Le candidat à la présidentielle du 6 octobre, Mondher Zenaidi, a adressé, samedi 31 août 2024, un message aux Tunisiens où il revient sur ses derniers déboires avec le pouvoir et sur ses objectifs.
Le candidat rappelle que l'assemblée plénière juridictionnelle du Tribunal administratif a accepté son recours et a décidé que sa candidature était valide pour l’élection présidentielle.
M. Zenaidi a profité de l’occasion pour remercier tous ceux qui l’ont aidé à dépasser la montagne de difficultés et d’entraves érigées à son encontre depuis qu’il a déclaré ses intentions de se présenter à la présidentielle. Il a ainsi remercié son équipe juridique, son équipe de campagne électorale, plusieurs amis et citoyens qui « n’acceptent pas que notre pays soit rongé par l’incapacité, l’échec et la frustration ». Il en a aussi profité pour remercier la justice administrative, non seulement pour sa décision qui lui a permis de revenir dans la course électorale, mais parce que « ce fort construit par les bâtisseurs de notre État moderne demeurera une fierté de la République qui préserve les droits civils et politiques et prémunit l’État et ses ressources contre le désordre », a affirmé le candidat.
« Je n’ai jamais recouru à la justice ou joué le rôle de la victime, mais les faits sont têtus. Ce système populiste m’a ciblé, ainsi que tous ceux qui ont adhéré dans la bataille de sauvetage et de réforme du pays. Il y a une volonté d’exclusion claire qui a démarré il y a quelques mois, avec la fomentation de procès à mon encontre, le retrait de l’annonce de ma candidature dans l’agence de presse Tap et le refus de m’accorder le bulletin n°3 du casier judiciaire (communément appelé B3, ndlr) et le rejet de ma candidature par l’Isie à cause des parrainages pour des raisons non-valables ainsi que des abus concernant les délais de dépôt de parrainages des députés, outre les campagnes mensongères de diffamation et les accusations de traîtrise (…). La dernière violation en date, et la plus dangereuse, est la menace de l’Isie de ne pas appliquer la décision du Tribunal administratif, où son président est paru en panique quelques minutes après la décision judiciaire de me réintégrer dans la course électorale. Hier, ils sont allés plus loin, en étant prêts à soumettre l’État de droit pour mon exclusion », a-t-il affirmé, en faisant notamment référence aux accusations infondées proférées à son contre par l’ancien député Sahbi Smara et pour lesquelles ce dernier est actuellement incarcéré.
Et d’ajouter : « Toutes ces tentatives vaines vont échouer face à la volonté de changement constatée chez la majorité des Tunisiens. Cela augmente notre détermination à laisser les Tunisiens décider qui sera le plus apte à les gouverner, afin que le tribunal populaire dise son dernier mot. Le dernier mot sur qui a menti, trahi et abandonné la souveraineté nationale, qui a rendu le pays le gardien des intérêts de tous ceux qui payent le mieux, qui a libéré Lampedusa et rempli El Amra et Jebeniana. Le dernier mot sur qui a tourné le dos à ses serments, à la constitution, à l’État de droit et des institutions, qui a accaparé des pouvoirs et a opprimé ses opposants, qui a oublié ses engagements et ses promesses d’améliorer la vie des Tunisiens, a aggravé la pauvreté dans le pays et a poussé 80% des jeunes et des compétences à fuir le pays ».
Mondher Zenaidi estime que le régime actuel a déjà perdu.
« Hier, le populisme a perdu la bataille de crédibilité, aujourd’hui, il a perdu la bataille juridique et le 6 octobre, il va perdre la bataille des urnes. Aujourd’hui, ma première bataille n’est pas contre le système, car il a perdu dès qu’il a menti au peuple. Ma grande bataille est contre la pauvreté, le chômage, la misère, la hausse des prix, les conséquences de la migration, les coupures d’eau et d’électricité », a-t-il soutenu.
Il a poursuivi en indiquent : « Le Tribunal administré et avant lui les Tunisiens, m’ont donné le droit de mener la mère de toutes les batailles, la bataille de sauvetage et de réforme, dont l’une des priorités est la réussite de la relance économique, l’équité sociale et la souveraineté nationale. (…) Avec l’aide des Tunisiens, la Tunisie deviendra meilleure en deux ans ! ».
Rappelons que le Tribunal administratif a décidé, le 29 août 2024, d'accepter le recours déposé par le candidat Mondher Zenaidi et lié à sa candidature à la présidentielle du 6 octobre 2024.
I.N.
Cette procédure d'élimination de cas pourrait nous aider à choisir et élire le candidat le plus efficace.
En réalité, dans tous les cas , ces candidats ne sont pas les meilleurs de ce qu'on a en Tunisie sur le plan compétence, technique, administrative , social,économique, financière et de comportement fédérateur, rassembleur, capacité d'imagination et de projection importante,....
C'est pourquoi, en cas où aucun candidat ne répond à cette condition, on peut choisir le moins mauvais et nous assurerons ainsi notre responsabilité dans la suite dans la gestion de l'état.
Donc, il faut que nous soyons très nombreux à répondre au devoir de l'élection.
En fait, les éventuelles erreurs ou les mauvaises appréciations plus exactement seront diluées dans le résultat et nos choix corrects dépendent de notre nombre le jour des élections.
Devant la situation qui prévaut actuellement, nous devons être très nombreux pour ce devoir.
D'ailleurs j'allais porter plainte au tribunal administratif, contre vous.
Heureusement je suis parti dans le privé.
Donc oui je vous pardonne.
...
IL est grand temps de mettre ces pratiques aux oubliettes ; même pas aux archives.
Analysons cette BROCHETTE d'ANGES POTENTIELS:
1-Un symbole (ou ZALAM comme ecrit un commentateur) de l'ancien regime déchu de Z.B.A.
Il était membre du bureau politique du RCD et plusieurs fois ministre de Z.B.A.
Aprés 2011 il a quitté la Tunisie pour la couler douce en France. Il vient tous les cinq ans en tant que touriste PRESIDENTIEL.En 2014 pour collecter 0.74 % de voix et on dit qu'il a été condamné par contumace ,en MAI 2024 , à 4 mois pour ..........FALSIFICATION DE PARRAINNAGE en 2014.
Et il est entré en TUNISIE en 2018 pour integrer NIDA afin d'etre son candidat aux présidentielles 2019 puis il est revenu en France
S'il serait élu, les TUNISIENS qui ont juré qu'il ont fait une REVOLUTION contre le régime déchu, vont sortie chanter : ELLOMMOU ELLOMMOU ELLOMMOU NHIBBOU W NAKRAH (OMMOU) BOUH!!!!. Nous l'aimons et nous DETESTONS son père (SON MAITRE Z.B.A!!!!!).
2-Les deux symboles de la TROIKA de la décennie noire. Un a été condamné non pas dans une affaire d'accident de la route (il ne dort pas sur le volant comme DILOU!!!!) mais dans une affaire de falsification de parrainage pour les présidentielles 2024. L'autre a fait allégeance à la FRANCE pendant plusieurs années (comme son maitre) et nous vient abandonner cette allégeance la veille du dépot de son dossier. SERGIO LEONI n'a pas vérifié s'il s'agit d'un abandon VALIDE ou d'un MARIAGE BLANC POUR AVOIR LES PAPIERS!!!!!. ET les deux ont des condamnations en 1ère instance. Et si ces condamnations sont confirmés en APPEL (LA CASSATION NE SUSPEND PAS L'EXECUTION), et si l'un d'eux a SQUATE CARTAHAGE combien de CAMIONS faut il envoyer pour le déloger. Seule BEN SEDRINE pourrait vous répondre.Elle est habituée à envoyer les CAMIONS à CARTHAGE!!!!
Et si l'un d'eux serait élu, les TUNISIENS qui ont juré non au retour à la décennie noire et à la TROIKA , vont sortie chanter : ELLOMMOU ELLOMMOU ELLOMMOU NHIBBOU W NAKRAH (OMMOU) BOUH!!!!. Nous l'aimons et nous DETESTONS son père (LEURS PERES ADOPTIFS GHANNOUCHI ou M.M.M !!!!!).
J'ai faim, j'ai faim, j'ai faim
Le père, n'en peut plus de cette musique infernal de répèter chaSue seconde le même discours "j'ai faim" , de ide de li donner à manger pour avoir un peu de Paix
Après son déjeuner ils continuent leur route mais le fils a continué de râler " oh combien j'avais faim!"
Il est où le programme ?
N'insultez plus l'intelligence des vos compatriotes. Il se peut qu'ils et qu'elles vous le signifient par les urnes .
Sans lui, bien entendu, on sera tous foutus et on l'aura bien mérité.
Mais, pourquoi alors, quand il cirait les pompes de Ben Ali, ne s'est-il pas révolté pour dénoncer ses abus, prit le pouvoir et réussir à nous eviter des années d'attentats, de misère islamiste, de corruption, détournements de fonds, passe-droits et d'emmerdements en tous genre ?
C'est le même peuple qu'en 2014 ou presque lui a infligé une cinglante défaite.
Dix ans se sont écoulés et maintenant depuis son exil ,il va se faire élire, il va rétablir l'eau et l'électrité (sic) et demander l'aide de tunisiens qui ne sont plus prêts à s'aider eux mêmes.Ils sont devenus sceptiques.
...
Est-ce le cas ?
Non.
...
=> Si tu nourris des ambitions, au moins, fais-toi bien connaître dans les régions intétieures de notre Nation.
Vous méritez simplement ce que vous semez pendant tant d'années, à Paris, en Belgique.
Le peuple vous attend déjà à bras ouvert pour vous infliger un 5 %.
Vous repartirez bredouilles vers vos lieux cachés de Paris.
Nouvelle mode c'est en vogue
To woke or not to woke, that is the question.
to be or not to be that is the second question
La liberté s'exerce comme le pouvoir entre quelques personnes qui régissent le monde sans exception.
Tout est voulu, tout un but, tout a un sens.
Cela engage uniquement ma personne bien évidemment.
'?tre ou ne pas être'?'!
Bien à vous inchallah rabi ykader elkhir
Le pire que ne je fais même pas attention, je ne suis plus choquée