leur est imparti, 13,5 milliards de dinars qu’aurait spolié quelque 460 hommes d’affaires corrompus. Les six mois étaient achevés et l’argent n’était toujours pas dans les caisses.
I.L
Sinon yabta barcha barchaaaaaa chweya les milliards comme dirait l'autre...
LIBERTE AUX PRISONNIER.E.S POLITIQUES COMME D OPINIONS SANS EXCLUSIVES !
Liberté-égalité-dignité-justice-partage-participation-représentation-etat de droit-pleine citoyenneté-garantie des pleins moyens de subvenir aux besoins-souveraineté-république-DEMOCRATIE-PAIX !
Dans un tel état désuet de raisonnement, les musulmans sont condamnés à des sociétés figées dans le temps. Il n'y aura jamais de pays musulmans réellement modernes. Tous sont des satellites des Etats Unis ou d'Israël et des pays comme l'Iran sont perfusés en technologie par la Russie et la Chine.
Les Iraniens sont un des peuples les plus arriérés et plus cruels au monde. L'histoire de l'Iran illustre bien que même les dictateurs les plus autoritaires ne peuvent guère éradiquer la malédiction de l'Islam. Le Shah d'Iran, placé au pouvoir par la CIA après le coup d'état contre Mossadeq, se leurrait d'illusions quant à un Iran moderne. Son influence n'atteindra que la couche minoritaire et privilégiée de la population. Celle qui allait aux sports d'hiver à Téhéran au même moment ou les Ayatollahs de la ville sainte de Qom habillés de toges et de toques noires, vivaient dans l'obscurantisme et prêchait un Islam radical et sanguinaire.
La révolution des femmes Iraniennes échouera tristement car les femmes modernes en Iran sont une minorité. Le reste de l'Iran est habité par des êtres préhistoriques et l'élite du Shah a depuis longtemps émigré à Londres ou aux Etats Unis.
Les sociétés musulmanes sont condamnées à être recolonisées par les occidentaux car j'ose vous rappeler que c'est la pensée nationaliste moderne qui a libéré les arabes du joug colonial.
Le meilleur exemple de recolonisation est le Maroc dont le régime féodal est la marionnette de Washington et d'Israël. Même le roi Hassen II était un fonctionnaire mal payé de la CIA, comme en Tunisie Kamel Letaief et Béji Caïd Essebsi.
Avec le raz de marée islamiste qui touche des pays comme la Tunisie viendra une recolonisation progressive car l'islamisme disséminera la pauvreté, le terrorisme, la faim, et la misère.
Avec la faillite économique, arrive le chantage d'institutions colonialistes comme le FMI dont les revendications sont claires et nettes et dictées par les lobbys sionistes de Washington : remettez les islamistes au pouvoir au nom de la démocratie ou crevez de faim !
L'épisode le plus triste de ce siècle contemporain s'appelle Habib Bourguiba. Cet homme aux regard bleu et brillant, aux idées lumineuses, et haut comme trois pommes aura rêvé d'un peuple Tunisien ayant maitrisé la technologie comme au temps de la révolution industrielle. Une fois ses siestes devenues fréquentes au palais de Carthage et une fois entouré de demi-intellectuels comme Mohamed Mzali, ne fut-il pas surpris d'apprendre qu'un certain Rached Ghannouchi adepte de l'ayatollah Ruhallah Khomeiny, était devenu maitre en l'art d'une autre technologie moderne : celle des bombes dans les hôtels.
Un jour dans sa Mercedes, on demanda à Bourguiba la question suivante : « croyez-vous en Dieu ? »
Ce a quoi Bourguiba ne répondit pas.
Car ce génie avait comme moi compris que l'Islam avec ses tendances fatalistes coriaces et sa superstition tenace était ce qu'il devait combattre afin d'atteindre son rêve de l'indépendance économique pour un peuple hargneux et ingrat en guenilles.
Le Président Kais Saied n'est pas mauvais. Il est Nationaliste et se rapproche dans ses idées de Kadhafi et de Nasser, mais il doit cesser de mentionner le mot Islam dans ses discours. Il doit avoir le courage comme pour la famille Assad en Syrie de confectionner une constitution clairement laïque.
Il doit créer un programme d'éducation impitoyable pour ces générations entières qui ont plongé dans la drogue ou dans l'autre drogue nommée Islam.
Seule une éducation Nationaliste, militaire, et laïque pour ces jeunes générations de la révolution qui sont des rats nuisibles sans dignité ni patriotisme, sauvera le pays du chaos et de la destruction qui l'attends.
JOHN WAYNE
En voyant le pseudo de quelqu'un qui vit dans l'au-delà, on zappe directement bouffon..
