L’organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) a mis en garde contre l’insécurité dans les établissements sanitaires en dénonçant la détérioration de la santé psychologique des médecins.
Par voie de communiqué, l’organisation a fait savoir qu’un incident grave au eu lieu hier, 16 mars 2023, à l’hôpital Fattouma Bourguiba de Monastir où un surveillant pénitentiaire a menacé le personnel du service d'orthopédie avec son arme de service.
L’agent qui accompagnait un détenu pour effectuer une consultation externe, a refusé d’attendre son tour et a fini par menacer le personnel soignant en pointant son arme, a rapporté la même source.
L’Organisation a également dénoncé cette pratique dangereuse en provenance d’un responsable qui est censé garantir la sécurité et non pas répandre la peur.
Les jeunes médecins font constamment l’objet de graves agressions, a affirmé l’association en tenant les autorités concernées pour responsables.
Dans le même communiqué, les jeunes médecins ont souligné la détérioration de la santé psychologique des médecins en raison du manque d’interaction sérieuse des autorités avec le dossier des conditions de travail des médecins internes et leur protection.
Pour conclure, l’organisation des jeunes médecins a appelé la direction générale des prisons et l'inspection générale du ministère de la Justice à ouvrir une enquête administrative concernant ce délit.
H.A
Qu'avez-vous déjà dit ? Dimoucrassie ou quelque chose dans ce genre !!!
Vous aviez parlé d'injustices, de clientélisme, de favoritisme, de triche, etc.., à propos des équipes gouvernementales de feu zaba.
Regardez un peu ce que vous aviez enfanté comme monstres, après à peine quelques années d'une gouvernance chaotique !!
Les filles, vous ne pourrez guère faire mieux, ki t'boussou vos deux yeux !!
Et dire que vous voulez fonder des gouvernants avec les guignoles du front de je ne sais quoi.
Voilà ce qui arrive quand on donne quelques milligrammes de pouvoir à un ex-gardien d'étables ou d'écuries.
Ici, selon le récit, il y a menaces de mort pour refus de passe-droit au profit d'un proche.
En plus de l'Inspection Générale, la direction de l'hôpital devrait saisir la justice pour menaces de mort et les victimes se constituer partie civile.
