
Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a affirmé, lors de la 113e Conférence internationale du travail de l’Organisation internationale du travail (OIT) à Genève (Suisse), que l’organisation n’acceptera plus son exclusion.
« La détérioration des conditions sociales des travailleurs et de la population dans notre pays a atteint un niveau sans précédent, que personne ne peut supporter ni justifier. Certains pourraient être surpris par notre appel au dialogue social, suspendu depuis un certain temps. Pourtant, nous, lauréats du prix Nobel de la paix en 2015 pour avoir mené un dialogue national qui a sauvé le pays, et qui avons œuvré pour l’institutionnalisation du dialogue social, sommes déterminés à préserver cet acquis fondamental, fruit d’un long combat, et inscrit dans les lois. Nous n’accepterons pas qu’il soit balayé d’un revers de main, ou effacé d’un simple trait de plume », a-t-il martelé.
Et d’ajouter : « Nous sommes convaincus que le dialogue social et le partenariat entre les différentes parties prenantes constituent la seule voie pour relever les défis économiques et sociaux. Nous n’accepterons pas l’exclusion persistante de l’UGTT, la monopolisation des questions sociales et leur traitement unilatéral, comme ce fut le cas pour l’amendement du Code du travail et d’autres dossiers concernant les travailleurs. Il convient de rappeler que la Tunisie avait été inscrite sur la liste restreinte de la Commission des normes lors de la 112e Conférence, et que le gouvernement tunisien s’était engagé à prendre les mesures nécessaires pour rétablir le dialogue social, garantir les négociations collectives et respecter la liberté syndicale. Malheureusement, cette année, nous avons été surpris par l’exclusion de la Tunisie de la liste restreinte, alors même que les restrictions à l’encontre de l’activité syndicale indépendante et des syndicalistes se poursuivent, à travers des sanctions arbitraires, notamment des licenciements, des poursuites abusives et d’autres violations. Nous poursuivrons notre lutte pour notre héritage syndical, notre liberté et nos droits ».
I.N.
L'UGTT DOIT ACCEPTER DE RENOUER AVEC CONFORMITE aux aurores de ses principes initiaux historiques, des principes de continuité d'Esprit 2011 comme deLettre Commune 2014 et DEFINITIVEMENT LOIN, trèèèès loooooooooiiiiin des petites manoeuvres boutiKières Konciliantes qui insultent d'abord son intelligence et celle de tout un pays !
Gageure.
Un dépens dans l'absolu.
De grâce Mr Taboubi arrêtez de gesticuler et avouez que vous êtes un incompétent fini.
La participation de l'UGTT à un éventuel dialogue n'est pas indispensable de tout, dans aucune Démocratie dans le monde une centrale syndicale n´est un acteur Politique.
Comme la vie democratique pour des responsables syndicaux viellards qui ont vecu des dictatures, devraient avoir plus de retenue ou mieux aller à la retraite, un clivage de trop avec le président ne va rien arranger.
Il est temps aussi que le président fasse un discours clair et précis pour dévoiler ses intentions et sa stratégie pour dégager enfin les malentendus politiques graves dans notre société, cette mascarade n'a que trop duré.
Rabbi Yèhdi!
2- " Nous lauréat du prix nobel de la paix ! sans bague .....! depuis ce jour là , ce prix ne vaut plus rien .
3- il prétend avoir sauvé le pays par le dialogue social ! Qui peut croire cette aberration ? Il a fortement participé à la déroute économique du pays et la destruction du service public .
il faudrait beaucoup de temps et d'espace pour énumérer tous les tords que l'ugtt , sous sa direction , a causé au pays durant ces dernières années .
On attend toujours de le voir rendre des comptes comme tous ceux qui ont fait du mal au pays .
Et parfois ces hors jeux sont sanctionnés par.........DES CARTONS ROUGES!!!!
Et il, parle de HIWAR WATANI (dialogue 'national')pour 'sauver la TUNISIE!!!! NON C'EST UN HIMAR LE WATANI pour sauver NAHDHA et pour préparer le 'consensus' NAHDHA-NIDA.
La Tunisie s'est laissée trop longtemps traîner par cette association mafieuse et c´est dépuis le temps de Bourguiba.
L´UGTT représente un vrai DANGER imminent pour l´économie, la sécurité et la paix sociale du pays.
Combien de temps encore devrons-nous tolérer et accepter ces parasites, c'est pourquoi M. le Président Kaiis Saied, s'il vous plaît, interdisez immédiatement ce bordel (DECRET du siècle!).
Notre pauvre pays ne peut plus se permettre le luxe de tolerer ces monstres BenouHilèliens !
S'il vous plaît, une Interdiction immediate, serait un salut pour notre pays !
Il est temps ou jamais de le faire, car je ne crois pas que le Parlement en soit capable un jour !
Allah Yar7èm Waldik! Vous n´avez absolument rien à perdre mais tout à gagner !