
Le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'Industrie, des Mines et de l'Énergie, chargé de la transition énergétique Ouael Chouchane, était l’invité, jeudi 23 mai 2024, de la matinale de la Radio nationale.
Le responsable a souligné que la transition énergétique est une nécessité sécuritaire et économique dans le cadre de la réalisation de la sécurité énergétique du pays et de la réduction du déficit et de la dépendance énergétiques. Il a précisé que cette transition s’inscrit dans le cadre de l'économie verte et de la réduction du coût des subventions énergétiques, qui ont un grand impact sur le budget de l’État.
Ouael Chouchane a indiqué que le gouvernement œuvre à réaliser l’objectif d’un tissu électrique issu à 35%, soit 4.850 mégawatts, d’énergies renouvelables à l’horizon de 2030 et à 50% à l’horizon de 2035.
Il a rappelé que le gouvernement a mis en place trois régimes de production d’énergies renouvelables, le régime des concessions dédié aux grands projets dont 100% de la production ira à la Steg, le régime des autorisations adressé aux PME et dont 100% de la production ira également à la Steg et enfin le régime de la production individuelle dédié aux particuliers et aux sociétés.
« Les citoyens peuvent participer activement à l’effort de la transition énergétique, cela aura un grand impact sur leur facture d’électricité certes mais aussi sur l’État et sur la transition vers une économie plus verte », a tenu à souligner Ouael Chouchane.
Il a annoncé que les travaux du premier lot de grands projets dédiés à la production des énergies renouvelables seront lancés cet été et notamment de la centrale solaire photovoltaïque d’El Metbassta à Kairouan, d'une capacité de cent mégawatts.
« Ce projet est le premier d'un lot de grands projets de production d'électricité à partir de l'énergie solaire photovoltaïque d'une capacité totale de 500 mégawatts. Le 8 mai d’autres accords ont été signés, le projet de Tataouine avec une production de 200 mégawatts, Gafsa, avec une production de cent mégawatts ainsi que deux autres projets, Tozeur et Sidi Bouzid avec des productions de cinquante mégawatts chacun. Les travaux débuteront cet été et la production devrait pouvoir être lancée dans un délai d’un an, soit à l’été prochain », a conclu le responsable.
M.B.Z
Sûrement pas!
Voila que nos pseudos responsables incompétents s'obstinent au fatidique objectif des 30 % de nos besoins vers 2030 alors que normalement on devrait parler d'une production dépassant de loin 5000 % de nos besoins pour satisfaire la demande du vieux continent.
DORMEZ DORMEZ LE SOMEIL RISQUE D'ETRE CAUCHEMARDESQUE. L'armé Tunisienne doit prendre en main ce méga projet pour préserver les intérêts du pays et barrer la voie aux cupides traitres et incompétents.
Et comme d'hab, dansons le Stambali sur un aire de ta3e boufelss, pour ne pas perdre d'avantage la raison.
Esperant que KS prenne le dessus et sauve ce mega projet qui va inverser la vapeur migratoire de l'Europe vers l"Afrique.
Commencer par encourager les citoyen a opter pour l energie solaire dans leurs habitats
nos voisins ont déjà plusieurs années d'avance sur nous avec plusieurs types de technologies permettant de faire fonctionner les centrales même la nuit et pourtant le pays dispose d'un avantage extraordinaire et il serait possible d'utiliser le désert comme centrale électrique solaire pour alimenter le pays et au delà exporter le surplus vers l'Europe mais encore faut il avoir la volonté !
Assez parlé, au travail!

