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Mondher Zenaïdi dénonce la fuite des sondages et des pratiques malsaines
Le candidat à la présidentielle, Mondher Zenaïdi, s’est insurgé, le 20 novembre 2014, contre certaines pratiques malsaines dont il est victime.
Dans une déclaration à Business News, Mondher Zenaïdi a dénoncé le fait qu’on évoque son retrait de la course à la présidentielle alors qu’il l’a démenti à plusieurs reprises. L’ancien ministre a fait état de plusieurs pressions « à la limite du supportable » qui visent sa candidature en évoquant une volonté de déstabilisation de toute l’opération électorale.
« Des sondages partagés sur les réseaux sociaux, des rumeurs, des manœuvres de déstabilisation des adversaires…J’ai toujours voulu rester positif car je voulais donner une bonne image de la démocratie en Tunisie, car c’est avec cet image positive du pays qu’on pourra, demain, mobiliser nos partenaires pour améliorer la situation économique dans le pays », a expliqué Mondher Zenaïdi. « On dirait qu’il y a des gens qui se sont mis en tête de choisir les vainqueurs à la place du peuple tunisien, il suffit pourtant d’attendre le 23 novembre et on saura ! » a martelé l’ancien ministre.
Il a également tiré la sonnette d’alarme contre ces pratiques unanimistes en rappelant que c’est ce type de procédés qui a mené à la dictature auparavant. « J’ai toujours cherché à être positif pour donner une image rayonnante de la Tunisie dans cet instant électoral historique, mais là, trop c’est trop ! » a conclu Mondher Zenaïdi.
Dans une déclaration à Business News, Mondher Zenaïdi a dénoncé le fait qu’on évoque son retrait de la course à la présidentielle alors qu’il l’a démenti à plusieurs reprises. L’ancien ministre a fait état de plusieurs pressions « à la limite du supportable » qui visent sa candidature en évoquant une volonté de déstabilisation de toute l’opération électorale.
« Des sondages partagés sur les réseaux sociaux, des rumeurs, des manœuvres de déstabilisation des adversaires…J’ai toujours voulu rester positif car je voulais donner une bonne image de la démocratie en Tunisie, car c’est avec cet image positive du pays qu’on pourra, demain, mobiliser nos partenaires pour améliorer la situation économique dans le pays », a expliqué Mondher Zenaïdi. « On dirait qu’il y a des gens qui se sont mis en tête de choisir les vainqueurs à la place du peuple tunisien, il suffit pourtant d’attendre le 23 novembre et on saura ! » a martelé l’ancien ministre.
Il a également tiré la sonnette d’alarme contre ces pratiques unanimistes en rappelant que c’est ce type de procédés qui a mené à la dictature auparavant. « J’ai toujours cherché à être positif pour donner une image rayonnante de la Tunisie dans cet instant électoral historique, mais là, trop c’est trop ! » a conclu Mondher Zenaïdi.
M.A
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