
Le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a affirmé, samedi 18 janvier 2025, qu'il « apprécie la position du président de la République, Kaïs Saïed, rejetant les formes de travail précaire et sa décision de prendre des mesures à leur encontre ».
Lors de la célébration du 79e anniversaire de la création de l'Union, Noureddine Taboubi a souligné que si la position du chef de l’État est à saluer, « personne ne peut surenchérir sur les efforts de l’UGTT, qui a milité durant des années contre la sous-traitance et l’exploitation des travailleurs ».
Le chef de l’union syndicale a confirmé que « des contacts pour rétablir les négociations sociales et appliquer les accords » sont en cours, ajoutant qu’un grand rassemblement est prévu pour appeler à la reprise des négociations dans le secteur privé. Il a, dans ce sens, révélé que l’UGTT s’entretient avec l’Utica et poursuit son combat pour la protection du pouvoir d’achat des travailleurs.
Dans son discours, relayé par Echaab News, Noureddine Taboubi a affirmé que l’UGTT « existe encore et assure son rôle national et social, contrairement à ce que propagent certaines parties, et que le président n’a fait qu’adopter ses propositions contre l’emploi précaire ». Il a, par ailleurs, appelé à la nécessité d’assainir le climat politique, en supprimant le décret 54 et en rétablissant le paysage politique pluriel, engageant les partis, mais aussi les composantes de la société civile.
Dans un autre contexte, Noureddine Taboubi a estimé que l’UGTT traverse des difficultés internes « normales et salutaires », qu’elle gère avec le dialogue et dans le cadre de la démocratie. Le secrétaire général a annoncé que l'organisation s'oriente vers une réconciliation syndicale, qui sera bientôt annoncée lors de la réunion du comité administratif national, « afin de renforcer l'unité syndicale et consolider la solidité de l'organisation ».
Il a affirmé que l’union est la cible de parties étrangères qui la considèrent comme un danger sur le périmètre régional.
M.B.Z
Peut être un long séjour à Hammamet ? Qui sait?
Tous les chacals et hyènes post-2011, ont été emportés par le tsunami du ja'hil.
Il n'y en a pas un, qui remonte l'autre.
Le tm'a3 et la notoriété mal acquise, a aveuglé toute cette horde de gardiens d'étables et d'écurie.
D'où le dicton : Rabi a3méhom !!!
Ces pingouins sont définitivement grillés !!!
Oui, en Tunisie.
Il ne veut pas comprendre qu'il doit dégager et laisser la place à des élections démocratiques !
Je pensais qu'il n'existait plus de cette espèce d'individu en Tunisie.
Eh bien il existe, donc on doit le foutre au musée du Bardo, bien sûr on le mettra pas avec les figures historiques qui font la fierté de la Tunisie, mais tout juste collé la poubelle .

