Dernières news
Néji Bghouri appelle à poursuivre Borhène Bsaies en justice

Le président du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri, a appelé le ministère public à poursuivre le chargé des affaires politiques de Nidaa Tounes Borhène Bsaies, pour "abus de pouvoir".
Il a précisé, dans un post relayé ce vendredi 21 juillet 2017, sur Facebook, que Borhène Bsaies est pris "en flagrant délit d'abus de pouvoir selon le témoignage de la directrice de Cap Fm".
Olfa Tounsi avait, en effet, affirmé plus tôt aujourd'hui avoir reçu "une mise en garde" de la part de Borhène Bsaies lui signifiant "un mécontentement de Nidaa Tounes quant à la ligne éditoriale de la radio" et menaçant de "représailles".
A lire également
sur le fil
Dans la même Rubrique

À combien équivaut le don de blé irakien ?
06/05/2025
0
Commentaires (12)
CommenterUne tempête dans un verre d'eau
| 23-07-2017 20:26
Au lieu de focaliser sur des menaces plutôt imaginaires, car Besaies n'est pas si naïf pour ne pas prévoir ce genre de contre attaque. Il aurait été plus utile de penser aux salaires des fonctionnaires de la radio. Ce genre de menaces ne mène à rien de nos jours et tout le monde le sait.
toute l'affaire parait un peu louche!
| 23-07-2017 10:38
Borhen Bseiess est opportuniste magouilleur et "calculateur"au point de ne pas se permettre facilement et abusivement, de divulguer à une responsable médiatique, et de cette manière directe, d'afficher son choix du camp de HCE(et voire même BCE lui même dont la fin du mandat pointe à l'horizon) contre YC qui a déjà le vent en poupe et des chances de succès incomparables par rapport au manoeuvrier apprenti( jusqu' à preuve du contraire et le temps presse!!) HCE.
In finé, il n'est point à écarter l'hypothése d'un jeu qui se joue et dans lequel Bseis serait un acteur de pointe qui sera payé en cash par ...et par le réseau de lobbying qui est entrain de recycler le système avec un nouveau niveau de manipulation médiatique pour faire passer la "tempête" de lutte contre la corruption.
Si le syndicat des journalistes est vraiment souveraine alors qu'elle fonce directement dans l'investigation sur les dessous des dossiers de corruption....
Se contenter d'appeler une justice débordée et non encore au point, est un acte de routine...trop insuffisant
In finé, il n'est point à écarter l'hypothése d'un jeu qui se joue et dans lequel Bseis serait un acteur de pointe qui sera payé en cash par ...et par le réseau de lobbying qui est entrain de recycler le système avec un nouveau niveau de manipulation médiatique pour faire passer la "tempête" de lutte contre la corruption.
Si le syndicat des journalistes est vraiment souveraine alors qu'elle fonce directement dans l'investigation sur les dessous des dossiers de corruption....
Se contenter d'appeler une justice débordée et non encore au point, est un acte de routine...trop insuffisant
C'est un (apprenti) maître-chanteur : il faut le pousuivre pour chantage !
| 23-07-2017 10:14
Bsaïes est coupable, et devrait être sanctionné. Toutefois, si la ligne préconisée par Bghouri était retenue, nul doute que Bsaïes s'en tirerait sans perte ni fracas... Bghouri suggère de le poursuivre pour abus de pouvoir : quel pouvoir, et quel abus ? Qui est Bsaïes ? Un simple activiste politique. De quel pouvoir aurait-il tenté d'abuser ? Néant : il n'a aucun pouvoir ! Il faut poursuivre ce simple quidam sur la base de son chantage, qualifié et prouvé. De ce chef, il ne pourrait pas s'en tirer à bon compte, et Olfa Tounsi serait désormais à l'abri des prochaines manoeuvres de ces Bsaïes!
Il est temps que la Justice tunisienne s'occupe des pions de la corruption, comme ce Borhèn Bsaïes.
| 22-07-2017 21:25
Ils nous demandent de leur pardonner leurs crimes chez le dictateur déchu Ben Ali, sans qu'ils ne cessent de continuer là où la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 les a chassés.
Il faut que la Justice tunisienne protège le peuple tunisien et sa démocratie de ces serpents humains de l'ancien régime déchu de Ben Ali, à l'image de ce clown Borhèn Bsaïes.
Que Le président du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri, cesse de parler dans le vide et qu'il passe à l'action, avant qu'il ne perde toute la crédibilité acquise depuis sa lutte contre le dictateur déchu Ben Ali.
Mettez fin aux crimes de ces "Azlèms", afin qu'on passe à la vitesse supérieure de notre transition démocratique, qu'ils sabotent jours et nuits avec leurs intrigues dictatoriales.
Il faut que la Justice tunisienne protège le peuple tunisien et sa démocratie de ces serpents humains de l'ancien régime déchu de Ben Ali, à l'image de ce clown Borhèn Bsaïes.
Que Le président du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri, cesse de parler dans le vide et qu'il passe à l'action, avant qu'il ne perde toute la crédibilité acquise depuis sa lutte contre le dictateur déchu Ben Ali.
Mettez fin aux crimes de ces "Azlèms", afin qu'on passe à la vitesse supérieure de notre transition démocratique, qu'ils sabotent jours et nuits avec leurs intrigues dictatoriales.
Bsaies essaye de faire le malin il est piégé
| 22-07-2017 17:54
Il n'a pas à téléphoner à une responsable de radio, encore moins de lui faire savoir ce qu'il pense....Le syndicat et n'importe qui maintenant est en mesure de le poursuivre pour harcèlement, tentative d'influence, de corruption, de retirer un profit condamnable ....et la série est longue dans les tours de pendables qu'on lui collera parce qu'il en est parfaitement capable ...et son passé le prouve.
Les extrêmes de la gauche reviennent au galop !!
| 22-07-2017 13:28
Ils ont la main mise sur les médias publics avec les Cpristes haineux et une HAICA désignée parla défunte Troïka .
Les syndicalistes d'une certaine presse destructrice ne sont pas conscients que notre démocratie est toute jeune mais ils sont pris par la folie des grandeurs au détriment de l'intérêt supérieure de la nation .
Mr Bghouri a le droit d'avoir encore de la sympathie pour les systèmes communistes révolus mais ..... l'avenir de notre pays est une ligne rouge à ne pas dépasser .
Les syndicalistes d'une certaine presse destructrice ne sont pas conscients que notre démocratie est toute jeune mais ils sont pris par la folie des grandeurs au détriment de l'intérêt supérieure de la nation .
Mr Bghouri a le droit d'avoir encore de la sympathie pour les systèmes communistes révolus mais ..... l'avenir de notre pays est une ligne rouge à ne pas dépasser .
celui qui n'a pas de dignité fait se qu'il veut
| 22-07-2017 12:52
oui c'est un dicton en arabe "IDHA LAM TESTAHI AFAAL MATACHA"
l'IVD ouvrira t-elle le dossier Bsaiess
l'IVD ouvrira t-elle le dossier Bsaiess
Il revient à ses sources de lèche godasses.
| 22-07-2017 12:17
Son boulot chez le RCD était justement de museler la presse.
Rien de nouveau. Chassez le naturel, il revient au galop.
Croyez moi, il va vientôt retourner sa veste et adhérer à ennahdha.C'est dans ses tripes. Un **** opportuniste.
Rien de nouveau. Chassez le naturel, il revient au galop.
Croyez moi, il va vientôt retourner sa veste et adhérer à ennahdha.C'est dans ses tripes. Un **** opportuniste.
Qu'attendez-vous pour déposer plainte?!
| 22-07-2017 11:37
Ce voyou de Bsaïess passe d'un Q à l'autre de Benali à HCE et probablement à celui d'un autre demain quand ce dernier se cassera les dents! Le pays est suffisamment en difficulté pour avoir à supporter ce type de parasite qui ne cesse de donner la nausée autour de lui. Un bon avocat et il se fera coffrer en un tour de main !
C'est la faute à BCE
| 22-07-2017 10:47
En effet, si BCE n'avait pas tout fiat pour introniser son fils, et par tous les moyens, on n'en serait pas là, avec un camp moderniste aussi affaibli. Tout ce qu'il a fait de bon, il l'a détruit par cet erreur fatale, qui pèsera très lourd et pendant longtemps...